
Je vous rappelle le conte pour enfants : les Chinois ont prévenu l’OMS fin décembre 2019 qu’il y avait quelques patients avec une maladie étrange à Wuhan.
Ensuite, en creusant un peu, ils ont admis que le premier couillonaviré à Wuhan datait probablement de début décembre…
Ensuite, on a eu novembre. Puis octobre toujours à Wuhan, avec les jeux olympiques militaires, et l’infection plus que probable d’athlètes étrangers (français, belges entre autres).
Nous avons désormais une nouvelle pièce du puzzle.
Figurez-vous que des antigènes du couillonavirus ont été trouvés dans des prélèvements sanguins effectués en Italie… dès le 3 septembre 2019 !
Oui madame, oui monsieur, un café et l’addition.
C’est une étude italienne qui fait cette révélation fracassante.
On sait que les antigènes apparaissent 1 à 3 semaines après l’infection. Donc ça nous renvoie forcément à une infection courant août 2019…
Vous allez me dire : encore une “méta–étude” à la con qui mélange des carottes, des navets et des brocolis et écrite par un stagiaire chinois dans une cave, le genre de bouse fumante et fumeuse que publie le Lancet… 😉
Eh bien non. Et c’est bien ça le problème si j’ose dire. Le truc est béton.
Jugez plutôt.
We investigated the presence of SARS-CoV-2 receptor-binding domain (RBD)–specific antibodies in blood samples of 959 asymptomatic individuals enrolled in a prospective lung cancer screening trial between September 2019 and March 2020 to track the date of onset, frequency, and temporal and geographic variations across the Italian regions.
SARS-CoV-2 RBD-specific antibodies were detected in 111 of 959 (11.6%) individuals, starting from September 2019 (14%), with a cluster of positive cases (>30%) in the second week of February 2020 and the highest number (53.2%) in Lombardy. This study shows an unexpected very early circulation of SARS-CoV-2 among asymptomatic individuals in Italy several months before the first patient was identified, and clarifies the onset and spread of the coronavirus disease 2019 (COVID-19) pandemic
Synthèse : les Italiens ont analysé les prélèvements sanguins de 959 personnes qui ont participé à une étude sur le cancer de septembre 2019 à mars 2020 (ces prélèvements avaient été conservés).
Résultat : au total, 111 échantillons étaient positifs au couillonavirus, le premier ayant été prélevé le 3 septembre 2019 en Vénétie !
C’est stupéfiant.
14 % de l’échantillon des 111 infectés sur 959… dataient de septembre 2019.
The first positive sample (IgM-positive) was recorded on September 3 in the Veneto region, followed by a case in Emilia Romagna (September 4), a case in Liguria (September 5), two cases in Lombardy (Milano Province; September 9), and one in Lazio (Roma; September 11). By the end of September, 13 of the 23 (56.5%) positive samples were recorded in Lombardy, three in Veneto, two in Piedmont, and one each in Emilia Romagna, Liguria, Lazio, Campania, and Friuli.
On remarque par ailleurs, déjà, la sur-représentation en Lombardie dès la fin septembre (là ou l’épidémie fut la plus meurtrière en 2020).
Rappelons qu’une étude de Harvard Medical School publiée en juin évoquait déjà une présence du virus à Wuhan “dès le mois d’août” (une approche originale se basant sur le trafic des hôpitaux de la ville, des recherches sur Internet).
Les Chinois s’empressèrent de qualifier cette étude de “ridicule“.
La conclusion est simple : cette étude sur le cancer en 2019 avec la conservation de prélèvements sanguins ne doit pas être la seule au monde…
En clair : il est urgent à présent de tester des prélèvements sanguins, partout dans le monde, qui auraient été effectués courant 2019 et conservés depuis, afin de rechercher la présence du couillonavirus.
Pour tenter d’élucider le mystère de la Génèse couillonavirale…