Les témoignages s’accumulent.
Ma propre expérience (Asie du Sud-Est vers Paris en mai)… des formulaires à remplir…mais jamais exigés par la police des frontières de notre glorieux pays.
L’officier à Amsterdam ? Rien à foutre non plus. Mais très poli.
L’arrivée à Paris CDG ? La blague… Rien de rien. Même pas une petite caméra thermique à se mettre sous la dent. Alors que nous étions, souvenez-vous, “en guerre” contre le couillonavirus.
Ce qui frappe toujours avec la covidémence et la problématique des frontières c’est d’abord une certaine odeur. Très prononcée.
Celle d’un gigantesque foutage de gueule. 😉
D’un côté, tout est fait pour distiller la terreur virale… de l’autre concernant certaines mesures pratiques… on retombe dans la bonne vieille branlologie française que le monde nous envie (ou pas).
Le plus beau symbole est cette expression reprise en coeur et avec enthousiasme par tous les covicons et les covidéments : “le virus n’a pas de passeport” (Macron bien entendu, et tous les autres).
Ajoutez ensuite pour les plus aventureux : “vous n’aurez pas ma haine !“
😉
Alors que si. Et la honte et la haine, mon général !
En Thaïlande par exemple, les frontières sont fermées, totalement, réellement et je peux vous assurer que le bordel requis pour rentrer… ferait rougir de honte n’importe quel fonctionnaire français en stage d’été à la Stasi.
Le tout couplé avec 14 jours de quarantaine dans un hôtel sélectionné (payé de sa poche par l’imprudent voyageur). En coopération avec un hôpital local, 2 tests dans le pif, 2 prises de température par jour avec reporting électronique et tout le tralala.
Sans oublier bouffe avec couverts plastiques (car celui qui franchit la frontière est forcément contaminant) et charlotte sur les cheveux pour le personnel… Ambiance Lèvres de Feu avec Star Trek modulo Mash.
Là, le couillonavirus il ne passe pas…
Quand on veut on peut.
Mais la France et ses complices européens n’ont jamais voulu.
Car frontières fermées = invasion migratoire stoppée, et ça mes amis, vous le savez bien, c’est intolérable. Verboten.
L’idéologie “frontières ouvertes” est même souvent supérieure à la covidémence… C’est dire… !
Vous remarquerez d’ailleurs qu’elles se chevauchent : ce sont les mêmes individus qui généralement souffrent de ces deux formes de démence.
Alors pour revenir à ce capiteux parfum de foutage de gueule tricolore, rien de vaut un article dans le Canard Enchaîné… 😉