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Statut vaccinal : fondue suisse à l’hôpital

Joséphine, infirmière à Berne. C’est elle qui saisit le statut vaccinal des personnes hospitalisées (on la voit ici, près de son PC équipé de Windows 2.5).

Depuis le début des injections des produits ARNm, le jeu consister à démontrer que ces produits sont “efficaces” (et “sûrs“).

On a vu le résultat… Non, il ne faut pas rire.

L’un des moyens pour y parvenir consiste à analyser les hospitalisations, y compris dans les services de soins critiques, afin de faire le tri entre “vaccinés” et “non-vaccinés”.

En clair : séparer le bon grain de l’ivraie.

Car après tout, à partir du moment où il n’était plus possible de prétendre que ces produits empêchaient la transmission… le système covidémentiel devait se rabattre sur le fameux “protège des formes graves“.

Crever à l’hosto dans son vomi à cause d’un Covid carabiné est bien entendu la forme ultime de la forme grave. Tout le monde en conviendra.

Il s’agit en réalité d’un simple slogan, du même calibre que “Tous vaccinés, tous protégés (prout)“.

Car le terrain démontre le… contraire. Et de plus en plus.

En clair, vaccinées ou pas… les personnes âgées et fragiles (rappel : ce sont elles, et elles seules, qui sont victimes du “Covid”) finissent à l’hosto.

Et donc depuis le début, le jeu consiste à… bidonner ces chiffres !

Inutile de refaire le travail pour la France, je vous invite à lire le papier publié sur Covid-Factuel… vous comprenderez l’étendue de la crapulerie de la DREES (l’organisme qui s’amuse à pondre et maquiller ces chiffres pour la France).

Jettons un coup d’oeil sur la Suisse qui bien entendu pratique le même exercice.

Avec un exemple à la fois simple et concret.

Voici la ventilation des hospitalisations par statut vaccinal en Suisse (plus le Liechtenstein) le 21/10/2021 (moyenne 7 jours, données officielles de l’Office fédéral de la santé publique, il faut cliquer sur le bouton “proportions %“).

La catégorie “inconnu” pèse 20 %. Les “non-vaccinés”, ces salopards terroristes d’extrême-drouâte, sont heureusement majoritaires ! Bien fait pour leur gueule.

On imagine aisément la situation : Raoul Dutrouc, 92 ans, est conduit à l’hosto totalement démoli du ciboulot ; il bave et chie partout.

L’infirmière Joséphine, 35 ans de maison et un fessier version XXXLLL, se retrouve dans l’impossibilité -forcément- de faire parler le client, pardon le patient.

Elle ne peut pas lui poser la question (qui… tue) : “Vacciné ou pas monsieur Dutrouc ? Allô y’a quelqu’un ? Me recevez-vous ?“.

Face à elle, ce n’est pas un joueur de poker, mais plutôt un sac d’os, rongé par le cancer, la cirrhose, le diabète, et incapable ne serait-ce que d’entendre la question.

Alors, Joséphine, l’air songeur, coche la case “inconnu” dans le logiciel, sur le PC Windows 2.5, à l’accueil, près de la plante verte.

Comme elle coche les cases de sa grille de loto.

C’est logique. 😉

Observons à présent les mêmes indicateurs… un an après.

Impossible désormais d’établir le statut vaccinal des hospitalisés ! Les “inconnus” représentent… 75 % ! 😉

Zut.

Presque 4 fois plus.

La tuile.

Joséphine a clairement noyé son carburateur à force de sniffer du chloroforme et de se faire tringler dans la remise par des internes déchaînés, lors de ses gardes de nuit.

La Suisse aurait-elle donc perdu la main en un an ? Ce qui était possible à l’automne 2021, pouf, pas de bol, ne le serait plus en octobre 2022 ?

En plus de la responsabilité de Joséphine, on sent poindre… la faute à Poutine™. Voire même, soyons fous, le réchauffementklimatik™.

Bref, la croisière s’amuse. Et le bidonnage est ici évident.

Obscène même.

En classant discrètement des patients dans la catégorie “inconnu”, on efface le réel… on maintient artificiellement un écart entre non-vaccinés et vaccinés… afin de prouver que les produits ARNm sont… euh… “efficaces“.

Comble du trollage, le site se paye même le luxe d’afficher un avertissement :

En raison de la forte proportion de déclarations sans indication du statut vaccinal, les données concernant le nombre de cas selon le statut vaccinal jusqu’à début juillet 2021 doivent être interprétées avec prudence.

Avec prudence ? !

Ou avec un grand éclat de rire ?

Bref, papy Goebbels avait raison : plus c’est gros, mieux ça glisse.

Mais le bougre, il ne connaissait pas le gel lubrifiant (ou alors il tapait dans l’huile ? Olive ? Colza ? Tournesol ? Voire une belle motte de beurre, ambiance Dernier tango à Paris, mais je m’égare dans les méandres du temps).

La motte de beurre ? Y’a rien de mieux pour une bonne lubrification des corps et des esprits ! Et en plus, c’est naturel. Et on peut même le bouffer (après… usage) !
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Médicament

GABA : nouveau ba-BA contre le couillonavirus

Allez zou un cachet et au lit !

Les mois, les années passent… et les études qui mettent en avant l’efficacité de molécules banales contre le couillonavirus, continuent de s’empiler.

Ca en devient indécent.

Je synthétise : le slogan de 2020 “il n’y a pas de traitement contre le Covid” n’était qu’un baratin criminel, destiné uniquement à donner une substance à la menace couillonavirale.

Au lieu de soigner les malades… il fallait les faire crever  avec… du paracétamol (ou encore du Rivotril).

Coup double, car ce crime permettait aussi de justifier la fameuse “vaccination“… devenant la seule “arme” contre la terrible pandémie.

On connaît la suite : une invraisemblable hystérie collective avec des produits ARNm pas maîtrisés, et dangereux.

Inutile donc de revenir sur les antibios, l’HCQ, l’ivermectine, et tant d’autres… (pour les retardataires, vous pouvez feuilleter ma rubrique Médicaments, c’est un festival… et encore je n’ai pas pu tout répertorier…).

Aujourd’hui, c’est au tour du GABA.

Titre de l’étude :

A GABA-receptor agonist reduces pneumonitis severity, viral load, and death rate in SARS-CoV-2-infected mice

Lien : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2022.1007955/full

We observed that GABA treatment initiated immediately after SARS-CoV-2 infection, or 2 days later near the peak of lung viral load, reduced pneumonitis severity and death rates in K18-hACE2 mice. GABA-treated mice had reduced lung viral loads and displayed shifts in their serum cytokine/chemokine levels that are associated with better outcomes in COVID-19 patients.

A noter que la même molécule avait été testée contre un autre coronavirus (par la même équipe, en mai 2021), avec des résultats similaires

Alors kézako GABA ? Acide gamma aminobutyrique (gamma-Aminobutyric Acid).  C’est un neuro-transmetteur (il favorise le calme et la relaxation).

On le retrouverait aussi dans des cellules du système immunitaire, ainsi que des cellules du poumon (comme récepteur), et il inhiberait l’inflammation.

Voilà ce qui expliquerait son action contre le couillonavirus.

On trouve le GABA sous la forme de compléments alimentaires.

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Asie Saloperie et sida mental

Chine : le Covid devient architecte

C’est connu, le Covid n’aime pas les taudis. Ca sent mauvais. Trop de monde. Il préfère les grands immeubles, les larges avenues, les jardins.

Le Covid c’est le couteau-suisse… chinois. Et ce depuis sa fabrication en janvier 2020.

Il permet de manipuler l’Occident, de lui faire la guerre, de déstabiliser ses finances. De renforcer le contrôle sur des territoires (Hong Kong, province du Xinjiang, Tibet). Il permet de renforcer le pouvoir interne de Xi Jinping (martyr de Shanghai au printemps) et de contrôler la population, en la mobilisant et en la maintenant sous pression.

Le Covid est désormais aussi utilisé comme architecte et planificateur urbain !

Depuis des années, la mégalopole Shanghai tente de détruire les “villages dans la ville“, des endroits surpeuplés (par des ouvriers migrants) : en clair des taudis. Il y a même des constructions illégales. Mais ce n’est pas simple, car il y aussi de vrais propriétaires (qui louent à prix d’or leurs bâtiments, en les divisant en de multiples chambres).

Le Covid donc… est le parfait “catalyseur” comme ils disent pour faire avancer… les engins de chantier.

The epidemic is the catalyst for us to launch this round of ‘cheng zhong cun’ transformation, which has been under consideration for a long time,” Huang Qiyi, deputy government head of Beicai was quoted as saying (source Bloomberg)

Le virus a permis de faire la guerre à ces pauvres, de les envoyer en camps de quarantaine, au nom de la lutte contre la terrible pandémie (lors du confinement au printemps dernier).

During the spring outbreak, the Shanghai government singled out 72 urban villages as Covid hotspots, labeling them “key and difficult points” of epidemic prevention and control because of “high population density and poor sanitation and living conditions.” Many of the nearly quarter-million people living in the villages were sent to central quarantine.

Après le choc psychologique et la démoralisation… on peut maintenant passer à la phase buldozer… Et là encore, les Chinois ne font pas dans la dentelle.

One such Covid hotspot that’s facing demolition is Beicai, a sprawling urban village cluster in the financial area of Pudong. Shanghai Observer, an official media outlet, reported this month that authorities plan to redevelop six villages there with a combined area of nearly 2 million square meters, half of which will be converted into public parks.

Des pauvres hères en plein milieu du quartier d’affaires de Pudong ?

Il suffit de déclarer l’endroit “hotspot” viral hyper dangereux (forcément), et zou… on rase.

La moitié de la surface libérée sera transformée en jardin (le couillonavirus s’y sentira plus à l’aise).

L’autre sera vendue à prix d’or à des promoteurs immobiliers, sans doute proches du pouvoir…

Et de nouvelles tours de métal et de verre pousseront sur l’horizon.

Un nouveau succès, pardon un énième heureux hasard, pour le virus “Sars-Cov2”.

Le Sars-Cov2 est aussi maçon. On le voit ici poser les premières briques de nouvelles tours dans le “quartier d’affaires” de Shanghai (en mandarin, comprendre toute la ville).