Dr Kiattiphum Wongrajit, the ministry’s permanent secretary, said 95% of cases are now either asymptomatic or mild, meaning there is no need for most people who are infected to receive medical treatment at hospitals.
Less than 1% of Omicron infections reach a moderate let alone critical level, he said. (source Bangkok Post)
Après plusieurs mois de danse du ventre vaudou… le Royaume de Siam vient de faire une découverte extraordinaire : l’eau ça mouille.
Et surtout : les gens pas malades du Covid n’ont pas besoin d’être… hospitalisés !
😉
C’est fou, hein ?
Bon on plaisante, on mitraille l’ambulance, mais c’était pourtant la politique officielle du pays : un covitest positif, et zou, ambulance, petits hommes verts en combinaison, alarme, panique, direction l’hospitalisation forcée et l’internement pendant 1 à 2 semaines !
Avec ou sans…. symptômes.
Alors bien entendu, les hôpitaux ont rapidement été… débordés.
Les autorités ont alors créé des… “hospitels“. Truc très malin, mélange d’hôpital et d’hôtel… En réalité des hangars avec des centaines de lits, où s’entassaient les gens covimalades… mais pas vraiment covimalades. 😉
Bref, un bon gros délire qui entretenait la psychose (et poussait les gens positifs, après un test ATK effectué en privé… à ne surtout pas se déclarer !).
Délire que l’on voit encore chaque jour dans les bilans officiels.
Ainsi celui du jour :
22,197 confirmed new cases and 17,514 probable cases. 118 cases were from abroad and 221 from prisons. Out of 218,784 people in care, 77,444 are in hospital.
Non, il n’y a absolument pas 218 784 personnes en “soin”, ni encore moins 77 444 couillonavirés qui crachent leurs poumons dans les hôpitaux.
Les chiffres sont réels mais les mots utilisés totalement faux.
Comme le reconnaît le ministre, à peine 5 % de ces totaux sont réellement malades, et ont donc réellement des “soins”, de vrais soins !
Tous les autres, on leur prend la température 3 fois par jour, on leur file de la vitamine C, et une herbe médicinale thaïe. Et encore…. 😉
Ils font le poireau comme des prisonniers, en bouffant de la merde, en passant leur journée sur la télé et sur leur téléphone, et en devenant fous.
Deux ans donc.
Il aura fallu 2 ans de covidémence carabinée pour que la Thaïlande finisse par comprendre… qu’il était temps de passer à autre chose et d’arrêter cet engorgement hospitalier parfaitement artificiel et stupide (et avec des effets négatifs très réels, eux, puisque cela mobilise du personnel, des ressources pour rien, repoussant des véritables soins pour de vraies pathologies, bref un fantasme, une terreur infantile entretenue par le grand voisin chinois).