J’ai souvent parlé des variants serbo-croate, somalien sans oublier le variant du Cantal (terrible).
Je n’étais pas si éloigné de la réalité…
Le Figaro titre fièrement :
Un variant breton détecté, des investigations sont en cours
Puis déroule avec application la patascience et la patacommunication, les deux mamelles du gouvernement fraônçais.
Détecté au sein du centre hospitalier de Lannion, dans les Côtes-d’Armor, ce variant ne présente pas, à ce stade, de gravité ou de transmissibilité accrues par rapport au virus historique.
Voilà. On ne sait rien. A part que le couillonavirus mute en permanence (contrairement à ce qu’affirment nos grands scientifiques français, Casimir, Cyril Hanouna et le professeur Karine Lacombe).
Mais ce terrible mutant pourrait être, au conditionnel, plus dangereux. Forcément. 😉
Enfin, l’essentiel pour le moment est qu’il soit détecté.
Ca vaut toujours mieux que le variant finlandais qui lui a la particularité de ne pas pouvoir être détecté (lire ici).
Tel le chat quantique de Schrodinger, il existe… tout en n’existant pas. 😉
On attend désormais avec impatience le variant parisien du 4ème arrondissement. Son nom de code sera “Hidalgoprout Z1”.
Rincez, répétez.
A part ça, vous êtes à jour pour vos vaccinations ?