Les mises à jour de l’Insee se suivent et se ressemblent.
Quand ça veut pas, ça veut pas.
Entre le 1ᵉʳ mai et le 24 août 2020, 178 598 décès sont enregistrés en France à la date du 4 septembre, soit 1 % de moins qu’en 2019 et le même niveau qu’en 2018. (Insee)
Pourquoi cet indicateur est-il important ? Explications :
-la pandémie couillonavirale est officiellement terrible, ce qui justifie des mesures hors normes (masques, interdiction rassemblements etc.)
-elle doit donc provoquer de terribles dégâts et tuer de nombreuses personnes qui ne seraient pas mortes sans l’action du virus.
-donc, la surmortalité doit être visible par rapport à la mortalité habituelle, et ce sur des périodes comparables.
Exemple : la canicule de 2003 avait fauché 20 000 vieillards en quinze jours. Sans la canicule, ces 20 000 vieillards n’auraient pas succombé (en tout cas, pas tous). Il y a donc eu surmortalité.
Dans le cas du Covid, l’arnaque gouvernementale apparaît depuis déjà plusieurs mois en pleine lumière ! Le nombre total des décès est inférieur aux années précédentes. C’était vrai dès le mois de mai, et ensuite confirmé les mois suivants.
Comment est-ce possible ?
Puisque nous sommes toujours en “guerre” contre une terrible pandémie, qui justifie le confinement, des atteintes ahurissantes aux libertés, le masque partout et en toutes circonstances, y compris pour nos enfants, et un coup d’arrêt brutal à l’économie dans son ensemble ?
Le scénario ne tient tout simplement pas.
De plus, le pic du mois d’avril, une réelle surmortalité, sera probablement “lissé” d’ici la fin de l’année… Car il y a une arnaque dans l’arnaque : de nombreux vieillards/malades tués officiellement par le Covid… seraient en fait morts durant l’année, avec ou sans virus (à cause de leur grand âge et de leurs nombreuses pathologies).
Donc, répétons-le : le seul juge de paix c’est le nombre total de décès toutes causes confondues du 1er janvier au 31 décembre. Rien d’autre.
Car on ne peut pas mentir avec l’état civil…. Un mort est un mort… On ne peut pas le compter deux fois, ou oublier de le dénombrer.
Répétons également que l’Insee est profondément malhonnête de commencer ses graphiques au 1er mars… Evitant ainsi soigneusement les grippes hivernales de 2019 et 2018 qui ont tué (en janvier et février)…
Permettant ainsi de “gommer” la comparaison avec 2020, et de mieux faire ressortir le pic couillonaviral du mois d’avril…
Pour mieux vous faire peur.
Enfin, signalons que la Suisse connaît exactement le même phénomène (lire article ici).
On peut se tromper pendant quelques semaines au début de l’épidémie… Mais 7 mois après, continuer dans la covidémence alors que nous avons toutes les données nécessaires ?
La bêtise, l’incompétence se transforment alors -de manière implacable- en volonté criminelle, continue et perverse.
Voilà pourquoi la justice devra passer. Et finira par passer.
Durement.