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Gag pékinois, 12 tests par jour : nez, gorge, anus

Une nouvelle psyop en provenance de Chine et relayée avec complaisance par les médias occidentaux.

Il y aurait un foyer couillonaviral à Guangzhou, et le terrible variant indien serait responsable. Bien entendu.

A la mode chinoise, ça donne ceci :

The city tested practically its entire population of 18.7 million between Sunday and Tuesday, some of them for the second time. It has also put neighborhoods with a total of more than 180,000 residents into total lockdowns, with practically no one allowed out except for medical testing. (source NewYork Times)

Donc zou en 3 jours on teste 18,7 millions de personne, enfants et animaux domestiques compris. Ben voyons. Et combien de positifs ? Ah ça, on ne le dit jamais.

Et au final on ne confine qu’un… quartier de 180 000 personnes (à l’échelle chinoise, c’est un modeste paté de maisons). Terrible pandémie en effet.

La presse occidentale titre, emphatique (ici le New York Times) :

China Returns to Its Strict Covid Limits to Fight a New Outbreak

Rien n’est plus faux. Titre totalement trompeur.

Un foyer dans une seule ville chinoise. 18,7 millions d’habitants concernés, seulement 180 000 confinés dans un pays de 1,4 milliard d’individus. C’est peanuts. C’est une blague pékinoise, à défaut d’être une soupe.

Les enfoirés néo-zélandais du NZHerald (qui reprend l’article du New York Times) vont jusqu’à titrer :

Covid 19 coronavirus: China hit by devastating outbreak in Guangzhou

Mais oui, tu m’en diras tant. Vachement dévastateur ! Ces salopards de Kiwis sont de vrais covidéments collabos (adeptes de la secte Zéro Covid).

L’article du correspondant du New York Times à Pékin rappelle au passage les formidables contraintes imposées aux… étrangers visitant le pays. Bien réelles, elles…

Les voyageurs doivent effectuer une pré-quarantaine dans leur pays… puis une nouvelle quarantaine de 2 ou 3 semaines dans des locaux ad hoc en Chine (à leur charge), même s’ils sont… vaccinés.

Ils subissent une batterie de tests… et malheur aux faux positifs (qui existent bien entendu)… Car dans ce cas, zou, internement en hosto, traitement spécial, isolation, et on est reparti pour un tour (comme en Thaïlande).

Mais là où on touche au sublime c’est quand le journaliste (?) écrit :

A German national who flew into Shanghai last month said that he had been sent to a hospital isolation room for three days because he tested positive for antibodies, which he attributed to taking a second vaccine dose 16 days earlier.

Nurses took his blood twice a day and performed six throat swabs, four nasal swabs and two anal swabs daily, said the German, who insisted on anonymity to avoid offending the authorities. The hospital room had no towels, no toilet paper and no television, and the bed was a steel plate with a thin mat, he said.

Même selon les canons chinois, c’est totalement invraisemblable

Rappel : il s’agit ici du soit disant fleuron de la presse quotidienne intello bobo américaine. Le fucking New York Times !

Deux prises de sang, 6 tests PCR dans la gorge, 4 tests PCR dans le nez plus 2 prélèvements dans le rectum PAR JOUR ! 😉

Bande de sinistres crétins sinisants.

Que ce citoyen allemand (est-il seulement réel ?) aie pu subir cela… durant ses 3 jours passés à l’hôpital… clairement oui… Mais pas par jour, non.

Alors pourquoi je m’énerve sur ce détail ? D’abord, parce que c’est inexcusable de la part d’un grand quotidien américain qui fait référence (dans la désinformation et les fakes news).

Mais surtout parce que cela participe de la psyop.

L’exagération systématique, le grossissement outrancier, perpétuel.

Tout est toujours hénaurme avec le couillonavirus, surtout en Chine. Alors que cela ne correspond absolument pas, jamais au Réel.

Et la Chine ne fait rien pour démentir cette emphase, ou la mettre en perspective… Au contraire. Car c’est elle qui orchestre ce spectacle. Auteur, metteur en scène et acteurs. La Chine est tout cela à la fois.

La covidémence est un spectacle en Chine.

Quand la Chine confine… une ville ou simple quartier… Les médias deviennent fous, alors qu’en Occident -et ailleurs- on a confiné des pays entiers comme des demeurés.

La Chine est parvenue à nous imposer son modèle covidément… sans jamais se l’appliquer à elle-même.

Seulement en apparences, grâce à ses mises en scènes, grâce à sa propagande.

C’était vrai dès janvier 2020. Ca l’est toujours. Cette constance signe une fois de plus le crime.

La boucle psychologique ainsi créée est remarquable d’efficacité :

  • la Chine prend des mesures très dures
  • donc le virus est très dangereux
  • et c’est parce que elle prend des mesures très dures qu’elle a très peu de cas, et donc qu’elle réussit

Voilà pourquoi il y a toujours, et il y aura toujours un petit foyer, quelques cas ici ou là en Chine. Pour entretenir le spectacle.

Chaque petit foyer permet de montrer au monde une nouvelle fois à quel point la Chine est dure dans sa guerre (mot utilisé par Xi Jinping) contre le terrible couillonavirus, et à quel point elle réussit, et donc à quel point sa méthode doit être émulée partout…

L’ASTUCE DU JOUR

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12 replies on “Gag pékinois, 12 tests par jour : nez, gorge, anus”

Tout ,n’est pas perdu pour les vaccins chinois.
La France est embetée,elle a besoin des touristes chinois.Et donc d’autoriser la venue'( avec pass) des gens vaccinés avec le vaccin chinois.
L’europe sera sans doute obligée d’autoriser les vaccins chinois.

Peut-être. Mais j’en doute. Pour une raison très simple : il n’y aurait pas de clients !

Même les Thais se méfient du vaccin chinois (ces abrutis préfèrent l’AstraZeneca ou même encore mieux le Pfizer/Moderna pour les plus riches qui peuvent choper la came à l’étranger)… C’est dire… 😉

Si cette autorisation se matérialisait, alors il serait rationnel de se faire injecter le chinois plutôt que les merdes ARNm (en cas d’obligation)…

Enfin, de la part d’un pays capable d’empoisonner ses propres enfants avec du lait trafiqué… tout est possible 😉

Docteur au secours je crois que je n’ai pas compris grand chose, en Belgique il y a peu fallait que les invités fassent pipi au jardin mais ça, ça ne pose pas de problème
EUROPE

Italie: deux transplantations d’organes de donneurs positifs au Covid réussies

L’Italie a annoncé jeudi deux transplantations d’organes à partir de donneurs testés positifs au Covid-19 à des patients négatifs sans provoquer d’infection chez ces derniers, une “première mondiale”, selon le Centre national de transplantation.
https://www.dhnet.be/actu/monde/coronavirus-dans-le-monde-deux-personnes-vaccinees-positives-au-covid-a-bord-d-une-croisiere-la-vaccination-insuffisante-en-afrique-60c2ee799978e26ce1886e90
J’ai du louper un truc, non ?

Pour gruger le NYT : vous pouvez installer l’add-on YesScript2 dans votre navigateur. Ce sera plus facile …

Ca me rappelle une vieille blague… quand homme jaune confiner, épidémie être rude. Ugh! Quand homme jaune vacciner, épidémie être très rude, homme blanc devoir acheter beaucoup de vaccins!

« Si une dictature sauve des vies, pendant qu’une démocratie pleure ses morts, la bonne attitude n’est pas de se réfugier dans des positions de principe. »
Phrase écrite noir sur blanc dans un dernier rapport du sénat dont rend compte Florian Philippot (allez sur sa chaîne pour le lien tant que le robot local roupille) et qui vise à mettre en place sans ambiguïté en France une société à la chinoise telle qu’il s’en fantasme dans les « hautes » instances de la république.
« Hautes » en attendant de l’être haut et court, ce que j’appelle de mas vœux et qui aurait une autre allure qu’une gifle de tapette royaliste.
Ce que signifie en fait cette formule, d’une imbécillité sans nom à la mesure de ses inventeurs, c’est tout simplement : « mieux vaut une dictature où l’on ne meurt pas qu’une démocratie où l’on meurt ».
Apparemment, ce ramassis d’invertis mal assumés et de pétasses aseptisées, dont le patron suprême est le meilleur fleuron, n’envisage pas le cas qui saute aux yeux de toute personne dotée d’un simple bon sens.
A savoir celui d’une société où 99 pour cent et plus de la population ne sont pas concernés par l’éventualité de mourir d’un rhume à 85 ans.
Mais d’un point de vue doctrinaire, je vais mettre les pieds dans le plat sur cette prétendue société « à la chinoise ».
Y-a-t-il une réelle différence entre cette formule de directeur de production dans un abattoir roumain et cette autre formule, plus célèbre et en apparence plus fine, dont j’ai déjà parlé :
« Je préfère une dictature libérale à une démocratie sans libéralisme ».
Elle est de Von Hayek, un idéologue allemand penseur cinglé comme seul cet exemplaire pays sait en produire en les affublant du prénom de Friedrich (comme Fried, « la paix », interdit de rire).
Hayek est considéré comme un pape du libéralisme, ce qui ne signifie rien puisque sa formule contient le même non-dit, le même cadavre dans le placard, que l’autre.
Car qu’est-ce qui entend être préservé fondamentalement dans les deux types de société promises par chacune des deux formules ?
Tout bonnement la minorité de possédants -et c’est la même dans les deux cas- qui de toute façon ne sera pas concernée par les deux formes de dictature, puisque c’est elle qui l’exercera et n’en subira pas les inconvénients.
En fait, ce que veulent les fonctionnaires chinois et leurs copies conformes les bassets artésiens du sénat français*, c’est un bon LIBERALISME SANITAIRE DICTATORIAL pour que les biens-nés continuent à se goinfrer et à faire fructifier les produits de leur goinfrerie -Freud assimilait déjà l’argent à la merde.
Le libéralisme sanitaire dictatorial, c’est la fin du voyage libéral, lequel est parti d’une doctrine juridique basée sur la séparation des pouvoirs (il n’en reste rien aujourd’hui donc poubelle), s’est égarée un temps sur le rêve d’un monde sans état avec les « libertarians », pour finalement revenir à la sage recette gagnante de mettre de plus en plus d’état au service du marché.
Et avec la trique en prime puisque l’on ne peut pas faire autrement avec tous ces réfractaires, n’est-ce pas
Mais on avait déjà aperçu l’anguille sous la roche au bout de la voix ferrée d’Auschwitz, grossier bricolage qui aurait pu être imaginé par Jules Verne. Aujourd’hui on fait quand même mieux dans la technologie et le génie génétique raffiné.
Je crois que la clé du libéralisme sanitaire dictatorial en cours se trouve dans un petit bouquin qui ne paye pas de mine (même si l’on en a pas mal causé dans les salons faits pour ça), celui de Christophe Guilluy : « le temps des gens ordinaires ».
Guilluy ne fait que tirer logiquement les conclusions de la sécession générales des classes possédantes ( le terme élites est non avenue à leur sujet). Et s’il l’a fait -Guilluy n’est quand même pas Einstein- il n’y a aucune raison que les bourrins en aéronef de Davos ne l’aient pas fait non plus.
Les « gens ordinaires », avec pour fer de lance les anciennes classes moyennes, sont alors condamnées à s’organiser de leur côté en tournant le dos à ceux qui leur ont déjà tourné le leur.
La relocalisation massive du monde est donc inévitable et signifie que la relocalisation des pouvoirs l’est tout autant.
Scénario cauchemardesque pour les classes possédantes puisqu’elle les oblige à constater qu’en fait elles ne peuvent pas se passer des gueux pour leurs besoins et leur prospérité, et qu’il est vital pour elles (la psychologie a son mot à dire dans l’histoire) de régner sur les peuples sans partage.
Alors arrive la grossière tactique futuriste menée a la manière d’une Blitzkrieg.
Guerre éclair vouée à l’échec car -la dernière guerre mondiale l’avait prouvée- une guerre éclair ne peut l’emporter sur un théâtre d’opération trop vaste, en l’occurrence ici vaste comme le monde.
Et les vacances au Crotoy là-dedans ? Mais on y reviendra aussi, Dugenou.
Obligatoirement.
Après la guerre annoncée.

* Comme porte-parole ils n’ont plus qu’à embaucher, Bruno Guigue, le Louis Aragon sinolâtre de la technocratie française, d’ailleurs tout autant adulé par les zozos du site à Soral -le Grand Couillon logomatique doit avoir besoin de niquer dans le jaune sur ses vieux jours.

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