Plus rien ne doit nous étonner… La ville australienne de Brisbane (état du Queensland) et ses 2 millions d’habitants se retrouvent confinés pour 3 jours à partir de vendredi soir.
Pourquoi pas 2 ou 6 ou 15 ? Après avoir égorgé quelques poulets et lu le marc dans la bière… Ils ont décidé, scientifiquement bien entendu, que ce serait 3 jours (avant de le prolonger of course).
Alors que se passe t-il ? Quelle nouvelle horrifique peut bien provoquer une telle décision, massive ?
Un employé… un employé travaillant dans un hôtel hébergeant des “quarantinés”… a été testé positif… au mutant (source Le Figaro).
Le fameux mutant anglais (B117).
Voilà.
1 mec. La vie de 2 millions de personnes mise entre parenthèse.
Cette équation aussi simple que covidémente explique tout…
Les livres d’histoire se pencheront sans doute sur le cas du Royaume-Uni.
Alors que le pays retrouve sa souveraineté en quittant le camp de concentration bruxellois… Il plonge en même temps avec un zèle effrayant, fanatique dans la covidémence la plus abjecte.
C’est stupéfiant.
Boris Johnson a annoncé hier soir le reconfinement médiéval pour tout le pays (idem en Ecosse), et semble t-il pour une longue durée.
Le nouveau confinement mis en place en Angleterre face à la flambée des contaminations due au nouveau variant du coronavirus ne commencera à être levé qu’à partir de mars, a prévenu mardi 5 janvier un ministre du gouvernement britannique.
«En entrant dans (le mois de) mars, nous devrions pouvoir lever certaines de ces restrictions mais pas nécessairement toutes», a prévenu Michael Gove, chargé de la coordination de l’action du gouvernement, sur la chaîne Sky News. (source le Figaro)
Tout cela au nom… d’un pseudo “mutant“… Certes un poil plus contagieux, mais qui ne fait que fabriquer des “cas positifs” la plupart asymptomatiques.
Et toujours derrière, comme partout ailleurs, l’obsession de vacciner l’intégralité de la population (plus les chats, les chiens et les plantes vertes) contre une maladie pourtant bénigne pour l’écrasante majorité de la population…
Et ce sont les opposants à ces politiques démentielles qui seraient de vilains “complotistes” ? !
Nous assistons en direct au suicide d’une nation, emmenée par un premier ministre qui a perdu les pédales, prisonnier de ministres fous (Michael Grove), d’opposants cinglés (le Labour, sans oublier le premier ministre de l’Ecosse, Nicolas Sturgeon), de fonctionnaires corrompus, bornés et bas de plafond, et des groupes terroristes (le conseil scientifique anglais, le SAGE, le London Imperial College repaire de statisticiens criminels comme Neil Ferguson qui ne vivent que pour inventer des modèles mathématiques et des prévisions destinées à terroriser les populations et faire pression sur les hommes politiques).
La France n’est pas en reste. Chez nous, il y a une couche d’hypocrisie en plus. Macron et ses complices avancent comme des crabes, de manière latérale… mais l’objectif et les résultats sont identiques : la destruction méthodique, délibérée du pays, de son économie, de sa jeunesse, de ses structures sociales… et de son équilibre mental.
La pomme tombe sur la tête de Newton. La cause est-elle la gravité ? Ou alors est-ce le méchant pommier qui a délibérément lâché la pomme quand ce con de Newton passait par-là, avec l’objectif de lui pourrir la vie ? Vous avez 3 heures, et je ramasse les copies.
Voici un article extraordinaire car il montre que des scientifiques sont prêts à repousser les limites de la cinglerie (et le pire, de manière sincère).
Il s’agit de l’analyse d’un cas très… simple, publié en décembre dans Forensic Science International (article ici).
Son titre résume -déjà- tout le problème : “Accidental death from a fall from height at workplace turned out to be a COVID-19 death“.
-un ouvrier de 51 ans est retrouvé mort au pied d’un échaffaudage d’une maison en construction
-constatations sur le corps : lacerations on both sides of his forehead, minor abrasions on the face and elbows and a bruise on the left hand. Traces of blood were present on the ground near head
-ses collègues n’ont pas vu la chute (donc pas de témoins directs), mais ont constaté la présence du corps, subitement apparu.
-l’autopsie confirme une hémorragie cérébrale.
Pas besoin d’appeler Scotland Yard, l’inspecteur Clouseau ni même la Fée Clochette : le mec est tombé et s’est explosé le crâne.
(Avoir été poussé ou pas par un collègue hargneux, c’est-à-dire meurtre plutôt qu’accident, ne changerait rien à la réalité physique).
Sauf que :
-l’homme était diabétique type 2, et fumeur. Avec une athérosclérose, et une fibrose cardiaque. En clair, il avait plusieurs “pathologies pré existantes”.
-un test PCR a bien entendu révélé qu’il était infecté… par le couillonavirus. Aïe, zut, la tuile.
-l’autopsie a montré des dégâts sur les poumons
-l’homme se plaignait depuis quelques jours de maux de tête, de fatigue, de toux.
La situation une fois de plus est simplissime : le mec avait un bon Covid des familles. C’est indéniable.
Les auteurs rappellent ensuite les fameuses autant que fumeuses directives de l’OMS :
By applying WHO guidelines for COVID-19 death certification, one should list the acute respiratory distress syndrome (immediate cause) due to COVID-19 (underlying cause), while type-2 diabetes, smoking habit, myocardial hypertrophy and fibrosis and atherosclerosis should be listed as other contributing factors.
C’est là où ça devient magique.
Malgré la réalité physique, c’est-à-dire le pauvre bougre est tombé de l’échaffaudage et est mort d’un traumatisme à la tête… les auteurs parviennent à faire un double salto arrière et affirment que ce décès aurait dû bel et bien être compté… en mort du Covid… car le couillonavirus est la cause du décès. CQFD.
our case left us no doubt when it came to the cause of death determination. Namely, all the evidence collected unequivocally led to the conclusion that COVID-19 was responsible for the lethal outcome of the presented patient.
Et ils enfoncent le clou :
even with suspected violent deaths, SARS-CoV-2 can be hidden as the natural cause of death.
Ces médecins sont complètement covidéments, mais de manière sincère. C’est fascinant.
L’homme est mort AVEC le Covid, oui, c’est certain.
Mais il n’est pas mort DU Covid !
Il est mort en tombant de son échaffaudage.
Reformulons : vous avez un gros Sida bien baveux doublé d’un cancer en phase terminale qui dégouline (et vous n’arrivez même plus à avoir une érection convenable, mais ceci ne nous regarde pas).
Vous vous éclatez la gueule au volant de votre voiture, votre tête est littéralement arrachée sous la violence du choc.
De quoi êtes-vous mort ? Physiquement ? Concrètement ?
Du Sida ? Du cancer ? Non. D’une mort (très) violente accidentelle.
Le fait que vous n’auriez pas fait de vieux os avec une telle collection de pathologies médiévales, ne change rien à la réalité tangible : mort violente provoquée par un terrible accident automobile.
Dans le monde perverti de la covidémence, le réel doit s’effacer derrière les constructions abracadabrantesques des zélotes.
POST-SCRIPTUM
Ce type de fantaisie n’est pas un cas isolé. On touche en fait ici à l’un des éléments clés de la covidémence permettant de grossir les bilans afin de terroriser les populations.
Car une terrible pandémie qui ne tuerait pas davantage qu’une bonne vieille grippe… ne pourrait pas être une terrible pandémie, n’est-ce pas ? 😉
Et on constate les mêmes manipulations dans virtuellement tous les pays (à la différence de certains pays asiatiques, qui soit minimisent les chiffres, soit appliquent des règles de bon sens, exemple Chine, Thaïlande, Vietnam etc.).
L’année 2021 vient de commencer et nous sommes toujours confrontés à une volonté obsessionnelle, permanente de gonfler les dégâts provoqués par le couillonavirus et la menace qu’il fait peser sur le genre humain :
-nombre de morts
-nombre de “cas positifs” (les fameux millions de tests PCR bidons, pistant des personnes… asymptomatiques, pas malades, pas contagieuses…. en clair parfaitement normales).