… Quel dommage.
C’est pas drôle ! Toutes les courbes baissent fortement (covicas en bleu, covimorts en rouge, source).
En plus ces sauvages utilisent de l’ivermectine. Beurk !
Alors qu’en avril, c’était la covidapocalypse. Les médias parlaient tous du terrible génocide couillonaviral et de son cheval galopant, le variant Delta indien…
Des cadavres brûlés (oui c’est l’Inde), des cadavres qui flottent dans le Gange (oui c’est l’Inde), un système hospitalier plus qu’aléatoire (oui c’est l’Inde), des pauvres très pauvres (oui c’est l’Inde), etc.
Bref, les médias covidéments découvraient avec gourmandise ce pays de 1,36 milliard d’habitants.
Et ça tombait bien, on commençait à s’ennuyer en Occident (Biden le président du Bien ronronnait en caressant les cheveux des petites filles) et il fallait motiver les petits blancs pour faire la queue au vaccinodrome.
L’Inde était ainsi le moyen idéal pour souffler sur les braises de la terreur.
Au passage, on notera que la prévision d’un médecin indien, grâce à l’ivermectine, était juste (lire ici). Quasiment au jour près…
Et en plus, ces sauvages affichent au compteur 251 morts par million d’habitants (source Worldometer), alors qu’en Fraônce démocratie développée, nous sommes à 1 682 à covidécédés par million. Ah ! C’est bien la preuve que nous sommes supérieurs !
Aujourd’hui, l’Inde ne sert plus le narratif. Alors on est passé à autre chose. Comme par exemple… le variant Delta indien chez nous !
Ainsi, cet article du Figaro, terrible.
31 cas avérés du variant indien repérés dans les Landes
Deux premiers cas de ce variant, désormais appelé «Delta» par l’OMS, avaient été repérés mercredi. L’ARS estime qu’il pourrait y en avoir actuellement une cinquantaine.
50 ? Oh la la. Tu parles d’un truc hyper contagieux.
Courage.
Bientôt on brûlera les cadavres sur la place de l’Hôtel de ville, sous les fenêtres de Annie Dingo, et on balancera les morts dans la Seine.
La tiers-mondisation est en marche…
N’est-ce pas cela, aussi, “notre projet ” ?
