La Malaisie impose la vaccination obligatoire à tous ses fonctionnaires fédéraux.
Vous me direz : encore un pays musulman, on s’en tape.
Certes, mais quand même.
De Pékin à Montreuil en passant par le Caire, Chicago, Rio de Janeiro, Montréal, Bangkok et Kuala Lumpur… la covidémence avance. Se développe. Prend le pouvoir. Asservit.
Nearly 98% of civil servants were already vaccinated, while 16,902 or 1.6% have yet to register under the country’s inoculation programme, the department said. Malaysia has around 1.6 million public servants.
Unvaccinated employees have been given until Nov 1 to complete their inoculations, while those who are unable to be vaccinated must submit health information verified by a government medical officer. (source Bangkok Post)
On mesure le délire particulier. C’est Asie + Islam = la double peine…
Les mecs sont presque à 98 % vaccinés ce qui est vertigineux… mais ce n’est pas suffisant. Il faut 100 %. Pile poil(e) !
C’est Allah qui l’a exigé.
Les 2 % de terroristes réfractaires complotistes ont jusqu’au 1er novembre pour obtempérer.
POST-SCRIPTUM
Message à destination de mes millions de nouveaux lecteurs. A propos de la Malaisie, et de la frontière avec la Thaïlande, je vous conseille ce petit article… qui traite de la désinfection des motocyclistes.
Eh oui les gars… la covidémence n’a pas de frontières…
Guangzhou, capital of South China’s Guangdong Province will require all overseas arrivals to be subject to a 21-day quarantine at designated isolation centers ahead of The China Import and Export Fair (Canton Fair) to be held in the city as the country has seen COVID-19 surge centered in East China’s Fujian Province. (source Global Times)
Il s’agit d’un durcissement puisque le régime précédent était 14 jours en centre fermé, puis 7 jours à la maison… !
On résume : soit une grande foire de commerce international en Chine, à Canton… Et pour les étrangers souhaitant y participer une mesure invraisemblable : 3 semaines de quarantaine fermée et obligatoire…
Ca relève du gigantesque trollage.
Presque 2 ans après les autorités chinoises continuent de jouer délibérement la terreur covidémentielle avec des mesures toutes plus absurdes les unes que les autres.
Vingt-et-un jours ? ! pourquoi pas 31 ? 60 ? Ou 120 ? Hein ? Parce que Covid le vaut bien.
Cette idéologie est bien entendu factorisée par les traits de caractère asiatiques (sauver la face, virtue signalling auprès des échelons supérieurs etc.).
Les autorités locales, dans ce cadre, chercheront toujours à en faire plus. A être plus durs, plus purs envers le Covid que le voisin.
Si Canton fait 3 semaines, alors Shanghai fera 4 semaines. Car 4 c’est plus que 3.
Quand j’affirme que cela est fait avec la bénédiction du pouvoir central, c’est une évidence à la fois pratique et politique.
Xi Jinping, s’il le voulait, pourrait mettre un terme à ce délire, en 24 heures chrono (“Nǐ hǎo petit fonctionnaire de merde. Si tu n’arrêtes pas immédiatement tes délires, je t’envoie au Goulag pour 120 ans, toi, et toute ta famille et même tes animaux domestiques et les plantes de ton jardin”).
Il s’agit donc plus que jamais d’un apparatus de propagande. Pour une consommation intérieure bien entendu (“nous sommes en guerre“, Xi Jinping fut le premier à le dire), mais aussi extérieure.
Dans la jungle thaïlandaise, personne ne vous entendra hurler quand le couillonavirus vous attaquera… par derrière (forcément).
Soit le parc national de Phu Kradung, dans la province de Loei, au nord de la Thaïlande.
On n’est pas loin du trou du cul du monde, proche de la frontière avec le Laos.
Son point culminant se situe à 1 360 mètres. Si, si. Ce ne sont pas les Alpes, certes, mais à l’aube en hiver, on s’y pèle le jonc.
Figurez-vous que depuis des mois…. des dizaines de parcs nationaux ont été fermés dans tout le pays. A cause du terrible virus bien sûr, dès fois qu’il se planquerait dans la jungle, entre 2 arbres, en embuscade prêt à couillonavirer des éléphants ou des pauvres visiteurs en goguette.
Au bout de plusieurs mois à jouer au baccara ou aux boules, les mecs se sont quand même dits que ça clochait. Et en plus, le manque à gagner commençait à devenir sévère (l’entrée est payante)…
A ce sujet, il convient de rappeler que les étrangers, les métèques, payent 400 THB… alors que les Thais 40 THB seulement… Nous valons donc 10 fois plus… Ce n’est pas très flatteur pour eux, mais cette pratique persiste (la poule aux oeufs d’or est bien trop grasse).
Et ce pognon ne va pas dans les parcs… mais plutôt dans les maisons et les BMW des enculés qui dirigent ces sinécures avec force uniformes.
En Thaïlande toute position officielle est déterminée (ou gagée) par un uniforme.
On ferme les parcs nationaux. Mais le métro bondé de Bangkok est toujours ouvert. En pataChine et avec un patavirus c’est parfaitement normal.
Ils ont donc décidé de rouvrir le bouzin, pardon le business… Mais attention, pas dans n’importe quelle condition.
Le chef du parc ne peut pas perdre la face, ni prendre trop de risques…
Ainsi, à compter du 1er octobre, il faudra être doublement vacciné pour avoir le privilège de respirer l’air pur de Phu Kradung !
Mais ce n’est pas tout… Il faudra également… réserver sa place. Si, si. Comme à l’opéra Bastille. Ou chez Tata, le coiffeur pour dames de la rue aux Ours (Paris 3ème, bande d’incultes).
Le tout via une énième application à la con (le royaume de Siam adore développer des apps, foireuses, boguées, pour tout et n’importe quoi).
Mais ce n’est pas tout.
Seuls 1 000 visiteurs par jour seront admis. Eh oui, le parc ayant une superficie totale de 348 km2… il convient de se méfier !
C’est scien-ti-fi-que.
Mille têtes de pipe par jour c’est un grand maximum pour éviter toute contamination (surtout entre gens vaccinés)… ! 😉 (source)
Bref, je l’ai souvent dit… la Thaïlande a bien décidé de mettre au service de la covidémence son côté branleur sud-est asiatique, rehaussé d’une pointe florentine hallucinée.
Ma définition n’est certes pas académique, mais c’est la mienne et elle colle au Réel observable.
Un mélange détonnant.
Sans surprise, en raison de son système décentralisé… Chaque petit fonctionnaire responsable de quoi que ce soit (un village, une ville, une province, un jardin, un parc national, un poste de police, un marché, un urinoir, un bordel, etc.) pète un câble, fait pipi dans son slip rose, et entame la danse de Saint Guy du Rond de Cuir qui Télégraphie au Monde sa Vertu.
C’est une course à l’échalotte virale sans fin, dans laquelle chacun doit faire plus plus que son voisin et concurrent.