CovidemenceOn se souvient de l’audition du professeur Didier Raoult devant la commission d’enquête du Sénat le 15 septembre.
La vidéo disponible ici (2 heures).
Si vous êtes moins audiovisuel que littéraire, voici la copie du rapport que Raoult avait envoyé aux sénateurs (mis en ligne sur le site de l’IHU Marseille, fichier PDF).
C’est précis et long, 60 pages (avec les annexes et références). 😉
Celles et ceux qui suivent le professeur Raoult ne seront pas vraiment surpris…
Après tout, c’est lui qui dans un article publié par Le Point en 2013 révélait le secret pour lutter… contre les poux.
Vous ne saviez pas ? Eh oui les gars, culture générale, faut suivre !
Un médicament existe, nous révèle le Pr Raoult : il est très efficace, pas cher et sans danger, mais il n’est pas autorisé pour cette indication. (source Le Point)
La situation est tout à fait étrange d’un point de vue scientifique. On sait qu’il existe un traitement parfaitement efficace, sans échec connu à ce jour, et extrêmement facile à mettre en oeuvre. Il consiste en la prise unique, par voie orale, d’un médicament antiparasitaire (l’ivermectine), avec un nombre de comprimés déterminé en fonction de l’âge et du poids. Il a 100 % d’efficacité, il est bien connu, car il est commercialisé depuis 1981 pour d’autres maladies, et il ne présente pas de complications connues ; celles-ci sont d’autant plus rares et peu probables que l’on prend un seul jour ce traitement.
Efficace, bon marché, sans toxicité, mais non autorisé !
Et il piquant -mais logique- de constater que 7 ans après… les mêmes débats surréalistes refont surface au sujet… de l’hydroxychloroquine.
“C’est pas autorisé ! C’est pas écrit sur l’AMM !” pleurniche le Petit Olivier, comme un grand con qu’il est, “c’est dangereux, c’est ma maman et mon papa du Labo qui me l’ont dit ouuuuuuuuuuuin“. Ce type c’est Damien dans La Malédiction. Bref.
Et il est encore plus piquant de voir l’ivermectine revenir cette fois comme… traitement du couillonavirus !
On a des infos depuis mars avril… Des études ont été faites sur les propriétés anti-virales de l’ivermectine (exemple ici). Cette molécule a même été testée sur des cellules cancéreuses (rejoignant ainsi d’autres anthelminthiques comme le fenbendazole/mébendazole).
Aujourd’hui, et rien que pour emmerder le petit Olivier qui macère dans son idéologie étriquée, il est bon de regarder ce que font les autres pays.
Ainsi la République Dominicaine… annonce qu’elle utilise l’ivermectine ! Contre le couillonavirus. Et avec des résultats “excellents“.
At least 6,000 Covid-19 positive patients have been treated with excellent results using the drug ivermectin, by doctors belonging to the Rescue group, with health facilities located in Puerto Plata, La Romana, and Punta Cana. (source Dominican Today).
Rappel : ce pays situé dans les îles Caraïbes a une population de 10,68 millions. Et a subi 2 100 covidécès. Soit 194 morts par millions d’habitants. La France est à 490, l’Allemagne à 114, la Grèce à 38.
Ce pays en voie de développement, et on devine sans un système hospitalier très pointu, fait donc 2 et demi fois mieux que la France, gérée par la bande de glands à l’égo démesuré : Véran, Macron, Salomon et tous leurs petits camarades.
Alors ?
Est-ce l’effet du soleil des Caraïbes ? Du lait de coco ? De l’air marin ? De la peau cuivrée des Vahinés locales ? Peut-être.
Ou bien serait-ce l’effet de l’ivermectine ? 😉
Caramba, encore raté !
Rien que pour le plaisir, on attend désormais que le Petit Olivier nous dise que l’ivermectine qui est utilisée depuis 40 ans par des dizaines de millons de personnes avec des gazillons de doses dans le monde entier… est dangereuse.
Vaz-y Olivier, fais nous plaisir. 😉
Le petit Olivier va encore nous faire son cheveu sur la langue.
Voici un site, remarquable, à ajouter à vos sources :
Le principe ? Il s’agit d’un groupe de scientifiques… qui ne font que répertorier toutes les études liées à l’hydroxychloroquine.
Leur idée de départ est simplissime : trop d’infos contradictoires… Et trop souvent sélectionnées par les médias.
Contre cela ? Une approche systématique.
Dès qu’il y a une nouvelle publication : date, auteur, “résultat” (mot-clé “Positive”, “Negative”, “Inconclusive”, “Meta”, “Safety”, “Dosing” etc.), type, titre de l’étude, conclusion, la référence, et un lien vers la source.
Le tout vient enrichir la base de données, jour après jour…
C’est carré, très bien fait. Et redoutablement efficace.
Et chaque jour qui passe… à la lecture de ce site… le petit Olivier se rapproche de sa future maison : une maison d’arrêt.
La taule.
“On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps.” Abraham Lincoln.
Ainsi, on peut facilement avoir accès à des études que le grand public n’aurait eu aucun moyen de trouver.
Deux exemples récents (pris en Europe, c’est plus facile à comprendre pour le petit Olivier et ses complices).
29 septembre, Pays-Bas.
Early Hydroxych loroquine but not Chloroquine use reduces ICU admission in COVID-19 patients
Observational study 1064 hospitalized patients in the Netherlands, 53% reduced risk of transfer to the ICU for mechanical ventilation with HC Q treatment starting on the first day of admission.
14 septembre, Monza, Italie
Effect of combination therapy of hydroxych loroquine and azithromycin on mortality in COVID‐19 patients
Retrospective 377 patients, 73% reduction in mortality with HC Q+AZ, adjusted hazard ratio HR 0.27 [0.17-0.41]. Mean age 71.8.
Pendant que les covidéments font de la politique… les scientifiques -les vrais- bossent, cherchent les faits, sont curieux de tout, n’ont pas d’a priori idéologique.
Ni de conflit d’intérêt…