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Médicament

GABA : nouveau ba-BA contre le couillonavirus

Allez zou un cachet et au lit !

Les mois, les années passent… et les études qui mettent en avant l’efficacité de molécules banales contre le couillonavirus, continuent de s’empiler.

Ca en devient indécent.

Je synthétise : le slogan de 2020 “il n’y a pas de traitement contre le Covid” n’était qu’un baratin criminel, destiné uniquement à donner une substance à la menace couillonavirale.

Au lieu de soigner les malades… il fallait les faire crever  avec… du paracétamol (ou encore du Rivotril).

Coup double, car ce crime permettait aussi de justifier la fameuse “vaccination“… devenant la seule “arme” contre la terrible pandémie.

On connaît la suite : une invraisemblable hystérie collective avec des produits ARNm pas maîtrisés, et dangereux.

Inutile donc de revenir sur les antibios, l’HCQ, l’ivermectine, et tant d’autres… (pour les retardataires, vous pouvez feuilleter ma rubrique Médicaments, c’est un festival… et encore je n’ai pas pu tout répertorier…).

Aujourd’hui, c’est au tour du GABA.

Titre de l’étude :

A GABA-receptor agonist reduces pneumonitis severity, viral load, and death rate in SARS-CoV-2-infected mice

Lien : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2022.1007955/full

We observed that GABA treatment initiated immediately after SARS-CoV-2 infection, or 2 days later near the peak of lung viral load, reduced pneumonitis severity and death rates in K18-hACE2 mice. GABA-treated mice had reduced lung viral loads and displayed shifts in their serum cytokine/chemokine levels that are associated with better outcomes in COVID-19 patients.

A noter que la même molécule avait été testée contre un autre coronavirus (par la même équipe, en mai 2021), avec des résultats similaires

Alors kézako GABA ? Acide gamma aminobutyrique (gamma-Aminobutyric Acid).  C’est un neuro-transmetteur (il favorise le calme et la relaxation).

On le retrouverait aussi dans des cellules du système immunitaire, ainsi que des cellules du poumon (comme récepteur), et il inhiberait l’inflammation.

Voilà ce qui expliquerait son action contre le couillonavirus.

On trouve le GABA sous la forme de compléments alimentaires.

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Humour Médicament

Virus chimérique versus cancer : “I am legend”

A droite Will Smith. Il a un cancer du cerveau car il frappe des gens, sans raison. A gauche, Robert. Il n’a plus AUCUN cancer grâce à un vaccin chimérique variolique aux enzymes gloutons. Mais euh… comment dire… Robert a des problèmes.

Vous connaissez sans doute cette scène frappante du film I am legend : “we have cured cancer” (avec la délicieuse Emma Thompson et son plus beau sourire ingénu, à la fois bienveillant et terrifiant, Emma on t’aime, toi et ton accent si british).

Nous avons guéri le cancer

En mai 2022… l’idée pourrait-elle… se concrétiser ?

Scientists have injected the first human patient with a new cancer-killing virus. The virus, known as Vaxinia, has seen successful tests in animals. However, the true test of its efficacy begins with this new clinical trial. (source)

Ah ? Testé sur les animaux… mais par encore sur l’homme ? Eh oui, bien sûr. 😉

C’est comme l’oeuf et la poule… à un moment, faut y aller !

La société explique sur son site :

Our lead candidate is a chimeric vaccinia (pox) virus known as CF33, developed by Professor Yuman Fong, at the prestigious City of Hope Comprehensive Cancer Center in Los Angeles, California.

Vaccinia is a genetically stable double stranded DNA virus of the Poxviridae family. It has a track record of safe use in millions of humans as it was the active constituent of the vaccine that eradicated smallpox, one of the most devastating diseases known to humanity and was the first oncolytic virus demonstrating viral oncolysis in the laboratory in 1922.

Vaccinia has a short well characterised life cycle and spreads rapidly from cell to cell, but does not integrate into the host’s genome. It is highly cytolytic for a broad range of tumor cell types. It has the potential to act as both a gene therapy delivery vehicle and oncolytic agent.

Cette famille de virus… c’est la variole !

Eh oui. Encore une coïncidence.

Décidémment, 2022 n’est pas l’année du tigre… mais bien celle du singe. 😉

Bref.

C’est peut-être un miracle, la technologie du futur qui va éradiquer les cancers.

Ou pas.

Ou pire.

POST-SCRIPTUM

Rappelons à tous les hypocondriaques du masque et les coviobsédés qu’il existe une véritable pandémie dans le sens ultra meurtrière… c’est celle du cancer. Les cancers.

Neuf millions de morts dans le monde… chaque année. Paire ou impaire. Même bisextile ! (source OMS).

A tel point qu’on dit maintenant : “Si à 30 ans t’as pas eu un cancer, t’as -déjà- raté ta vie”.

Alors à cette aune, vous comprenez… le couillonavirus… on pouffe.

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Médicament Saloperie et sida mental

Médicament : encore un échec pour Pfizer

La seule réussite UTILE dans cette boîte de merde… Découverte tout à fait fortuite, faut-il le préciser ? 😉

Pfizer continue de saloper tout ce qu’il touche…

Soit le Paxlovid… pillule soit disant contre le couillonavirus, très chère, inutile et avec une efficacité aléatoire

Cette saleté est encore pire… Puisque euh… comment dire… il semblerait que cette molécule… en réalité… euh… la charge virale ainsi que les symptômes repartent à la hausse après le “traitement”.

C’est ballo.

Reformulons sous la forme d’un slogan :

“Avec notre médicament, après une brève accalmie, vous deviendrez encore plus malade. Ca fera 1 000 euros, carte, chèque, espèces. Prout”.

😉

J’exagère à peine.

The FDA “is evaluating the reports of viral load rebound after completing paxlovid treatment and will share recommendations if appropriate”.

In a recent preprint case report, Veterans Affairs researchers reported that a 71-year-old male who took the pill, also known as nirmatrelvir, experienced a “rapid and progressive reduction” in the viral load of SARS-CoV-2, the virus that causes COVID-19.

But four days after completing the treatment course, there was a “surprising rebound of viral load and symptoms,” they reported.

The report “highlights the potential for recurrent, symptomatic SARS-CoV-2 replication after successful early treatment” with the pill, the researchers said. (source ZeroHedge).

Etrangement, parmis des dizaines, que dis-je, des centaines d’études menées dans le monde depuis 2020 sur l’HCQ et l’ivermectine, et autres molécules (antibiotiques etc.) pour le traitements précoce du couillonavirus… on n’a jamais fait état d’un tel phénomène !

Comme c’est étrange ! Encore un mystère mystérieux.

Ce doit être une malheureuse coïncidence. La faute à pas de chance.

Monsieur Pfizer a marché dans un étron canin, délicatement posé sur le trottoir, ce sont des choses qui arrivent (spéciale dédicace à mes amis parisiens).

Précisons que ce phénomène était connu en réalité dès… 2021 lorsque la FDA avait donné l’autorisation “en urgence” à la pilule de Pfizer !

In the FDA’s evaluation (pdf) of data on paxlovid, which the agency cleared on an emergency basis in 2021, the agency reported that in an ongoing phase 2/3 trial run by Pfizer, several participants “appeared to have a rebound” in viral load five to nine days after completing their treatment courses.

Bref, comme d’habitude, on fait mine de s’étonner et de découvrir que l’eau ça mouille... 😉

En attendant, pensée émue à tous les gouvernements corrompus qui ont acheté pour des centaines de millions de dollars de cette merde

Après mûre réflexion… Il n’y a qu’une seule chose valable chez Pfizer… la découverte (tout à fait fortuite, comme d’habitude)… du VIAGRA.

😉

La boucle est bouclée, en somme.

Ainsi, pour conjurer le Covid, prenez du Viagra et honorez votre épouse ou votre amie avec passion, vigueur, dévouement et une gaule d’enfer.

Faites l’amour… baisez… tirez un coup… peu importe.

L’humanité s’en portera mieux.

(désolé, c’est mon côté baba anar d’extrême-drouâte qui ressort). 😉