Le Covid c’est le couteau-suisse… chinois. Et ce depuis sa fabrication en janvier 2020.
Il permet de manipuler l’Occident, de lui faire la guerre, de déstabiliser ses finances. De renforcer le contrôle sur des territoires (Hong Kong, province du Xinjiang, Tibet). Il permet de renforcer le pouvoir interne de Xi Jinping (martyr de Shanghai au printemps) et de contrôler la population, en la mobilisant et en la maintenant sous pression.
Le Covid est désormais aussi utilisé comme architecte et planificateur urbain !
Depuis des années, la mégalopole Shanghai tente de détruire les “villages dans la ville“, des endroits surpeuplés (par des ouvriers migrants) : en clair des taudis. Il y a même des constructions illégales. Mais ce n’est pas simple, car il y aussi de vrais propriétaires (qui louent à prix d’or leurs bâtiments, en les divisant en de multiples chambres).
Le Covid donc… est le parfait “catalyseur” comme ils disent pour faire avancer… les engins de chantier.
“The epidemic is the catalyst for us to launch this round of ‘cheng zhong cun’ transformation, which has been under consideration for a long time,” Huang Qiyi, deputy government head of Beicai was quoted as saying (source Bloomberg)
Le virus a permis de faire la guerre à ces pauvres, de les envoyer en camps de quarantaine, au nom de la lutte contre la terrible pandémie (lors du confinement au printemps dernier).
During the spring outbreak, the Shanghai government singled out 72 urban villages as Covid hotspots, labeling them “key and difficult points” of epidemic prevention and control because of “high population density and poor sanitation and living conditions.” Many of the nearly quarter-million people living in the villages were sent to central quarantine.
Après le choc psychologique et la démoralisation… on peut maintenant passer à la phase buldozer… Et là encore, les Chinois ne font pas dans la dentelle.
One such Covid hotspot that’s facing demolition is Beicai, a sprawling urban village cluster in the financial area of Pudong. Shanghai Observer, an official media outlet, reported this month that authorities plan to redevelop six villages there with a combined area of nearly 2 million square meters, half of which will be converted into public parks.
Des pauvres hères en plein milieu du quartier d’affaires de Pudong ?
Il suffit de déclarer l’endroit “hotspot” viral hyper dangereux (forcément), et zou… on rase.
La moitié de la surface libérée sera transformée en jardin (le couillonavirus s’y sentira plus à l’aise).
L’autre sera vendue à prix d’or à des promoteurs immobiliers, sans doute proches du pouvoir…
Et de nouvelles tours de métal et de verre pousseront sur l’horizon.
Un nouveau succès, pardon un énième heureux hasard, pour le virus “Sars-Cov2”.
Voilà la question fondamentale depuis bientôt 3 ans et que l’on s’obstine… à ne pas poser.
On nous assomme avec des chiffres depuis 2020, lorsque la terrible pandémie -comprendre une opération de manipulation psychologique- débuta.
Les cas et les morts. Voilà les deux clés de voûte de l’opération.
Des esprits fins et résistants usent leurs neurones et leur temps à récolter ces chiffres, à créer des graphiques, à faire des comparaisons entre pays, à jutaxposer d’autres données, les agréger, les pondérer, les extrapoler…
Un travail parfaitement vain.
Répétons donc la question : c’est quoi un “mort du Covid” ?
Définition : “un décès pour lequel le certificat de décès mentionne le Covid”. 😉
Superbe tautologie.
Mais encore ? Un homme de 84 ans, au bout de sa vie dans un Ephad, et dont le coeur lâche… Le Covid l’a t-il tué ?
Comment le médecin peut-il le savoir ? Surtout lorsqu’on sait que ce médecin sera récompensé financièrement, indirectement via son institution (l’hôpital) (système ayant cours aux Etats-Unis et en France par exemple).
Un “mort du Covid” vaut ainsi davantage qu’un “mort d’une pneumonie” ou un bête “mort d’une crise cardiaque”, voire un vulgaire “mort du cancer”… et ne parlons même du parfaitement inutile… “mort de vieillesse”. 😉
Une femme de 80 ans, en détresse respiratoire, intubée (car on a suivi les bons conseils chinois début 2020)… et à qui on injecte discrètement du rivotril… le Covid est-il responsable de sa mort ?
En réalité, l’écrasante majorité des “morts du Covid” souffraient… de multiples pathologies (lourdes) : les fameuses “comorbidités“.
La plupart d’entre-vous ne le savent pas, ne veulent pas le savoir, mais en gros “un mort du Covid” c’est :
quelqu’un qui décède avec un test PCR positif dans les 30 jours qui ont précédé son décès.
Ni plus… ni surtout beaucoup moins. 😉
Début 2020, un pays fit encore plus fort. Il s’agit bien sûr de la Belgique… qui affichait le nombre de “morts du Covid” par millions d’habitant le plus élevé de tout le système solaire…
Et ils en étaient fiers les bougres !
Le Parisien révèla l’énormité du scandale dès le… 17 avril 2020.
Les Belges empilaient les “morts du Covid” dans leur statistiques… sur simple… soupçon de la présence du virus !
Cette anomalie évidente aurait dû nous mettre collectivement la puce à l’oreille…
On imagine les dérives… et qui sont donc mécaniquement, inévitablement apparues.
Tout et n’importe quoi fut déclaré “mort du Covid” car :
c’était à la mode
les ordres venaient d’en “haut”
une terrible pandémie sans cadavres ce n’est pas une terrible pandémie
tout le système avait intérêt à grossir les chiffres de mortalité (les politiciens, les gestionnaires des hôpitaux, les labos, les médecins, les médias, etc.).
L’homme était domicilié à Montauban. C’est d’ailleurs chez lui qu’il a été victime d’une grave chute dimanche dernier. Les pompiers de Montauban l’ont pris en charge avant de le transporter à l’hôpital de Montauban. Victime d’un traumatisme crânien, il aurait ensuite subi un épanchement sanguin fatal. Sa mort a donc été officielle dans la soirée.
L’homme s’était explosé le crâne en tombant dans son escalier… Mais… non… il fut déclaré “mort du Covid”. Et tout le monde était… ravi, excité même puisque c’était le premier ! 😉
Ensuite, on a obtenu des détails sur cette recette miraculeuse…
Les Anglais furent les premiers à avouer : un test positif dans les 30 jours précédant le décès suffisait à qualifier le décès !
Stupeur.
Donc tous les vieillards en Ephad, avec des pathologies du moyen-âge, les arrêts cardiaques, les cancers terminaux… tous pouvaient être déclarés “morts du Covid”… si un petit test PCR positif était attaché à leur dossier.
Et on comprend maintenant le fanatisme autour des tests PCR, et l’automaticité de ces tests avant toute hospitalisation…
Des millions des tests foireux (les cas asymptomatiques) permettaient mathématiquement d’obtenir un filet très efficace pour choper les morts du Covid-papillons… en bout de chaîne.
Mais la Perfide Albion fit encore plus fort… Avec un total de 14 définitions différentes… utilisées, ici ou là (successivement ou en parallèle) ! De quoi embrouiller encore un peu plus les données…
‘underlying Covid’, ‘due to Covid’, ‘involving Covid’ and ‘died within either 28 or 60 days of a positive test’.
… Covid sous-jacent… provoqué par le Covid… Covid en cause… décédé avec un test positif 28 jours voire même 60 jours (!!!!!!) avant.
Tout un monde de nuances covidémentielles… fort pratique pour incarner la terrible pandémie, et toutes relevant d’un mensonge stupéfiant.
Chacun pouvant y trouver son compte, et surtout se dissimuler derrière le “brouillard de la guerre”.
Il suffit de voir le nombre de “morts par million d’habitant”, totalisé depuis janvier 2020 par pays, sur le site Worldometer pour comprendre l’absurdité de cet exercice.
Les différences sont surréelles et n’ont plus aucun rapport avec l’épidémiologie, les virus, les différences (génétiques, physiques, démographiques) dans les populations, ou même la prise en charge médicale des malades.
Plus largement, c’est le systématisme du mensonge qui permet -rétrospectivement- de comprendre l’étendue de la psyop.
Car ce fut bien entendu le même processus pour… les “cas” (les fameux cas asymptomatiques)… et même… les hospitalisations… ainsi que l’occupation des lits et des services de soins critiques (réanimation).
En France, même la Cour des comptes ne connaissait pas le nombre de lits, leur occupation, les lits en soins critiques (elle publia deux rapports ici et là).
Bref. Poubelle. Propagande.
La seule donnée véritable, indépassable, impossible à bidonner est : les décès toutes causes (l’état civil en France).
Même si cette donnée est forcément limitée (elle ne dit rien sur les personnes blessées par les vaccins par exemple).
Et justement, en parlant de mortalité, il ne s’est rien passé d’anormal en 2020 en France pour les moins de 74 ans…
Trois faits démographiques importants étaient systématiquement passés sous silence :
-le vieillissement naturel. Ainsi de 2017 à 2020, en 3 années, il y a eu en France 600 000 personnes de moins de 65 ans EN MOINS, et 800 000 personnes de plus de 65 ans EN PLUS.
Appliquées à des générations du type baby boomers (très nombreuse) il est évident que ces évolutions provoquent des effets importants (pathologies, hospitalisations, mais aussi nombre des décès !).
-l’effet moisson : il y a des cycles, certaines années les épidémies de maladies hivernales tuent moins… les plus fragiles survivent… et puis vient une année avec une grippe plus sévère, ce qui provoque une “moisson” de décès.
-les statistiques -et la biologie- sont imparables : le corps humain commence à… partir en sucette à 65 ans. Avant, on ne meurt qu’exceptionnellement (accident, suicide, maladie rare).
Il dénonce les “observateurs de variants” (variants spotters).
Et les qualifie de “collectionneurs de timbres moléculaires“… un comportement qui relève de l'”addiction“.
Car voilà des scientifiques qui s’extasient au sujet des gazillons de mutations du couillonavirus, qui les détectent, les classent, les nomment, jouissent de se voir publiés dans les fameux peer reviewed journals … sans jamais s’interroger sur le pourquoi.
C’est la thèse fondamentale de Geert : c’est la vaccination de masse qui provoque ce délire mutagène… le virus étant sous pression immunitaire de toute part… il s’échappe.
Et cette pression est dangereuse, surtout pour ceux qui ont reçu les “vaccins”…
Selon lui, il est urgent d’arrêter immédiatement les injections et de privilégier les traitements et même la prophylaxie (avec tous les antiviraux dispo).
Voilà le moyen pour en finir, selon lui.
Alors que continuer dans la logique des “boosters” et des “versions 2.0 bivalentes” est une course délétère.
En France, on trouve de beaux specimens de ces… collectionneurs de timbres. Exemple ce compte Twitter : https://twitter.com/HugonetX
Il n’est pas scientifique (consultant semble t-il, gauchisant bien entendu), et il jouit, littéralement, de la multiplication des mutations.
C’est un covidément zélote, forcené, obsessionnel.
Il avait annoncé la fin du monde à cause de la rentrée scolaire le 1er septembre… Un mois et demi après, il continue de compter les enfants “hospitalisés” à cause du Covid (331…), en secouant la patte comme un clébard qui vient de pisser contre un lampadaire.
Il se complaît dans son délire tel un Narcisse sous LSD, car chaque nouvelle mutation est –forcément– annonciatrice d’Armageddon imminent et d’une énième vague meurtrière…
Et cela fait quasiment deux ans que cela dure car rappelons que avant le professeur Didier Raoult, tous ces commentateurs en culottes très courtes et autres scientifiques fonctionnaires affirmaient que le terrible virus… ne mutait pas… le mot même n’existait pas dans le dictionnaire ! 😉
Le mec joue à son propre football mental, se grime en Léon Zitrone Zombie… Il se croit sur les pelouses climatisées au Qatar ou encore sur une étape de montagne du Tour de France.
Con à en bouffer du foin.
Mais revenons à Geert Vanden Bossche.
Son diagnostic n’a pas changé et ses prévisions non plus.
Il répète que ces sont les vaccinés qui vont de plus en plus être infectés et surtout réinfectés et qui finiront hospitalisés.
Et d’abord, les personnes âgées.
On sera vite fixés…
L’hiver arrive… L’hiver et son cortège de miasmes et de virus (et de coupures d’électricité, la petite nouveauté de la collection 2022/2023…)…