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Japon : les journalistes étrangers enchaînés… virtuellement

“Moshi moshi ! Arigato Nagasaki. Les gaijins sentent mauvais. Et en plus ils votent Macron. Quelle bande de cons. Banzai, Hiroshima, gozaimasu !”

Le Japon est un pays étrange, fascinant. Une pays-île. Une culture très forte. Et subséquemment une xénophobie totale, mais dans le bon sens.

En clair, il y a les Japonais, et puis… les autres. Et si les Japonais peuvent montrer un grand sens de l’hospitalité voire même un intérêts certain pour les “Autres”… il y a une frontière nette entre les deux groupes.

A ce titre, on plongera dans l’Eloge des frontières de Régis Debray, dans lequel il étudie justement -entre autres- la régulation historique de la frontière au Japon.

(Il suffit de voir les dégâts provoqués par le mondialisme avec l’abolition fanatique des frontières, pour comprendre en miroir, leur absolue nécessité, leurs avantages. Je referme cette odieuse parenthèse d’estrême-drouâte)

Ce trait de caractère est en réalité présent…. dans toute l’Asie, c’est-à-dire dans tous les pays encore un peu “normaux”. 😉 L’étranger demeure un étranger. Et on ne prétend pas devenir comme lui ou lui devenir comme soi. Ca c’est bon pour les neuneus européens (“Je est un Autre”) adeptes pom pom girl du suicide civilisationnel.

Il est bien évident que lorsque couillonavirus s’invite au banquet, cela ne peut donner que des résultats… étonnants. Surtout, dans le cas des îles…

Ainsi, le Japon organise les Jeux olympiques, déjà reportés l’année dernière pour cause de terrible pandémie… Les visiteurs sont interdits. Mais difficile de se passer des… journalistes étrangers. Un mal nécessaire en ces temps de communication, de modernité tout azimuth.

Les autorités nippones ont donc trouvé la parade couillonavirale.

La chaîne aux pieds.

Virtuelle bien entendu.

JO de Tokyo : les journalistes de l’étranger seront surveillés par GPS

Ils seront également priés de rester dans des hôtels présélectionnés par les organisateurs au lieu d’opter pour des hébergements privés, a prévenu mardi la présidente du comité d’organisation. (source Le Monde)

Alors bracelet GPS autour de la cheville comme un taulard ? Collier GPS comme un clébard ? Tag GPS sur l’oreille comme une vache ? Balise-suppositoire GPS dans le rectum ? On s’interroge quant aux détails techniques. 😉

Mais au-delà, faut-il s’en offusquer ? Oui… mais en fait non.

Car on ne parviendra jamais à changer les Japonais.

Et c’est tant mieux !

Si les Japonais se mettaient à bouffer des kebabs, à aller dans des mosquées, à faire des rodéos, à s’habiller en djellaba, à gueuler “wallah, nique ta mère” et à fumer du shit… bref à être comme des Occidentaux moyens… cela n’aurait plus aucun intérêt. 😉

Nous aimons les Nippons… nippons.

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Burger, frites et vaccin : “sur place ou à emporter ?”

Voici une vignette qui nous vient de Phuket (sud de la Thaïlande).

Réalisé sans trucage.

Ile touristique totalement ravagée par la covidémence… Et qui place désormais tous ses espoirs dans la vaccination de masse (très, très lente à se mettre en place) pour faire revenir… les visiteurs.

La preuve, ce caliquot placé à l’entrée d’un… Burger King. Et qui annonce fièrement que 100 % des employés du restaurant… ont été vaccinés et même “fully vaccinated” (donc 2 doses) !

Au passage, vous pouvez constater l’épouvante culinaire : ils font des burger… avec du crabe…

Eh oui, Covidemence.com c’est aussi cela : des expériences virales, gastronomiques et culturelles… très lointaines. 😉

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Asie Pays

Malaisie : confinement dur

Malaysian Prime Minister Muhyiddin Yassin has announced a nationwide “total lockdown” starting on Tuesday as coronavirus infections in the country surged to record levels.

Muhyiddin said the stricter lockdown from June 1 to 14 was for all social and economic sectors, and that only essential services would remain in operation. (source Bangkok Post)

Le confinement mou ne marche pas. Forcément. Alors on passe au confinement dur. Forcément.

Pour 15 jours.

La raison de cette panique ? La terrible pandémie… explose.

7 000 cas par jour, pour un pays de 32 millions d’habitants.

60 covimorts par jour…

Des chiffres qui font pouffer les Européens et les Américains…

Que se passe t-il ? Alors que le couillonavirus était… absent en 2020 ?

Nous l’avons dit : les masques, la pseudo discipline asiatique… tout ça c’est de l’excrément en boîte. Le virus, les virus font leur vie.

La Malaisie a vacciné 6 % de sa population (1 dose).

Mais il y a un soucis… Le grand pays frontalier… la Thaïlande, avec 2 fois plus d’habitants, connaît aussi un “pic épidémique”… Mais avec seulement 4 000 cas et 30 morts par jour. Officiellement.

Alors que le climat est identique, que la frontière est poreuse, qu’il y a des grands centres urbains etc. Seule différence : les uns sont musulmans, les autres boudhistes.

Le couillonavirus serait-il islamophobe ? 😉

Conclusion : la Thaïlande pipote. Il est de notoriété publique que le royaume de Siam ne teste pas… Très peu.