Eh oui, ça fait exactement trois mois que les premiers cas de Covipox furent officiellement signalés à l’OMS (par l’Angleterre, le 7 mai).
Le temps file, n’est-ce pas ?
C’est l’occasion de faire un bilan et d’appliquer une bonne paire de baffe aux zélotes, aux hystériques et aux crétins (ça fait du monde… !)
Car enfin, nous avons bien compris leurs messages qu’il répètent sans cesse, comme des perroquets :
- les couvertures
- les serviettes
- les poignées de porte
- le virus est dans l’air, via les gouttelettes
- infection asymptomatique
- le virus est actif 15 jours sur les surfaces
- tout le monde peut être infecté
- c’est hyper grave, on va tous mourir, il faut vacciner
… Mais après 3 mois et 25 000 cas recensés dans 70 pays… quelque chose cloche.
Le Réel nous dit… autre chose.
- Où sont les employés infectés dans les hôtels ? Dans les blanchisseries ?
- Où sont les femmes contaminées qui fréquent les salles de gym (air confiné, sueur, gouttelettes, nombreuses surfaces contaminées) ?
- Où sont les gens infectés lors de longues réunions de travail dans des espaces fermés, mal ventilés ?
- Où sont les gens covipoxés durant des voyages en avion, en train ?
Dans leurs fantasmes. Dans leurs délires.
Ou alors les homosexuels n’auraient depuis début mai absolument aucun contact en dehors de leur communauté ? Ils vivraient dans l’éther ? Comment des êtres virtuels ? Désincarnés ?
Le Covipox est principalement une MST anale, c’est important de le souligner. Il s’attaque en priorité aux immuno déprimés et/ou à ceux qui pratiquent une sexualité débridée.
Et c’est pourquoi les homosexuels forment la principale clientèle de ce virus. Nombreux ont un corps perturbé voire abîmé (séropositivité, multiple MST, traitement médicamenteux préventif contre le HIV etc.) et ils pratiquent -par définition- la sodomie.
Nous y voilà.
L’époque est politiquement débilitante, woke, et se détourne du vocabulaire réel (exemple “homosexuel ” devenant “homme ayant des relations sexuelles avec des hommes” ou “sodomie” devenant “contact rapproché peau à peau“).
La sodomie est la voie de choix pour certains pathogènes.
CQFD, si j’ose dire.
Le risque HIV est ainsi considérablement plus important via les muqueuses du rectum que le vagin (on le sait depuis perpète, mais il ne faut pas le dire car c’est stigmatisant et stigmatiser c’est mal).
Et à cette pratique, s’ajoutent d’autres risques : chemsex, partouzes.
Alors certes, la presse prend un malin plaisir à monter en épingle quelques cas… pédiatriques (6 enfants aux USA, 5 en Europe nous dit-on). Mais le seul cas véritablement documenté (aux Pays-Bas) était immuno-déprimé et a fait une forme très bénigne…
On voit aussi quelques femmes covipoxées sur TikTok…
Mais en réalité où sont vraiment les femmes ? Car enfin, la moitié de la population mondiale adulte, ça compte quand même ! 😉
Et pourtant il y a des femmes qui dansent, boivent des coups et même font la bise à des hommes gay qui sont covipoxés. Certaines vivent en colocation avec des homosexuels masculins. Ils partagent des repas, font la vaisselle, la lessive, utilisent les mêmes sanitaires, etc.
Où sont-elles ?
Et les femmes qui vivent et ont des relations sexuelles avec des hommes bisexuels ?
Toutes ces femmes qui seraient donc automatiquement infectées par leurs partenaires, car le virus est si contagieux… passeraient ensuite logiquement le virus à leurs propres enfants n’est-ce pas ? Et à leurs copines avec qui elles vont danser le samedi soir ? Et à leurs collègues de travail ?
Non ?
Où sont tous ces gens ? 😉
Et quid du personnel médical ? Ils sont des milliers dans le monde à avoir été en contact avec des covipoxés.
Pas de bol, on ne trouve que 2 cas recensés (un médecin israélien infecté au contact d’un malade et un Français infecté par piqûre d’aiguille après un prélèvement)…
Bref, la dissonnance cognitive augmente chaque jour…
A un moment, le peu de neurones que les hystériques possèdent encore vont tous griller.
Ils devraient commencer à prendre leurs précautions sur les réseaux sociaux, Twitter et compagnie au lieu de répéter en boucle toutes les conneries qu’ils lisent à droite ou à gauche, par wokisme, par imbécilité ou tout simplement par fainéantise intellectuelle.
Et d’abord, travail essentiel à mener : comprendre que le Covipox est DIFFERENT de la “variole du singe” qui vivotte depuis 50 ans en Afrique de l’Ouest… (lire mon article précédent).
POST-SCRIPTUM
Le truc est gros comme… un bouton sur la figure : les 2/3 des homosexuels covipoxés séronégatifs (qui constituent 70 % de l’ensemble des covipoxés)… sont sous traitement PrEP.
Chiffres anglais (74 %) et chiffres français (65 %).
Kezako ? Il s’agit d’un traitement antiviral en prévention… du VIH !
Pardon ?
Je reformule : il y a en Occident des centaines de milliers d’homosexuels qui n’ont pas le VIH mais qui ont ou risquent d’avoir des relations sexuelles… avec des séropositifs (car partouzes, pas de préservatifs, chemsex). Et donc suivent ces traitements !
En France, ils sont… 30 000. Et 600 000 dans le monde (dont 300 000 aux Etats-Unis)…
C’est fou, pensez-vous ? Indubitablement, c’est une forme de démence.
Aucune stigmatisation ici, un simple constat. Clinique.
Après, on peut gloser : désir de mort, tendance suicidaire. Eros et Thanatos. On connaît la musique, les dieux grecs et le freudisme. Le bagage est lourd.
Peu importe, ce n’est pas le sujet.
Le sujet est que la communauté scientifique et médicale… collecte ces données qui devraient les interpeller… et personne ne se dit que, éventuellement, il y aurait un lien de cause à effet.
En d’autres termes, ces antiviraux pourraient interagir avec le virus du Covipox ? Faciliter, paradoxalement, l’infection ?
Ou encore que leur fonctionnement serait perturbé, voire détourné par… allez, prenons un truc au hasard… les produits ARNm présentés comme “vaccins” contre le Covid ?
Vous savez la terrible pandémie qui dure depuis plus de 2 ans… 😉
Non.
Ils tapotent sur l’ordinateur, saisissent les données. Et ensuite… rien.
Et concernant le Covid, c’est pire encore, puisque ils ne posent aucune question aux patients atteints par la “variole du singe”…
Au-dessus, les autorités sanitaires publiques ne réagissent pas non plus.
Circulez, y’a rien à voir.
Et enfin, les politiciens, les médias et les lobbies LGBT++ parachèvent le processus en rajoutant l’hystérie : “y’a pas assez de vaccin ! Il ne faut pas stigmatiser ! On va tous mourir ! Vite déclarons l’état d’urgence sanitaire mondiaaaaaaaale ! “.
En deux ans, le monde a démontré sa clownerie avec le Covid.
Avec la “variole du singe”… la farce est désormais complète.