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Pays Saloperie et sida mental

Angleterre, déconfinement : lentes étapes

Boris Johnson pense printemps et déconfinement

Boris Johnson a révélé le plan de sortie du confinement, avec des étapes très… lentes. Un processus s’étalant jusqu’à fin juin.

Et un processus conditionné.

Au menu :

-réouverture des écoles le 8 mars

-le 8 mars, possibilité de rencontrer… un ami ou un membre de la famille dans un parc… Idem dans les maisons de retraite (1 visiteur autorisé).

-le 29 mars, ces rassemblements autorisés à l’extérieur passeront à 6 personnes 😉

-12 avril : réouverture des magasins non essentiels, et des coiffeurs. Restaurants et pubs peuvent servir en extérieur…

-17 mai : abandon de la règle des “six” en extérieur. Réouverture des cinémas.

-21 juin : les boîtes de nuit peuvent rouvrir… Levée des dernières restrictions.

(les détails avec le DailyMail).

A noter : les voyages hors du pays demeurent interdits jusqu’au… 17 mai ! Au moins.

On le voit un vrai concentré de pseudo “précautions”.

De plus, tout le dispositif est conditionné.

A quatre bidules/objectifs sortis tout droit de l’esprit malade des fonctionnaires britanniques :

  • -la vaccination se poursuit avec succès
  • -preuves que la vaccination réduit suffisamment les hospitalisations et les décès parmi les vaccinés
  • -le taux d’infection n’augmente pas à un niveau qui mettrait “sous pression” le NHS (hosto public anglais).
  • -l’évaluation des risques n’est pas fondamentalement modifiée par les nouveaux variants.

C’est cela oui, monte là-dessus, tu verras Montmartre et tu m’en diras tant.

A tout moment, en raison de la menace potentielle d’un mutant exotique… le cirque pourra soit reprendre, soit s’étaler dans le temps…

L’été sera peut-être normal en raison… simplement du climat (les coronavirus faisant la sieste durant les beaux jours).

On revient au “test Biden” : c’est l’automne prochain que tout se jouera.

La secte tordue du “zéro cas Covid” est toujours en embuscade, même si dans le cas anglais, Boris Johnson a reconnu publiquement que cet objectif n’était pas tenable/raisonnable.

Au premier crétin qui se choppera un rhume en septembre/octobre, la probabilité d’une reprise de la covidémence me semble plus que jamais très élevée (en raison de la faible vaccination [hors UK], du message selon lequel le vaccin n’empêche pas la contamination et l’instrumentalisation fanatique des “mutants”)…

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Saloperie et sida mental

Confinement partiel, localisé et à durée limitée : l’étron est démoulé

La France.

Voilà, c’est fait. Le gouvernement, certains maires sont soulagés.

Au sens littéral.

Ils ont fait leur petit caca.

Tout le week-end, ils avaient contracté les sphincters. Intenses négociation, au plus haut niveau de l’Etat !

Car enfin ! La survie du genre humain des retraités Niçois, face au virus, était en jeu. Ni plus ni moins.

Accrochez-vous à la chasse d’eau… c’est vertigineux.

Le confinement annoncé ce lundi concerne l’aire urbaine littorale, de Menton à Théoule-sur-Mer, du vendredi soir, 18 heures, jusqu’au lundi matin, 6 heures. (source Le Figaro)

Le tout pendant… les 2 prochains week-end.

Le préfet enfonce le clou avec encore plus de détails à la con :

Pour les commerces de plus de 400 m2, la jauge passera de 10 à 15 m2 par visiteur. Le préfet a appelé à ce que les gestes barrières soient appliqués «très strictement». Il a notamment demandé «aux exploitants de commerces» concernés «de se doter d’un médiateur Covid», qui sera chargé de faire respecter les règles.

C’est cela oui… Et un vendeur de shit de la banlieue merdique du coin en tant que médiateur Covid, ça peut passer ? 😉

J’imagine les débats sans fin : “bon alors chérie, où se trouve la ligne de démarcation ? L’intermarché Menton Borigo, tu es sûre ? C’est dans la zone confinée ? Si ? Non ? ”

“Et l’arabe sur la route du Mont-Gros, ça compte ? Il a moins de 400 m2 je pense ? ”

Confinement de clown pour une pandémie clownesque.

La France sombre dans le grotesque, et la confusion mentale.

Chris de Nice est ravi : il a obtenu son con-finement.
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Vrac

Covid, cause ou symptôme ? Le Grand Malentendu

L’expression “monde d’avant/monde d’après” est un piège sémantique.

Il sont nombreux à espérer qu’une fois le Covid disparu, alors tout ira bien. De nouveau.

Mais 2019 était-elle une année vraiment meilleure que 2020 ? Et 2018 ? Et à cette aune, toutes les années précédentes ?

Un élément de réponse : Macron a été élu (par vous, passivement ou activement) en 2017. Trois ans avant le couillonavirus.

Et avant lui, ce fut Hollande (2012). Et avant lui Sarkozy (2007). Et avant lui, Chirac (1995, 2002). Et avant lui Mitterrand (1981, 1988).

Je liste les présidents français par facilité, évidemment. Mais c’est pour démontrer que nous sommes bien au coeur d’un processus historique.

C’est le Grand Malentendu.

Pour la plupart des gens, le Covid est un cygne noir, un événement  imprévisible, avec donc forcément un début et une fin.

Or rien n’est plus faux.

En réalité, ce que le Covid révèle c’est que nous sommes collectivement malades, infectés, dégénérés. Et ce depuis plusieurs décennies déjà.

Nous, c’est-à-dire l’Occident, car ce processus n’est pas limité à la France (autre erreur communément faite).

Pour filer la métaphore médicale : le Covid n’est pas une cause.

C’est un symptôme.

Voilà pourquoi, le Covid et tous ses copains “variants” une fois disparus… le problème de fond demeurera.

La covidémence est certes imposée de l’extérieur.

Mais ce qui la rend possible… vient de nous.