Après avoir attendu leurs visas pendant presque… un an (c’est compliqué les visas) et passé 14 jours dans un hôtel aux fins de quarantaine (on n’est jamais trop prudent) les fins limiers de l’OMS poursuivent leur voyage… touristique en Chine.
Leur mission ? Trouver l’origine du terrible couillonavirus responsable comme chacun le sait de la terrible pandémie.
Bien sûr, plus d’un an après, ça va être difficile… faudra repasser, voire se déguiser en pangolin… en revanche, ils peuvent goûter aux spécialités locales, visiter Disney Land à Shanghai, taper le carton avec les locaux et tremper le poireau avec quelques femmes de la nuit (c’est toujours bon pour les échanges inter-cul-turels, sans oublier les futurs kompromat).
Et quoi d’autre ?
Ah j’oubliais un truc vachement important et cette fois vraiment en lien avec la terrible pandémie.
Ils ont ainsi visité le fameux le marché de Wuhan, vous savez là où le pangolin a niqué la chauve-souris, ou l’inverse on ne sait plus très bien à notre époque de flou sexuel, avant d’être bouffé par un mec qui venait acheter des carottes et des choux (pour son pot-au-feu wuhanais, un plat très relevé).
Et donc après, pouf, le virus a sauté de l’un à l’autre, avant… de vous sauter… vous, si vous me pardonnez cette familiarité.
Vous suivez ?
Sauf qu’il y a un petit problème.
Les lieux ont été passés à la javel, façon décontamination terminale, façon Monsieur Propre, au début de l’année 2020. Puis totalement fermés.
Zut. C’est ballot.
Une malencontreuse erreur administrative sans doute.
Mais… mais alors comment va t-on faire pour le virus, tout ça ? Et l’OMS ? Va t-elle finir par emballer le pangolin dans du papier alu ?
Il convient de réfléchir. Peut-être qu’en organisant un nouveau voyage dans 5 ou 10 ans, ils pourront éventuellement retrouver… des traces, façon archéologie, style fossiles… 😉
Avec les compliments du Parti communiste chinois qui vous veut du bien.