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Pays Vaccinocircus

Pas de caillots sanguins au UK ? Encore un bidonnage

Les pompom girls qui veulent sauver le soldat AstraZeneca utilisent un argument qu’elles pensent massue :

“La Grande-Bretagne a injecté des millions de doses et n’a pas eu de problèmes, nananananère. Prout.”.

Sauf que l’on sait maintenant que c’est du pipeau.

Un de plus.

Il y a eu, dès janvier, des problèmes de thrombose outre-Manche… Mais les données n’ont pas été correctement rapportées, et le régulateur britannique -c’est trop bête- n’a pas reçu ou vu les signaux…

Reformulons : n’a pas voulu voir les signaux…

Encore une regrettable erreur, la faute à pas de chance, un petit soucis “technique”, un “algorithme” foireux (toutes les excuses sont utilisées)… mais qui va comme toujours dans un sens unique : protéger la covidémence, protéger les vaccins.

By the time cases of blood clotting in patients who had received the AstraZeneca vaccine had begun to emerge on the Continent (in March), Britain had already administered 11 million doses (the first ones having been given in January). No such adverse events had been reported publicly in Britain, but not for a lack of cases, according to the findings of a new investigation. Clotting cases were recorded in the UK’s Yellow Card database (a website for reporting adverse drug reactions) in January but were missed at first by the Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) – possibly due to the algorithms it uses to interrogate UK data. The Telegraph has the story. (lire le reste de l’article sur Lockdown Sceptics.)

Bref, que ce soit au UK, en Europe ou partout ailleurs, cette merde -inutile comme tous les autres vaccins pour l’écrasante majorité de la population- provoque les mêmes soucis.

RIP AstraZeneca.

Même si on doit se réjouir de voir cette saleté mordre la poussière… il ne faut pas être dupes.

Il ne s’agit bien entendu que de sordides réglements de comptes géopolitiques (c’est l’Europe qui demeure la plus critique face au produit de l’anglo-suédois, pour une raison évidente : la haine anti-Brexit).

Voire même d’une psyop dans la psyop covidémentielle.

Pfizer avec son produit génique est le grand gagnant.

The winner takes it all.

Moderna fait office de figurant, de Poulidor, de second rôle pour éviter que l’on puisse prononcer le mot “monopole“…

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Résistance

Le brouillard de la guerre nous submerge

A gauche, les muscles et la Saco M60 de Rambo, à droite, le cerveau de Clausewitz et au milieu le Brouillard de la guerre. C’est ça “la guerre absolue”.

Nous avons accumulé un tsunami de données relatives au couillonavirus depuis janvier 2020.

Et si l’on peut tirer une conclusion… c’est que justement il n’y a pas de conclusion. 😉

Une célèbre expression de Clausewitz illustre ce phénomène : le Brouillard de la guerre.

(Disgression : je signale d’ailleurs un remarquable documentaire US, au titre éponyme, The Fog of War… (dispo en torrent), conçu autour de Robert McNamara qui fut le secrétaire d’état à la Défense (sous Kennedy et Johnson) et surtout le grand manitou de la guerre du Vietnam.

C’est mon dada : ne pas comprendre comment McNamara a géré la guerre du Vietnam, c’est au fond ne pas comprendre comment des covidéments aujourd’hui gèrent la terrible pandémie. L’étude de l’histoire est primordiale pour éclairer le présent).

J’ai le sentiment que le chaos informationnel auquel nous sommes confrontés est ainsi… plutôt organisé.

Et qu’il prend le pas peu à peu…

Le Brouillard de la guerre sert objectivement la covidémence.

En regardant l’interview récente de Raoult par Bruce Toussaint (pseudo journaliste sur BFM, puant de rondeur niaise et vicelarde)… cela m’a frappé.

A un moment, comme à son habitude, Raoult défend l’HCQ et évoque les études démontrant son efficacité. Toussaint le coupe avec un petit air narquois de glandu absolu en disant : “des tas d’autres études démontrent le contraire“.

Voilà le Brouillard de la guerre, concrètement, à l’oeuvre.

Et ça marche !

On se souvient du Lancetgate… une des plus prestigieuses revues médicales qui publie un torchon écrit (dicté à) par 3 pieds “niqués”, aux conclusions ahurissantes (l’HCQ aurait tué des milliers de personnes dans le monde, et nous n’étions pas au courant)… torchon qui a bénéficié d’un passe-droit donné par de puissants intérêts covidémentiels imposant sa publication -contre toute logique-… et qui fut rétracté 15 jours après…

Comme une grosse merde.

Mais voilà, l’objectif avait été atteint : chaos informationnel… le brouillard de la guerre.

Cette étude a permis aux gouvernements de justifier leurs saloperies, et sert, encore aujourd’hui, à plomber tout débat autour de cette molécule.

Le bordello insensé du Lancetgate… a brouillé par ricochet et contamination aérosol si j’ose dire… cette molécule si ancienne.

Pour paraphraser Raoult : oui dans 15 ans il aura raison… Il a d’ailleurs déjà raison. Mais il sera trop tard… personne n’y prêtera attention.

Les mois passent, nos arguments s’affûtent, nous avons de plus en plus de données, de preuves, et ce dans tous les domaines (scientifique, politique, financier, médiatique comme outils de propagande etc.)… et nous reculons.

Car en face, la covidémence produit tout et son contraire. En même temps.

Le débat public devient chaotique, polyphonique. A force de crier, les gens n’entendent plus rien.

La covidémence y parvient -c’est un coup de génie- en s’appuyant sur la propre incompétence de ses agents (exemple, le gouvernement français qui le lundi explique qu’il est juridiquement impossible d’interdire les vols entre Brésil et France, et qui le jeudi finalement le fait. Mais à moitié, ou encore les multiples volte-faces au sujet du vaccin AstraZeneca etc.).

La sidération gagne du terrain.

L’esprit de résistance (et même son premier niveau, vraiment basique, “indignez-vous”) recule.

Le Brouillard de la guerre nous enveloppe peu à peu, nous submerge.

Jusqu’à nous engloutir ?

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Saloperie et sida mental

Masque de la mort rouge : le Vanuatu confond Poe avec pot

L’hémisphère sud rend bête. C’est prouvé.

Plutôt que de faire le malin avec Edgar Alan Poe et son fameux Masque de la mort rouge, j’aurais pu filer le Culte de Cargo, sur un air de Gainsbourg.

Après tout, dans le cas du Vanuatu, c’est de circonstance !

Mais je l’ai déjà fait (lire cet excellent article). Il faut se renouveler.

En outre, le roman de Poe synthétise mieux le problème.

L’archipel du Vanuatu a décidé d’isoler son île principale pendant trois jours après que l’océan eut rejeté sur le rivage le cadavre d’un homme qui était porteur du coronavirus. Des sources gouvernementales ont confirmé qu’il s’agissait du corps d’un marin philippin dont le cargo avait quitté Port Vila le 10 avril.

La dépouille a été découverte le 11 près d’un village situé à cinq kilomètres de la capitale. Les autres membres de l’équipage du bateau et les policiers ayant emporté le cadavre ont tous été testés négatifs, selon les mêmes sources qui se sont exprimées sous couvert de l’anonymat. On ignore les causes du décès du marin et la raison pour laquelle son cadavre s’est retrouvé à l’eau.(source le Figaro)

Tout dans cette news est grotesque. Un cadavre sur une plage. Pouf, on lui fait un test. A-t-on pensé à tester les poissons ? Et les coquillages ?

On ne sait pas de quoi il est mort. On ne sait pas comment il s’est retrouvé dans l’océan. Mais on sait qu’il est porteur du virus. 😉

Et immédiatement, on confine une île entière.

Il est établi que l’insularité associée à la covidémence rend les gens concernés cons comme des enclumes (voir l’Australie, Wallis et Futuna, la Nouvelle-Zélande bien entendu).

Les îles sont de facto des membres de la secte “Zéro Covid“.

Sauf qu’ils devraient lire Poe… Le virus parvient toujours à se faufiler.

Masqué.

Même sous l’apparence d’un cadavre jeté dans l’océan, bouffé par le sel et les poissons, et ensuite échoué sur une plage.

“L’art éclaire le réel”. Michel Houellebecq ? Non. Mon stagiaire chinois ! C’est ça la magie de l’assimilation.