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AstraZeneca : le bide américain

“Alors les gueux ! Vous pensiez que le monde des injections était un monde juste ? Sain ? Animé uniquement par les bons sentiments et la santé publique ?”

La société anglo-suédoise n’aura pas eu son quart d’heure américain.

Au contraire : elle est larguée par les Yankees comme une vieille pute édentée et qui sent mauvais.

Vous ne le savez sans doute pas… le vaccin couillonavirant d’AstraZeneca… n’est -toujours- pas autorisé outre-Atlantique !

Eh oui, en terres Pfizer, on ne plaisante pas avec ces choses-là. 😉

La concurrence c’est bon pour les marques de crèmes glacées, rouges-à-lèvres, lingerie fine, ou sextoys… mais pour la came sérieuse... non, surtout pas.

Un beau monopole (ou duopole si on intègre Merdena, le Poulidor pathétique de la piqoûze) est préférable à une saine émulation capitalistique et scientifique… n’est-ce pas monsieur Bourla ?

Bref.

Alors que nous sommes obsédés par la guerre mondiale de le Golfe de la Ukraine et que des milliards de doses de produits ARNm ont déjà été injectées… plus personne ne s’intéresse à AstraZeneca.

Et ce n’est pas nouveau… Très tôt, j’avais annoncé la fin (lire ici).

En Asie du sud-est par exemple (Thaïlande, Singapour, etc.), les “boosters” sont uniquement du Pfizer.

Le monde des produits couillonavirants est impitoyable… Et Pfizer règne en maître absolu.

Dès le début des campagnes de dosages, il y a plus d’un an… AstraZeneca a pris des peaux de banane, voire des quenelles de 150 (les caillots sanguins, plusieurs pays renonçant à utiliser le produit pour les gens jeunes, ou totalement etc.)

Sans oublier des soucis de production grotesques (retards et lire ici).

Les dirigeants d’AstraZeneca semblent enfin avoir compris… Et ils sont prêts à jeter l’éponge aux Etats-Unis.

An AstraZeneca Plc (AZN.L) executive said the British drugmaker would consider not submitting its COVID-19 vaccine for approval in the United States if the regulatory process takes too long, the Financial Times reported on Thursday. (source Reuters)

Les mecs vont même jusqu’à… faire preuve d’intelligence, ou plutôt de clairvoyance ! Si, si.

“We don’t need to push it in places we are not needed or wanted,” Pangalos told the Financial Times.

Entre ce Pangalos et le Pangloss voltairien… il y a le même nombre de lettres. 😉

Ils en auront mis du temps à comprendre !

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Pognon

Russie : une prise de judo en or ?

L’or est éternel. Ajoutez-y le pétrole et alors… boum.

Rappelons les invariants :

La Russie c’est le mal. Poutine c’est le diable.

Les Etats-Unis l’ont amplement démontré avec leurs cingleries des pseudos “dossiers”, créés de toute pièce par les démodégénérés pour monter en sauce la “collusion” de Trump avec le maître du Kremlin etc.

Poutine et ses hommes savent tout cela.

Donc ils ne pouvaient pas ne pas penser qu’ils seraient ostracisés, diabolisés, sanctionnés par l’Occident psychotique (voir le Covid), woke, neuneu, hystérique.

Le couillonavirus a ravagé l’Occident ou plutôt a révélé et accéléré à la fois sa dégénérescence.

Le wokisme, et son bâtard la haine de soi, se répand comme une traînée de poudre en Amérique du Nord et en Europe.

Il suffisait donc à la Russie d’attendre.

Les Etats-Unis sont de plus en plus divisés, les élections mid terms s’annonçaient désastreuses pour Joe Bidet. L’Empire pourrit de l’intérieur. Et par la tête.

Et si vraiment l’Otan avait accepté d’intégrer l’Ukraine (peu probable dans de telles conditions) alors Poutine aurait pu passer à l’attaque, en endosssant cette fois le beau rôle.

Il suffisait d’attendre également… pour mettre en service le gazoduc Nord Stream 2, achevant de démontrer de manière concrète la dépendance de l’Europe de l’Ouest au gaz russe.

Donc pourquoi y aller maintenant ?

Pourquoi précipiter les choses ?

Et si l’intervention en Ukraine cachait un objectif plus stratégique ? Plus vaste que les intérêts russes immédiats (sécuriser les frontières, finlandiser les vastes plaines ukrainiennes, libérer/sauver les minorités russophones).

Et s’il s’agissait de précipiter la fin de l’hégémonie américaine, en détruisant son principal levier : le dollar ?

Comment ?

En créant une nouvelle monnaie étayée par les réserves d’or (et d’hydrocarbures) de la Russie et de la Chine.

La question est aussi ontologique que sotte :

Au nom de quoi un baril de pétrole extrait en Sibérie doit être vendu sur le marché mondial… en dollars américains ?

Idem pour un quintal de blé, une once d’or, du minerai de fer, du charbon et tutti quanti ?

Nous sommes ici dans le coeur du réacteur de l’hégémonie américaine.

Le dollar n’est pas le résultat de cette domination… mais bien sa cause !

Le dollar est la clé de voûte du système impérial.

Le coup de génie, après la Seconde guerre mondiale, fut le deal avec l’Arabie Saoudite : sécurité absolue contre vente de l’or noir en dollars.

Le fameux -et bien nommé- pétrodollar.

Quiconque veut acheter un baril de pétrole ou un m3 de gaz… doit obtenir de la monnaie américaine.

Et ce quiconque sur cette planète c’est en réalité TOUT LE MONDE et en permanence 😉 … tant l’énergie est une ressource fondamentale.

Nous devons amasser des quantités importantes de dollars… et ces derniers sont créés… à la demande sur le clavier d’un PC (chinois) par les Etats-Unis (la touche F12 ou alors CTRL P, les experts s’interrogent encore…).

C’est le privilège impérial.

Et comme tout privilège, on finit toujours par en abuser (voir les quantités délirantes de dollars que l’Amérique imprime électroniquement, là encore le Covid n’a fait qu’accélérer l’entropie historique).

Revenons à la question qui illustre l’énormité de cette hégémonie :

Au nom de quoi dois-je vendre un baril de pétrole, extrait de mon sous-sol sibérien, en dollars américains ?

Cette problématique est connue et parfaitement comprise depuis des décennies par les dirigeants russes et chinois… cela n’a rien de secret, rien d’extraordinaire, ni même de très technique… mais ils n’étaient pas prêts

Depuis des années, ces deux grands pays amassent d’importantes quantités d’or (production en propre en Russie, mais également achats) alors que l’Occident est convaincu que l’or est un truc de vieux cons, une relique barbare.

Pourquoi ?

Ils préparent activement la fin du dollar comme système de domination mondiale.

Mais préparer la fin, cela veut dire développer une solution alternative pour servir ses propres intérêts. Et enfin choisir le bon moment pour passer à l’action.

Revenons du côté de l’Ukraine, avec notre cher Poutine.

-je fous la merde

-j’anticipe l’hystérie occidentale

-l’Occident m’isole, me coupe du système banque mondial (Swift) m’interdit de facto de commercer en dollars et me pique mes réserves.

-alors je dévoile ma nouvelle arme, bien plus puissante qu’une arme nucléaire, qui non seulement sécurisera ma position mais en plus détruira mon pire ennemi ; la nouvelle monnaie de réserve et d’échange, gagée sur les réserves d’or et les ressources d’hydrocarbures russes.

Un tel plan collerait parfaitement avec l’esprit de Poutine : le judo.

Utiliser, retourner la force de l’adversaire contre lui.

Une chose est en tout cas absolument certaine (outre l’évidence du privilège impérial, incarné par le dollar) : si la Chine était encore un peu hésitante… les sanctions financières décidées par l’Occident contre la Russie achèveront de la convaincre de l’absolue nécessité de couper tout lien avec la monnaie américaine, le plus tôt possible.

En un sens : l’Amérique vient de se faire hara-kiri.

Les sanctions (jamais vues) contre la Russie sont le début de la fin de l’hégémonie US.

Ce qui colle au fond parfaitement avec le sens de l’Histoire et ce suicide civilisationnel que nous, Occidentaux, chérissons tant…

POST-SCRIPTUM

Quelques jours après l’écriture de ce papier…. pouf… Moscou vient de “monétiser” l’or… en supprimant la TVA de 20 % qui était imposée sur l’achat du métal précieux.

Et la banque centrale russe annonce qu’elle va de nouveau acheter de l’or sur le marché domestique.

Au-delà de ces indices, une évidence s’impose : dans une vraie crise, oubliez la bite qui fait coin-coin et autres bêtises pour ados psychotiques et boutonneux.

Or, énergie et bouffe.

Voilà la Sainte Trinité.

Voilà les fondamentaux historiques, humains.

D’accord, on peut ajouter à cette liste les… armes ;-).

POST-SCRIPTUM BIS

Le cheptel n’est pas au courant (et bon nombre de politiciens occidentaux non plus)… mais la Chine développe depuis 2015 son propre système Swift… Le Cross-Border International Payments System.

C’est ballot, hein ?

En Asie, de nombreuses transactions entre états s’effectuent déjà en monnaies locales.

Bref, la dédolarisation est inévitable. Les Occidentaux sont devenus tellement woke et dégénérés qu’ils ne se rendent même plus compte du Réel qui les entoure. Les rapports de force ont totalement changé.

Rappelons quand même que l’éjection des banques russes du système Swift… n’est même pas réelle ! En effet… après l’effet d’annonce… sont venus les détails techniques qui fâchent

Les banques russes liées à l’énergie… sont exclues de l’exclusion ! (source Reuters).

Bref, on veut punir les banques russes liées au commerce des sextoys, des fleurs coupées et des harengs congelés… mais le gaz et le pétrole… euh… non on a bien réfléchi… Poutine est très méchant mais… pas trop quand même.

La farce.

Visualisez ici la tronche de Joe Bidet qui bave avec son dentier et celle de Burno Lemerdenous-allons-provoquer-l’effondrement-de-l’économie-russe“…

La farce est totale.

Grotesque. Obscène.

Une veille pute édentée barbouillée de rouge à lèvres cheap et de foutre.

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Pognon Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Moderna : l’immunité disparaîtra à l’automne

“Aucun soucis. Des centaines de millions de gogos reprendront -volontairement- leur dodose à l’automne”.

“I think there’s a 20% chance that we might have a new variant that is more virulent, causing more disease than what we had with omicron,” Bancel noted. “So I think it’s a good scenario.”
Moderna remains in clinical study phases for its omicron-specific booster vaccine, according to Bancel, who believes COVID-19 immunity will “wane” in vaccinated individuals by fall.
“We want to be ready with anything that biology will throw at us by the time the fall comes,” Bancel explained, “because I’m not too worried about the next few months in the spring and summer.” (interview à Fox News le 24 février)

Le patron de Moderna, le Français Stéphane Bancel, a tout dit :

-aucune crainte pour le printemps et l’été.

Traduction : le Co (quoi ?) vid c’est fini. Vous pouvez réserver vos vacances à Saint-Tropez ou Ibiza. On peut se concentrer sur la 36ème guerre mondiale de le Golfe de la Ukraine.

-mais… l’immunité procurée par nos “vaccins”… disparaîtra à l’automne

Traduction : nos produits sont de la merde. L’immunité procurée est très courte, bien plus faible que celle de l’immunité naturelle. Mais des centaines de millions de gogos (les vieux boomers, les jeunes wokes, les immunodéprimés, les déprimés tout court etc.) voudront -volontairement- prendre notre booster avant l’hiver prochain.

Plus d’obligation déguisée (finis les passes sanitaires et autres). Un bon petit chiffre d’affaires récurrent. On aura désormais le vaccin annuel contre la grippe plus le vaccin annuel contre le Co(quoi ?)vid.

-20 % de chances pour qu’un nouveau variant arrive et soit plus méchant.

Traduction : autant faire pipi dans le marc de café et y déceler les chiffres du loto, l’essentiel n’est pas là. Le Co (quoi ?) vid c’est fini. Big Pharma a désormais un modèle

Entre les “boosters” pour la vieille version du Co(quoi?) vid et de futurs virus, l’industrie a développé tout un nouveau marché.

Et donc les mecs attendent, ils savent que de toute façon dans le futur, ils pourront recommencer.