Parfaite illustration de ma Guerre des P(ets)… !
Le quotidien américain USA Today… a désigné la “femme de l’année” pour l’état du Minnesota.
Il s’agit… d’un homme.
Pardon, d’un homme transgenre, enfin transformé en femme. Enfin vous m’avez compris. 😉
Il/elle s’appelle Leigh Finke et a été élu(e) à la chambre des représentants du Minnesota (en novembre dernier).
A 81,1 %, excusez du pneu !
Premier député transgenre de cet état. Et démocrate, cela va de soi.
Et en plus elle/il défend les opérations chirurgicales, pardon “la transition”… pour… les enfants… et le fait d’empêcher les parents ou les services sociaux et même une cour de justice de s’opposer à ces boucheries.
Si, si. Elle/il en a même fait un projet de loi.
Ca se fête donc.
Non USA Today n’a pas glissé sur une peau de banane, comme vous pourriez le penser (après tout un accident est si vite arrivé, un moment d’inattention et crac…).
Puisque c’est la deuxième fois qu’ils font le coup (désigner un homme biologique comme “femme de l’année“).
Deux, c’est bien le début d’une série, non ?
Alors, comme d’habitude… On est d’abord tenté de rire à gorge déployée, si vous me pardonnez une expression si osée… version la Cage Aux Folles.
Car il y a forcément un côté grand guignol à une telle histoire…
Mais passés les premiers spasmes… on doit reconnaître la réalité de la campagne politique, idéologique obsessionnelle, fanatique qui se déploie derrière.
Nous convaincre qu’il n’y a plus de genres, ou plutôt qu’il y en a des dizaines, voire des centaines, que le masculin et le féminin sont des choix, des constructions sociales.
USA Today agit délibérement comme une organisation terroriste, dont le but est de répandre la peur et la confusion.
Toute la chaîne est compromise. Depuis les actionnaires (qui laissent faire ou qui encouragent), jusqu’aux rédacteurs en chef, journalistes, petites mains etc.
Une chaîne beaucoup plus importante qu’on veut bien le croire, hélas.
Et ce n’est absolument pas un cas isolé, ni même un accident. Il faut s’intéresser aux détails et observer ce qui se passe réellement aux Etats-Unis… on comprend alors la mesure du problème, son étendue.
C’est affolant.
Médias, fonctionnaires, élus, universités, écoles, sports, entreprises, divertissements… c’est une guerre permanente et tout azimuth contre le bon sens et contre l’ordre naturel.
En France, on se souvient avec émotion du barbu halluciné lâchant “je ne suis pas un homme monsieur” à un journaliste à la dérive, cherchant à se planquer sous la table (toute l’Europe de l’Ouest est concernée, comme par exemple des évolutions légales délirantes en Belgique et comme par hasard… en Allemagne aussi).
Ce n’est plus anecdotique (ça l’était encore il y a 15 ans).
Ce n’est plus anodin.
Ce n’est plus drôle.
Une société, une civilisation qui pratique à ce point la confusion mentale, ne peut plus se défendre, ne peut plus se régénérer, ne peut plus progresser.
Ne peut tout simplement plus exister ; elle se suicide.
Non, un homme ne peut pas devenir une femme.
Non, une femme ne peut pas devenir un homme.
Non l’ordre biologique n’est pas un “stéréotype”.
Oui se penser cafetière, ou grille-pain, ou “non binaire” est un trouble mental.
Oui les hommes et les femmes sont différents, et ces différences sont essentielles, ontologiques et doivent être célébrées.
Et donc surtout… respectées.
Si la biologie… n’est même plus le socle de nos sociétés, de l’espèce humaine… alors que reste t-il ?
Rien.
Ou plutôt n’importe quoi.
Tant qu’on laissera faire cela, tant qu’on laissera cette pathologie mentale se propager, et tout infecter, par fainéantise, par mépris, par mégarde, par simple jemenfoutisme (ou pire encore par “libéralisme”) alors nous continuerons à nous effacer.
A disparaître.
Et il ne servira à rien d’accuser le Méchant Poutine (trademark) ou le Sournois Xi Jinping (copyright).