Vous vous souvenez de la jeune italienne, 18 ans, qui est décédée en juin d’une thrombose après avoir reçu le produit d’AstraZeneca (lire ici) ?
Le chirurgien qui l’a opérée témoigne (version anglaise, ici)
“I had never seen a brain that was affected by such an extensive and severe thrombosis.”
La famille affirme qu’elle ne souffrait d’aucun problème de santé.
Rappelons qu’en Italie, à l’instar de nombreux pays, le produit d’AstraZeneca est réservé aux personnes de plus de 60 ans, en raison des problèmes de thromboses chez les jeunes.
Le chirurgien enfonce le clou :
“I’m neither a virologist, nor an epidemiologist, nor a coroner, but given the image I saw in the girl’s head, it is clear that we are dealing with something that is not normal.”
Si vos propres enfants veulent se faire vacciner contre une maladie bénigne pour eux… souvenez-vous de ce cas.
Et visualisez la fameuse balance “risques/bénéfices”…
Comme je l’avais prévu… Christian Estrosi a piqué une rage folle constatant que le maire du Touquet l’avait grillé au poteau en… réimposant le port du masque à l’extérieur.
Et donc, Chris de Nice vient de décider d’appliquer la même mesure…
«Je suis en train de regarder quels sont les secteurs qui nécessitent qu’il soit imposé. Mais nous allons l’imposer», a assuré l’édile au micro de la radio. (source Le Figaro)
D’autres villes ont suivi (par exemple Saint Malo, Dax, Mont de Marsan).
La liberté aura donc duré moins d’un mois… Et ce genre de décision absurde va bien entendu s’étendre, durant tout l’été, dans un motif aussi léopard que neuneu, sur toute la carte de France.
Maires et préfets se tirant la bourre, dans une course de petits chevaux covidéments.
(je peux déjà vous annoncer en exclusivité que Anne La Dingo, la secrétaire de Bertrand Delanoë, et accessoirement maire de Paris, va s’emparer du sujet, et imposer le masque… dans certaines rues… exactement comme août 2020, lire ici).
L’île de Phuket (sud-ouest) de la Thaïlande a été choisie par le gouvernement pour un programme expérimental de “réouverture” au tourisme.
Rappelons que les frontières aériennes sont fermées hermétiquement depuis le 3 avril 2020… De 42 millions de visites en 2019, nous sommes joyeusement passés à… pas loin de zéro.
Depuis, seuls des expatriés et des Thaïlandais pouvaient revenir, via un programme de quarantaine obligatoire (15 jours) très lourd (administrativement parlant) et fastidieux : 4 tests PCR au total, montagne de papiers à fournir (assurance santé spéciale, etc.).
Le Phuket Sandbox a donc démarré officiellement le 1er juillet avec l’arrivée de quelques dizaines de “touristes” (on ne rit pas, SVP).
Le concept ?
Ils doivent être totalement vaccinés (2 doses), loger dans des hôtels sélectionnés (avec un label particulier), subir 3 tests PCR durant leur séjour (à leurs frais) etc. En échange, ils sont confinés… sur l’île. Pas dans les hôtels. Et à l’issue, ils ont droit de poursuivre leur voyage (?) dans le reste du pays…
Rappelons également que la plupart des commerces et restaurants sont fermés. Les bars également… Bref, à part la plage, il n’y a rien d’autres à faire. L’économie de l’île a été dévastée.
Peu de véritables touristes accepteront de suivre un tel parcours du combattant.
Il aura fallu moins d’une semaine pour que l’inévitable… se produisit. Un “touriste” a débarqué le 6 juillet, via un vol Emirates (venant de Dubai) avec 13 autres (!) passagers… et il a été contrôlé positif au terrible couillonavirus… malgré ses 2 doses de vaccin chinois (Sinopharm) (source Phuket News).
Oh zut, quel dommage.
😉
Il a donc été envoyé direct dans une quarantaine “classique” (donc interdiction de sortir pendant 15 jours), mais surtout les autorités locales ont appliqué le même traitement aux 13 autres pauvres types à bord du même vol ! Principe de précaution, tout ça…
Pas de bol. Super les vacances.
Bref, la covidémence associée au culte du Zéro Covid, poussée à son paroxysme…
Et surtout, une nouvelle preuve que les vaccins et les tests PCR… tout cela est foireux.
Le touriste en question a dû fournir un test PCR avant d’embarquer, il était négatif. Un nouveau test, réalisé sans doute avec d’autres réglages (CT) une fois arrivé a donné un autre résultat…
Eh oui, aucune standardisation. Un test peut être négatif à Dubai, positif à Paris, négatif à Berlin, et repositif à Tombouctou, et renégatif à Charleville-Mézières.
Il suffira de quelques cas supplémentaires et les rares candidats au “Phuket Sandbox” comprendront enfin que tout ce bordel n’est en réalité qu’une loterie…
Et que les “vacances” de rêve au bord de la plage, sur une île tropicale… peuvent vite se transformer en cauchemar avec une incarcération d’office…
La Thaïlande, sur ordre de la Chine, poursuit ainsi son suicide économique et social.
Tranquillement.
MISE-A-JOUR
Boum. Les emmerdements en escadrille. Douze des 13 pauvres “touristes” que les autorités thaïes ont enfermés en quarantaine car ils étaient à bord du même vol que le testé positif… se rebellent.
Ils veulent… retourner chez eux (source) ! Finies les vraies-fausses vacances. L’arnaque est totale.
La presse continuera d’en parler, et dans leur pays respectif, ce qui fera une formidable contre-publicité pour le Phuket Sandbox…
MISE-A-JOUR 2
Et ça continue.. Phuket annonce la fermeture des écoles… pour 2 semaines. La raison ? La 1ère semaine de la réouverture, ils ont enregistré 25 cas sur toute l’île. La seconde semaine… 17 cas en 2 jours. 😉
Et un malheur n’arrivant jamais seul, un cas a été confirmé… porteur du terrible variant indien.
J’avais prédit que le Phuket Sandbox serait un bide biblique… Je crois qu’on va battre tous les records…