Category: Médicament

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Médicament Pognon

La pénurie de médicaments s’aggrave en France

Sur l’année 2016, 405 médicaments avaient été signalés en rupture de stock en France. Ce chiffre a triplé en 2019 et va atteindre 2 400 en 2020, soit « six fois plus qu’il y a quatre ans ». C’est ce que révèle une étude de l’association UFC-Que choisir, qui s’appuie sur les chiffres de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). (Le Point)

Quel rapport avec la choucroute couillonavirale ?

Une situation d’autant plus alarmante que ces pénuries concernent des médicaments dits d’intérêt thérapeutique majeur, “pour lesquels une interruption de traitement peut être susceptible de mettre en jeu le pronostic vital des patients”. (FranceInfo)

Le lien est clair : c’est tout le système qui est corrompu.

La guerre contre l’HCQ ou l’azithromycine par exemple fait partie de cette corruption.

Ces “vieilles” molécules ne rapportent plus assez de thune, alors on les oublie. On veut les oublier. Et donc on les fabrique de moins en moins…

Patrick Gibertie revient sur son blog sur cette affaire, avec des citations de l’avocat Di Vizio (celui qui a déposé plusieurs plaintes devant la Cour de justice de la république sans oublier une plainte au pénal contre le directeur de l’ANSM).

En attendant leur fameux vaccin qui fait jouir les journalistes vous avez le temps de crever et pas seulement de la Covid . Des anticancéreux, des antiparkinsoniens, des antiépileptiques, des traitements de l’hypo/hypertension, des vaccins, des anesthésiants… Or on constate une augmentation des ruptures sur cette catégorie de médicaments. Trois Français sur quatre ont déjà été confrontés à ces pénuries .

Le problème est que les sanctions financières prévues contre les labos… sont ridicules en terme de montants… Donc absolument pas dissuasives.

seules deux sanctions ont été prononcées par l’ANSM pour rupture de stock contre des laboratoires en 2019.

Le couillonavirus a au moins un mérite (si, si ! en plus de celui d’accélérer la disparition des baby boomers)… il révèle l’os, il dévoile l’étendue de la corruption dans le système de santé français… pourriture qui s’est installée d’abord lentement, puis a progressé, partout.

Et de plus en plus vite.

En gros : on part du scandale du sang contaminé dans les années 80 (qui était très précis, très focalisé)… vers une corruption et une dégénérescence touchant de très nombreux rouages, par capillarité.

 

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Médicament

Oh zut, la chloroquine sauve des malades en Arabie Saoudite

“Eh merde… font chier tous ces médecins étrangers qui me cassent la baraque… Je vais finir par me faire gauler”

“Le temps jugera “, disait Raoult.

Imparable…

Les semaines passent, les mois s’écoulent et des médecins continuent de bosser dans le monde, amassent des données, et d’autres scientifiques les analysent.

Et les études montrant l’efficacité des traitements, à base d’hydroxychloroquine et d’antibios, se multiplient.

Car n’en déplaise au petit Olivier et à ses complices, oui on peut “traiter” le Covid, efficacement au début, c’est-à-dire avant que le malade soit en train de cracher ses poumons chez lui, en bouffant du paracétamol et en attendant que le Samu veuille bien le chercher…

Dernière en date (lien ici) : Prevalence of Diabetes, Management and Outcomes among Covid-19 Adult Patients Admitted in a Specialized Tertiary Hospital in Riyadh, Saudi Arabia.

Etude portant sur 300 malades du Covid en Arabie saoudite du 1er mai au 31 juillet. Avec un festival de comorbidités (50 % avec du diabète, et 28 % de l’hypertension).

Et ce qui est intéressant, c’est que la Saoudiens font feu de tout bois. Ils ne s’en remettent pas aux vapeurs des crétins occidentaux corrompus.

En clair, voici ce qu’ils balancent aux malades : azithromycine, hydroxychloroquine (vous savez la fameuse molécule trop horrible qui tue tout le monde en provoquant des arrêts cardiaques), mais aussi vitamine D, et vitamine C, et d’autres médicaments.

Bilan ?

10 % sont morts. Et donc vous l’aurez compris (hum..) 90 % s’en sont sortis. 😉

Conclusions statistiques ?

D’abord le truc évident :

Covid-19 patients above 50 years was almost three times more likely to die (confidence interval, CI 1.3-6.9; p=0.01) from Covid-19 compared to patients aged below 50 years.

Mais aussi, oh quelle surprise :

Among the treatment options, patients who were given methylpredinosolone, dexamethasone, hydroxychloroquine and azithromycin were significantly less likely to die from Covid-19 by as much as 65%, 80%, 88% and 97%, respectively.

Ah bon ? L’hydroxychloroquine qui normalement tue tout le monde, réduit de 88 % la probabilité de mourir du Covid ?

Et avec l’azithromycine c’est 97 % ? Nooooooooooon sérieux ? Comme les médecins à Aulnay-sous-Bois qui l’utilisent également (lire mon article ici) ? 😉

Le petit Olivier est attendu à l’accueil.

Non, non, pas l’accueil de la piscine ni du centre aéré.

Celui de sa future prison.

Et le plus drôle c’est que le petit Olivier ne sera pas seul.

On pense par exemple très fort aux salopards de l’Ordre des médecins, aux ordres donc, et qui prétendent juger et sanctionner Raoult… pour son utilisation de l’hydroxychloroquine ! ….

Ils pourront jouer aux cartes ensemble.

Et partager leurs savonnettes dans les douches… Il paraît que c’est toujours un sport très, très populaire en zonzon.

PS : rappel le site https://c19study.com met à jour régulièrement la liste des études portant sur l’hydroxychloroquine, avec un classement par date, un rapide résumé etc. Très bien fait.

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Médicament Pays

Chloroquine au Maroc : “C’est bon comme là-bas dis !”

Un coucous et un bol d’hydroxychloroquine, et roulez jeunesse ! Le Covid, il ne passera pas par moi.

Pendant que le petit Olivier prépare son trousseau pour son futur séjour en prison, que Castex L’Intraitable fait des ronds dans l’eau, que Moussa Darmanin rend hommage au FLN, les Marocains se marrent, bouffent du coucous et soignent leurs covicas avec… de l’hydroxychloroquine.

Est-ce un signe ?

Assurément.

Celui de la dégénérescence et de la corruption françaises (plus largement occidentales).

La Fondation Cheikh Zaïd propose un nouveau service de soins à domicile pour les patients déclarés positifs à la COVID-19. Ce service, dénommé «Allô Hôpital Fondation Cheikh Zaïd», est actuellement disponible au niveau de Rabat et Casablanca et leurs régions et devrait être déployé dans tout le Maroc courant 2021. (source EcoActu)

Cette fondation a été créée au Maroc en 1993. Elle opère plusieurs centres hospitaliers, campus universitaires et centres de recherche.

Les soins à domicile comprendront une première visite avec électrocardiogramme. Puis prescription… d’hydroxychloroquine. Et une 3ème visite de contrôle, avec nouvel électrocardiogramme.

En clair : un pack anti-Covid, sur le modèle Raoult, à domicile… Ce qui permet en outre d’éviter l’encombrement des structures hospitalières.

C’est simple, c’est malin, c’est marocain.

On rappellera aux pissefroids que le Maroc totalise 122 covidécès par million d’habitants… quand la France des glandus Macron, Véran et Salomon est à 651 ! (source Worldometer).

“Alors les gueux, ça farte ? Les Marocains vous saluent bien !”

En clair, au lieu de faire le cake à la France China Foundation, ou de choisir la marque de savonnette qu’il prendra en prison… Olivier Véran ferait mieux d’aller faire un stage à Rabbat, pour étudier (et comprendre, mais ça c’est plus difficile) pourquoi et comment le Maroc fait beaucoup mieux que la France en matière de santé publique !

Et en prime, il pourrait fumer un joint de l’excellent produit local dont le nom commence par un H et finit par un H.

Avec un peu de chance, ça pourrait lui rebrancher les lumières dans le cervelet…

Véran la vérole est tellement stressé à l’idée de finir en taule qu’on le voit ici en train de tirer sur le spliff. Un conseil Olivier : va faire un stage d’études à Marrakech. Ca te calmera. Et surtout, ça nous fera des vacances