Jusque dans les moments les plus forts, les plus sacrés… les covidéments salissent tout, font du mal.
Ainsi on commence à se rendre compte que les femmes qui accouchent… sont aussi des victimes couillonavirales. Collatérales.
Exemple, en Angleterre, interdiction d’être accompagnée par le père.
Hospitals are still forcing mothers to go through labour without a partner, claims MP inundated with ‘utterly heartbreaking’ stories of traumatic births and miscarriages endured alone (DailyMail)
Alors que c’est contre la politique du NHS. Mais voilà certains chefs de clinique doivent prouver leur vertu couillonavirale. Ils font du zèle.
Et en France ?
Le crime n’en est pas moindre.
Chez nous, on psychote sur le port du masque.
Contraintes de porter un masque durant leur accouchement, certaines femmes dénoncent une forme de violence obstétricale. Si aucune recommandation claire n’a encore été émise, les futures mères pourraient être exemptées du port du masque en salle de naissance. (France Inter)
Là encore c’est le règne des petits chefs covicinglés qui emmerdent le monde avec leurs règles absurdes, leur besoin d’exister et de prouver leur vertu.
Le collectif regrette que les autorités de santé ne délivrent pas de consignes claires alors même que le Collège National des Sages Femmes britanniques et le Collège des Gynécologues américains se sont récemment opposés au port du masque en salle de naissance. Pour l’heure en France, chaque maternité, chaque équipe soignante décide ou non si la future mère doit porter un masque.
Le NHS reconnaît avec son ingénuité bureaucratique démentielle que… il n’y a pas de données, pas de preuves liant femmes enceintes et couillonavirus… Mais vous comprenez… “c’est par précaution“.
A ce titre, il conviendrait d’interdire les accouchements…. Par précaution aussi.
There’s no evidence that pregnant women are more likely to get seriously ill from coronavirus.
But pregnant women have been included in the list of people at moderate risk (clinically vulnerable) as a precaution.
