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Résistance

Christian Perronne sort l’artillerie lourde

“Vaz-y punk, fais moi plaisir”. Clint Perronne déballe l’artillerie lourde et canarde sec.

Je signale un entretien très percutant donné par le professeur Christian Perronne.

Lien : https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/01/28/entretien-avec-le-professeur-christian-perronne-par-nelly-fouks/

Inutile de présenter ce grand covirésistant.

Il publia très tôt (juin 2020) un bouquin fameux : Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Covid-19 : l’union sacrée de l’incompétence et l’arrogance.

Un an et demi après, il a approfondi sa réflexion et n’hésite pas à plonger au fond du terrier du lapin d’Alice aux Pays des Merveilles.

Et il sort l’artillerie lourde.

Son cheminement on le partage. Car il est parfaitement rationnel.

Les “erreurs” furent si nombreuses, si systématiques, si absurdes, la mauvaise foi si continue… l’évidence alors s’impose au fil des mois, des trimestres : ce ne sont pas des “erreurs“.

Les “erreurs” pouvaient être compréhensibles au début ; peu de données, le souk, l’inconnu, la désorganisation, la panique.

Tout ceci est parfaitement acceptable car humain.

Mais deux ans après, il est nécessaire de réviser son jugement et de faire face à l’indicible.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Plus fort encore au sujet de l’origine… artificielle du couillonavirus :

[…] une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel.

Le pangolin n’est plus qu’un vieux souvenir… qui fait rire les enfants. Mieux même que le panda.

Enfin la punchline :

le but de toute cette mise en scène est de prendre le contrôle mondial de la population.

Il passe en revue les tests PCR bidons, la diabolisation des traitements, les masques grotesques dans la rue, les pseudo vaccins, etc.

A lire absolument pour avoir une vision 360 °.

POST-SCRIPTUM

La chape de plomb sur l’origine du couillonavirus est sidérante. Le silence des Chinois, leurs manoeuvres mondiales, la piste des crapules américaines (Fauci etc.) qui vient s’ajouter… la censure de la part des Gafam, le Pangolin’s Folie, la partouze des Chauves-Souris…

Tout est ahurissant dans cette affaire..

Et cela dure depuis 2 ans.

Et on fait semblant de continuer à évacuer cette question pourtant essentielle :

  • ce virus est-il naturel ?
  • ou alors a t-il été fabriqué en laboratoire ?

Le tabou est total.

Pourquoi ?

On comprend pourquoi… Dans le premier cas, c’est la faute de Mère Nature, autrement dit… personne. Pas de bol. Case closed.

Dans la seconde hypothèse, alors le sol se dérobe sous nos pieds…

Qui ? Et surtout pourquoi ? Et comment ce virus conçu en labo s’est-il retrouvé dehors ?

Bref voilà pourquoi les sorties de Christian Perronne (et de bien d’autres scientifiques) sont primordiales.

Il ne faut pas lâcher les Chinois (ni les Américains) !

Le coup du “on oublie“, “on ne pourra jamais savoir“… n’est pas une option.

Il faut résoudre ce mystère car de lui découle tout le reste.

POST-SCRIPTUM BIS

Ce faisant, il faut conserver une idée très conspi dans un coin de l’esprit…

L’origine artificielle du virus qui deviendrait vérité après 2 ans de censure pourrait elle-même constituer une… psyop !

Car un virus conçu en laboratoire mais accidentellement fuité… cela exonèrerait -en partie- les Chinois et cela renforcerait la covidémence (un virus artificiel, optimisé pour infecter les humains… on va de nouveau tous mourir, voilà pourquoi les gouvernements insistent pour vacciner la planète entière, etc.).

Cela donnerait une sorte d’alibi à Pékin… qui aurait finalement dissimulé une attaque biologique (le virus délibérement lâché dans la nature)… à l’intérieur de l’hypothèse de la fuite accidentelle et de l’hypothèse d’un projet de vaccin.

J’ai développé cette abordé cette idée ici ou encore .

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Résistance Vrac

Temps et virus : le problème des 2 pilules rouges

Morpheus s’est planté. Il y a 2 pilules rouges.

Deux ans.

Ceux qui me lisent depuis le 20 juillet 2020 connaissent mon mantra : chaque jour qui passe affaiblit les explications couillonavirales classiques (“ils font des erreurs“, “on n’a pas assez de données” etc.) ainsi que les explications subsidiaires, aussi aberrante (“c’est pour enrichir Big Pharma” etc.).

Plus ça dure, plus la covidémence révèle mécaniquement sa nature extraordinaire.

Pourtant, le virus ne semble pas être à la hauteur, ce n’est pas Ebola.

Conclusion : la covidémence est bel et bien une conspiration.

J’ai proposé dès le début une pilule rouge (psyop organisée par la Chine afin d’affaiblir l’Occident, dans un monde sous contraintes en terme de ressources).

Mais il y a un problème.

Car plus ça dure, plus cela renforce aussi l’angle “arme biologique” de la covidémence et donc… la dangerosité du virus.

Les 2 sont liés. Car une arme biologique est forcément dangereuse… Qui s’amuserait à fabriquer un “rhume” et à le déployer sur la planète ? Ou alors… pour provoquer une “vaccination” qui elle serait l’arme ? 😉

On revient en quelque sorte au point de départ.

Discours typique : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète continuent d’agir comme si le virus était hyper dangereux… donc il est hyper dangereux, ils nous cachent le fait qu’il s’agit d’une arme biologique”.

Autre version : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète font tout pour nous vacciner alors que la maladie est peu dangereuse, donc cela cache quelque chose de terrible : c’est une arme biologique à effet retardé”.

On dispose désormais d’une importante littérature quant aux effets du virus : les poumons, le système immunitaire qui s’emballe, les problèmes vasculaires, les caillots sanguins etc.

Le virus a plusieurs moyens/voies pour abîmer/détruire l’organisme (déjà affaibli, un point à ne jamais oublier).

Il ne tue que des gens… déjà morts (en gros).

En revanche, personne ne se retrouve en réanimation avec les poumons fondus, plusieurs mois après avoir été infecté.

Tout le monde sera d’accord sur ce point.

Mais quid des effets neurologiques ?

Car enfin, ce virus a une particularité… il peut s’attaquer au cerveau.

On pense bien entendu aux symptômes immédiats : la perte du goût et de l’odorat

La science est comme un enfant en bas âge face au cerveau… On accumule des connaissances mais à une échelle toujours réduite face à sa complexité.

Dès lors, une question surgit : le Covid pourrait-il, en tant qu’arme biologique, avoir des effets long terme sur le cerveau ?

Voilà la deuxième pilule rouge.

D’où mon titre.

Résumons :

-c’est désormais évident le Covid est bien une situation du type “pilule rouge/pilule bleue”… entre ceux qui réfléchissent et les covidéments neuneus qui gobent le spectacle.

-mais, le problème se complexifie… car nous pouvons avoir 2 pilules rouges.

Laquelle choisir ?

😉

Personnellement, je rejette la deuxième, je tente simplement de comprendre le fonctionnement des covidéments, voire de l’anticiper.

La problématique de la durée, de l’obstination ahurissante, extraordinaire au sens propre, des gouvernements du monde entier… sont des arguments que les covidéments peuvent retourner en quelque sorte, pour justifier et renforcer encore davantage leur comportement.

Car n’oublions pas que le premier symptôme du couillonavirus est… la paranoïa.

One pill makes you larger
And one pill makes you small
And the ones that mother gives you
Don’t do anything at all

Go ask Alice
When she’s ten feet tall
And if you go chasing rabbits
And you know you’re going to fall

(Jefferson Airplane – White Rabbit)

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Résistance

L’épidémie sans malade

Je le rappelle souvent, mais vous devez regardez les vidéos de Pierre Lécot, sur la chaîne Décoder l’éco.

Elles sont essentielles.

En bon statisticien, il démolit les “chiffres” covidémentiels : décès, malades, hospitalisations, etc.

Tout y passe.

Voici son dernier opus, au titre parfaitement ciselé : l’épidémie sans malade.