Categories
Saloperie et sida mental Vaccinocircus

“Les non-vaccinés il faut les chercher avec les menottes”

Les non-vaccinés, je ferais tout pour en faire des parias de la société. Si vous ne voulez pas vous faire vacciner, vous mettez la vie des autres en danger, et donc vous ne bénéficierez pas des mêmes droits que les autres citoyens : vous ne pourrez pas sortir, vous ne pourrez pas aller au resto, au cinéma, etc. De façon à ce que tout le monde soit incité à se faire vacciner. Donc, il y a un moment où la connerie, ça suffit !  […] Moi, je les attends, appelez, téléphonez, et on vous vaccinera de force. Moi, je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Je suis très sérieux. Il faut aller les chercher avec les dents, et avec les menottes s’il le faut. (source)

Tirade signée Emmanuel Lechypre, éditorialiste et présentateur -gras- sur BFM (TV et radio).

Voilà où nous en sommes…

Le Covid ça fait grossir. Et surtout ça rend neuneu.

Rappelons que Manu avait été sanctionné en avril 2020 (une semaine de suspension d’antenne), car il avait balancé une vanne pensant que son micro était coupé, au sujet d’une cérémonie en Chine en hommage des covimorts :

Ils enterrent des Pokémons

L’Ambassade de Chine en France n’avait pas apprécié…

Alors sa covidémence fanatique… est-elle un moyen pour se faire pardonner ?

Une pétition a été lancée pour demander son exclusion. Déjà 21 000 signatures.

Lien : https://www.leslignesbougent.org/petitions/retrait-des-antennes-d-emmanuel-lechypre-1339/

Categories
Vrac

Le Covid n’est pas une maladie hautement infectieuse

Je signale un article remarquable publié par Lockdownsceptics (site anglais).

En partant de l’observation du variant indien… qui fait pschiit et qui  se comporte désormais  exactement comme… le variant anglais, avec une contagiosité dans les chaussettes, l’auteur élargit le débat avec des hypothèses foutrement intéressantes.

Il rappelle la théorie d’un épidémiologiste en 1981 qui s’interrogeait sur le comportement -étrange- de la grippe.

Hope-Simpson postula que le virus ne suivait pas le schéma classique (comme la rougeole ou les rhinovirus) : les malades infectent les non malades… Mais qu’il était plutôt “latent” chez certains porteurs… et ensuite “réveillé/activé” par des facteurs extérieurs (soleil, vitamine D, saison).

Son étude fut reprise par un groupe de scientifiques en 2008 qui résumèrent tout ce qui cloche avec le virus de la grippe :

  • Why is influenza both seasonal and ubiquitous and where is the virus between epidemics?
  • Why are the epidemics so explosive?
  • Why do epidemics end so abruptly?
  • What explains the frequent coincidental timing of epidemics in countries of similar latitudes?
  • Why is the serial interval [the time it takes for secondary cases to appear] obscure?
  • Why is the secondary attack rate so low?
  • Why did epidemics in previous ages spread so rapidly, despite the lack of modern transport?
  • Why does experimental inoculation [infection] of seronegative [without antibodies] humans fail to cause illness in all the volunteers?
  • Why has influenza mortality of the aged not declined as their vaccination rates increased?

Retour au couillonavirus.

Whatever the underlying cause of the strange behaviour, though, some facts are clear. SARS-CoV-2 is not, by any reasonable definition, a highly transmissible virus – infected people on average only infect 10-15% of their close contacts, even at the height of the winter surge (and that is an upper bound as it assumes that all subsequent infections were caused by the index case rather than being co-index cases). This compares to 57% for rhinovirus and 70% for measles – those are highly transmissible viruses.

Voilà pourquoi tous les modèles mathématiques foireux se plantent systématiquement.

Et voilà pourquoi les confinements et autres mesures à la con… n’ont que peu d’effets.

Rather, COVID-19 is subject to the same kind of mysterious and explosive seasonal triggering as influenza is. This probably helps to explain why lockdowns make no clear impact on transmission or mortality, and why the virus does not immediately rebound when restrictions are lifted, as all the models keep wrongly telling us is going to happen.

Categories
Saloperie et sida mental

Le Lancet au service de la Chine

Une sale gueule. Le regard torve. Richard Horton, patron du Lancet, a politisé la science.

Le 21 octobre 2020, j’écrivais au sujet du patron du Lancet, la fameuse revue médicale :

Retenez bien ce visage, celui de Richard Horton. Cet homme est dangereux.

C’est confirmé.

Le type est un agent pro chinois.

Il bloque tous les articles qui critiquent la Chine, qu’ils soient relatifs au couillonavirus, à sa possible origine humaine (fuite labo Wuhan) ou même… dénonçant le traitement des Ouigurs (source) !

L’argument est toujours le même : il ne faut pas désespérer Pékin sinon ça pourrait rendre la vie du correspondant local… délicate.

Ben voyons.

C’est d’abord une affaire de pognon. La société qui édite le Lancet a en effet de gros intérêts financiers en Chine.

Et Richard Horton n’a pas attendu le couillonavirus pour faire l’éloge du modèle chinois.

La presse anglaise révèle le pot aux roses….

On rappellera que c’est le Lancet qui publia l’étude grotesque en mai 2020 qui affirmait que l’hydroxychloroquine était dangereuse et tuait de nombreux patients atteints du couillonavirus.

Article commandité, monté de toute pièce par une bande de pieds nicklés dont… une actrice porno (si, si), pseudo directrice commerciale de la société Surgisphere qui avait fourni (soit disant) les données.

Deux jours après la publication, la crapule Olivier Véran utilisa ce prétexte pour tuer l’HCQ en France (source Le Monde).

L’article fut rétracté peu de temps après…

Pire encore, dans sa philosophie politique, Horton a prouvé que ce n’était pas que pour l’argent : le type est un croyant.

Il croit et vénère le modèle chinois. D’où sa sortie hallucinante sur l’interprétation politique et sociale du couillonavirus : la pandémie vue comme “syndémie” (lire mon article).

Richard Horton est aux commandes du Lancet depuis… 1995.