Comme prévu. Des covidéments anglais balancent des chiffres, sans aucune preuve, liés au fameux “mutant”, et hélas repris par Boris Johnson, le premier ministre.
Prime Minister Boris Johnson and his science chiefs tonight made the shocking claim that the Kent variant of the coronavirus could be 30 per cent more deadly than older versions of the virus – but didn’t provide any evidence. (source DailyMail)
Voilà. Tout est bon pour accentuer la terreur, pousser la vaccination et faire taire les opposants.
‘Professor Lockdown’ Neil Ferguson, the Imperial College London epidemiologist whose grim modelling warned hundreds of thousands of Britons could die without action back in March, told ITV it is a ‘realistic possibility’ the new variant increases the risk of death.
Les “mutants” sont instrumentalisés. Et continueront à l’être, y compris à titre préventif.
C’est le cas en France, où le “risque” du mutant permet de justifier des mesures de plus en plus folles (règle des 2 mètres) et bientôt le 3ème confinement etc.
Plus fort encore, le fameux “95 % d’efficacité” de la thérapie génique de Pfizer, dont on sait qu’il a été bricolé afin de créer un slogan… pourrait désormais être remis en cause…. en raison d’un mutant !
Matt Hancock [ministre de la santé britannique] claims early data shows South African variant may make Covid jabs 50% less effective as he warns easing travel restrictions could send UK back to ‘square one’ (DailyMail)
On ne peut plus dire que cette thérapie est intrinsèquement moins efficace qu’annoncé, que cette affirmation n’était qu’une forme de réclame commerciale et absolument pas de la science… non le coupable -idéal- c’est le mutant !
Deuxième effet kiss cool : cela pourrait justifier le fait d’avoir… un vaccin récurrent… Comme la grippe… un vaccin chaque année. 😉
La stratégie de communication est désormais parfaitement claire, et peut s’appliquer à tout.
-le vaccin marche moins bien qu’annoncé ? Mutant
-il y a davantage de morts ? Mutant
-il y a davantage de “cas positifs” ? Mutant.
Le tout au conditionnel, sur des données parcellaires, des pré-études bidonnées, des extrapolations neuneus, jusqu’à la franche propagande, etc.
Les mêmes méthodes que depuis le début de la terrible pandémie, mais un cran au-dessus.