Cette position de Biden, illustre parfaitement la farce politique qu’est la covidémence. Et le schisme bien réel : les gauchistes en général sont davantage atteints que les individus dits de “droite”.
Pourquoi ?
L’explication est adamantine : le constructivisme.
En permanence, l’homme de gauche veut modeler, définir, organiser la vie de son prochain. Lui ordonner quoi manger, que faire, que penser, comment s’habiller, comment travailler, etc. C’est plus fort que lui.
L’homme de droite peut verser dans ce travers, bien entendu, mais à un degré moindre.
Donc, Biden, le candidat démocrate qui sucre les fraises, n’hésite pas à déclarer à la télé US nationale :
‘I would shut it [America] down; I would listen to the scientists”
Et tout le camp démocrate, à tous les échelons (maires, gouverneurs), sans oublier les médias suivent rigoureusement le même script.
Ils n’ont rien à dire sur l’économie, la Chine, les emplois industriels détruits aux USA, l’immigration illégale, la sécurité intérieure… C’est uniquement “virus, virus, virus”.
C’est par là que nous valons quelque chose, l’aspiration. Une âme se mesure à la dimensions de ses désirs, comme l’on juge d’avance des cathédrales à la hauteur de leurs cloches.
Gustave Flaubert
Le professeur Dider Raoult fut le premier à en parler et à populariser l’expression : “la courbe en cloche“.
Selon lui, la plupart des maladies infectieuses ont le même comportement : ça monte rapidement, puis ça redescend.
En représentation graphique ça donne… une forme de cloche.
Les récents délires des gouvernements occidentaux autour de la “seconde vague“, remplacée d’ailleurs subrepticement par “rebond” (les évolutions de la terminologie officielle sont fascinantes)… doivent être dénoncés.
Et une chose permet de le faire : cette fameuse cloche !
Pour étudier les hospitalisations, en clair les cas graves, et les morts.
Annoncer des milliers de nouveaux cas du couillonavirus… n’a aucun intérêt. C’est comme si je vous disais que chaque hiver, il y a une épidémie de… rhume. Vous renifleriez et vous me jetteriez des bananes.
Le Covid-19 est censé être un terrible virus, très dangereux. Nous devrions donc constater une hausse des hospitalisations (jusqu’aux services de réanimation), et in fine une hausse des décès.
Or non. Cela ne se produit pas. Toutes les courbes dans quasiment tous les pays affichent le même profil. Seul le calendrier change (par exemple : en France, pic fin mars/fin avril… aux USA, plus tard).
Voici des exemples dans différents pays.
NEW-YORK STATE (population : 19,5 millions) : GRAPHIQUE DES HOSPITALISATIONS POUR L’ETAT (la ville est contenue dans l’Etat)
Cuomo est le gouverneur de l’état de New-York (source).
UK : NOMBRE DES DECES PAR JOUR
UK : NOMBRE DE PATIENTS HOSPITALISES
SUEDE : NOMBRE DE DECES PAR JOUR
DES GRAPHIQUES BRUTS
Réalisés par mes soins à partir d’une superbe base de données ouverte (cliquez sur le bouton “download” à droite sur l’écran suivant).
38 000 lignes au total… Des indicateurs par pays, et par jour. Bruts. Donc parfois des valeurs négatives, ou fortement positives (révisions faites par les autorités) sur certaines séries.
ITALIE : DECES PAR JOUR
FRANCE : DECES PAR JOUR
ALLEMAGNE : DECES PAR JOUR
Au passage, vous noterez les différences d’échelle… En France, maximum 2000 morts par jour….En Allemagne… maximum 320 morts par jour… Pour une population plus importante…. “Achtung, achtung, la Reichsführer Angela appelle le petit Emmanuel à la barre du tribunal“… 😉
Ces criminels finiront par devoir rendre des comptes…
Voilà. Faut-il continuer ?
Désolé, j’ai la flemme. 😉
Vous avez l’essentiel sous les yeux.
Je répète la conclusion : le nombre de nouveaux cas, l’axe de communication soigneusement choisi par de nombreux gouvernements covidéments pour terroriser le troupeau, ne veut rien dire.
Le Covid-19 est censé être un virus très dangereux puisque les autorités nous imposent de nombreuses mesures pour le contrer (y compris une course effrénée, fanatique même vers des vaccins).
Donc si le nombre de nouvelles infections augmente partout et fortement, alors les hôpitaux devraient se remplir et peu de temps après les morgues aussi.
Il n’en est rien.
Ergo : la menace n’existe plus (sauf cas particuliers). Les autorités mentent, délibérément.
Concernant la ou les raisons, Raoult l’a répété à plusieurs reprises : on ne sait pas.
Meilleur traitement ? (suivez mon regard) ? Pourquoi pas, mais on devrait voir malgré tout le nombre d’hospitalisations grimper.
Saisonnalité ?
Affaiblissement du virus (mutations) ?
Immunité collective ?
Ou encore (ma propre thèse) : le virus a fait son boulot… en clair il est passé par là… il a déjà tué les plus fragiles… et ce “stock” s’est de facto asséché…*
Le plus probable ? Un peu de toutes ces raisons…
Mais on ne sait pas.
*oui je sais ce “stock” se reconstitue en permanence, merci les fact checkers du stade anal. Mais les lecteurs intelligents auront compris mon propos.
Ce qui se passe en France... se passe partout ailleurs en Europe. C’est-à-dire pas grand chose.
Il y a bien des nouveaux cas, mais… ces infectés ne sont pas… malades.
Les hôpitaux sont vides. Les services de réanimation jouent… au scrabble.
L’évolution des données de mortalité toute cause confondue confirme -pour l’instant- cette observation (voir France et Suisse).
Si le nombre total de décès tout cause ne bouge pas vraiment sur l’année (pas de forte hausse), alors cela signifie que les “morts du Covid” (30 500 nous dit-on)… seraient morts… de toutes les façons durant l’année.
Oui ou non ?
Je l’ai souvent écrit : le juge de paix, le seul, face à cette terrible pandémie couillonavirale, ce sera le nombre de décès toute cause à la fin 2020. Pays par pays.
Tout le reste c’est de la merde dans un bas de nylon filé.
Revenons aux observations du terrain. Ici des témoignages en Angleterre.
Hospitals are empty despite coronavirus cases having gone up over the past month – and it could be because the most vulnerable to the disease have already died, an intensive care specialist claimed today.
C’est la première fois que je lis cette réflexion de bon sens dans un -grand- média, et venant d’un membre de la communauté médicale en plus (le docteur Ron Daniels, à Birmingham) : ceux qui devaient mourir (car vieux ou malades et donc vulnérables au Covid) ont déjà été infectés… et sont déjà morts.
Et on ne peut pas mourir deux fois, même dans le “monde d’après“, celui que les covidéments veulent absolument faire advenir. Aux forceps du mensonge et de la folie.
Ergo : c’est fini. Il n’y a plus que des nouvelles infections, asymptomatiques ou légères.
Je comprends. C’est choquant de l’exprimer d’une manière aussi abrupte, mais c’est le Réel.
J’ai moi même exprimé une dérivé de ce fait… encore plus violemment en écrivant : “Le Covid tue des vieux/malades… qui seraient de toute façon morts dans l’année. En gros.”.
(Le “En gros” venant bien entendu contrebalancer ma propre exagération, avec ironie.)
Et d’une autre manière, indirecte, sous la forme d’une question, toute aussi violente : fallait-il détruire l’économie mondiale pour que “papy et mamy puissent mourir à 80 ans et demi, au lieu de 80 ?“
Car au fond, ces quelques mois de confinement… n’auraient-ils servi qu’à cela ?
“Faire société” et vivre dans le Réel, c’est forcément oser aborder ces questions.
A l’inverse, ne pas poser ces questions, c’est céder à la lâcheté.
Ou aux manipulations.
Et dans le cas du couillonavirus, vous connaissez par avance ma conclusion.