Ce graphique est stupéfiant. Fin août… il ne se passe quasiment rien sur le front des morts du couillonavirus, même si pendant tout l’été on a joué le psychodrame de “la seconde vague” et de l’explosion des cas, quasiment tous asymptomatiques.
Les deux pays sont à égalité si j’ose dire… On part de zéro. Et puis à compter de la mi septembre, l’écart recommence à se creuser… Pour finir par être totalement invraisemblable début novembre et rejoindre l’écart de la première vague.
Rappelons que sur le temps long, depuis le 1er mars, la France a souffert 677 covimorts par million d’habitants, et l’Allemagne 150, soit une différence d’un facteur 4,5 (source Worldometer) !
Mais comme je l’ai déjà souligné, cet écart… réapparaît et se poursuit avec la flambée automnale du couillonavirus.
Comment est-ce possible ?
Le gang des crétins Véran, Castex, Macron devraient débloquer un tsunami de pognon pour étudier ce que font (ou pas) nos voisins outre-Rhin.
L’Allemagne c’est un pays plus âgé que la France, avec une densité de population plus élevée (236 hab/km2 contre 119), la frontière est à 400 km à vol d’oiseau de Paris, ils bouffent des saucisses, de la bière, ont une forte communauté d’immigrés (turcs) qui bouffent des saloperies type kebab comme chez nous, ont des grandes villes, de la pollution (air, eau), etc.
BREF LES ALLEMANDS SONT COMME NOUS.
Et le couillonavirus est le même (on ne me fera pas croire que l’Allemage jouit spécialement d’une souche moins léthale).
Alors ?
Ce facteur 4,5 depuis le 1er mars, et qui augmente de nouveau ces dernières semaines… s’explique forcément par autre chose.
La couleur du slip de Véran la vérole ?
Non. La prise en charge et le traitement.
Dès la fin mars, on avait déjà relevé la différence allemande. A l’époque on a avancé l’explication des nombreux tests réalisés par les Allemands (exemple d’articles ici).
7 mois après on comprend que l’argument n’en était pas un. Puisque la France depuis l’été aligne des records (stupides) de tests (plus de 2 millions par semaine maintenant).
Donc retour à la case départ.
Il y a autre chose.
Je rappelle également que l’idée selon laquelle la différence s’expliquerait par… les mensonges du gouvernement allemand qui minimiserait le bilan… est totalement fausse (lire mon article au sujet de la mortalité toute cause confondue en Allemagne, et la comparaison avec la France).
Rien que ce graphique devrait provoquer une énorme controverse en France et devrait pousser le gouvernement à diligenter des enquêtes, mobiliser des scientifiques et des budgets colossaux pour comprendre pourquoi les Allemands ont beaucoup moins de covimorts, à la fois au début de l’épidémie, et même encore aujourd’hui.
Le silence, l’inaction des autorités françaises… signent leurs intentions criminelles.
Aucune fierté nationale ici, on parle de gens qui meurent de ce côté-ci du Rhin, et pas de l’autre ! Il ne s’agit pas d’un match de football bon sang !
Que se passe t-il ? Est-ce parce que les Allemands, silencieusement, utilisent l’hydroxychloroquine (lire ici) ? Ou autre chose ?
Pourquoi ce silence ? Pourquoi cette volonté obstinée, forcenée de ne pas en parler, de ne pas savoir, de ne pas comprendre ?
(graphique temps long. Comme le premier, mais depuis le 1er mars).