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Saloperie et sida mental

Nouvelle boulette de Castex : il ne connaît pas le nombre de départements

Allez Jean, arrête de faire ta mijaurée : dis-le que tu veux le confinement… national !

38 nouveaux départements soumis au couvre-feu dès vendredi à minuit, déclare Jean Castex (source Le Figaro)

Au total, cela fait 54, soit 46 millions d’habitants…

Eh bien Jean ? Tu as oublié ? Il y a 101 départements en France. Pas 38. Ni 54 !

Gageons que tu corrigeras rapidement cette erreur (pas la première…). De quoi as-tu l’air avec ta terrible pandémie et ce couvre-feu au motif léopard ? Hum ?

Parmi les autres annonces du jour :

Ils violent une nouvelle fois leurs propres règles basées sur de pseudo indicateurs scientifiques puisque :

Le couvre-feu a été décidé dans certains départements où le virus ne circule pas autant que dans d’autres. Il s’agit d’une «mesure préventive que j’assume».

C’est complètement baroque ! Il nous fait le coup du préventif maintenant. Au doigt mouillé ! A l’intuition !

Mais bon pépère assume, alors tout va bien. Il assumera aussi quand il sera condamné à une peine de prison ferme…

Olivier Véran se félicite que la France est passée, en quinze jours, d’1,1 million de test par semaine à 1,6 million.

Le coût pour la Sécu était de 350 millions d’euros par mois… Cette somme va encore exploser. On va finir par taper le demi milliard d’euros, mensuels. Bravo les gars !

Rappel : ce pognon de dingue… est capté en majorité par… six grosses sociétés

C’est un gigantesque hold-up mais légal. L’écrasante majorité des “tests positifs” sont faux. Délibérément faux.

D’un côté on enrichit les copains, de l’autre ça donne le prétexte principal à la campagne de terreur menée contre le pays.

Par ailleurs, l’ordre islamique dans les banlieues n’a pas encore la tête bien vissée sur les épaules -quoi que… – mais par contre l’ordre couillonaviral règne. On a les priorités qu’on peut…

Depuis le samedi 17 octobre, les policiers ont effectué 32 033 contrôles et dressé 4 777 verbalisations pour non respect du couvre-feu, annonce Jean Castex.

Enfin la suite est déjà préparée, téléphonée même : durcissement

Tant il est vrai que rester à la maison entre 21h et 6h du matin ne changera pas grand chose à la progression de la terrible pandémie… Les gens interagissant les uns avec les autres bien davantage durant la journée…

«Le mois de novembre sera difficile car nous savons que, malgré les mesures prises, l’impact des contaminations actuelles se fera sentir, on en est sûrs maintenant, au mois de novembre», a averti Jean Castex.

Le couvre-feu nocturne sera ainsi complété par son grand-frère… le confinement diurne. 😉

La boucle sera une nouvelle fois bouclée…

Et Castex pourra continuer à faire son VRP de la terreur couillonavirale… Et ses grimaces niaises.

 

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Du viral au social : oubliez la pandémie… voici la syndémie

Retenez bien ce visage, celui de Richard Horton. Cet homme est dangereux.

Le Lancet, c’est la fameuse revue médicale britannique qui publie sans vérifier des énormités (l’hydroxychloroquine serait dangereuse) écrites par des “pieds nickelés” (pour reprendre l’expression de D.Raoult)… avant de se rétracter une fois le mal fait…

Son rédacteur en chef, Richard Horton (depuis 1995), est donc un pion essentiel de la covidémence

Il a publié un édito fin septembre qui met en musique une terrifiante rhétorique et qui confirme sa position et son idéologie…

Son message ? Oubliez la “pandémie“… Nous sommes face à une “syndémie“.

D’abord la définition (classique) du mot :

Une syndémie caractérise un entrelacement de problèmes de santé pour une personne (physiques, et/ou psychiques) qui se renforcent mutuellement les uns les autres, et portent atteinte à la santé globale de la personne. Le terme a été développé par Merrill Singer dans le milieu des années 1990.

Voici ce que Horton écrit :

The most important consequence of seeing COVID-19 as a syndemic is to underline its social origins. The vulnerability of older citizens; Black, Asian, and minority ethnic communities; and key workers who are commonly poorly paid with fewer welfare protections points to a truth so far barely acknowledged—namely, that no matter how effective a treatment or protective a vaccine, the pursuit of a purely biomedical solution to COVID-19 will fail.

Unless governments devise policies and programmes to reverse profound disparities, our societies will never be truly COVID-19 secure. […]

Approaching COVID-19 as a syndemic will invite a larger vision, one encompassing education, employment, housing, food, and environment.(source The Lancet)

Il pervertit ainsi le concept de syndémie… en l’étendant… au social.

Et donc au politique.

Le couillonavirus qui était et est toujours un bête virus… devient ainsi dans l’esprit dérangé des covidéments… un outil de transformation sociale.

Rien de moins.

Et d’ailleurs, ils revendiquent cette idée haut et fort, depuis le début…. Souvenez-vous des délires autour du “monde d’avant ” et du “monde d’après“.

Cela ferme la boucle.

L’édito de Horton est donc une véritable feuille de route, celle des constructivistes, nos ennemis, les zélotes les plus fanatiques du couillonavirus.

Cette édito est la clé pour comprendre la covidémence, son fonctionnement, son déroulé dans le temps et ses enjeux.

Et ce discours, articulé autour du mot “syndémie“, est bien entendu repris par les grands médias.

Le Lancet a enfoncé le clou le 16 octobre en publiant une grosse étude : Global health: time for radical change? mais en focalisant sur les aspects sanitaires.

Les médias français ont immédiatement repris la balle au bond, en dérivant comme Horton sur la question “sociale”.

Libé : Covid-19 et maladies non transmissibles : «The Lancet» alerte sur la «syndémie» en cours

 

Ouest-France : Obésité, pollution, inégalités, Covid-19 : le cocktail pour une « tempête »

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Comment imposer le couvre-feu au milieu de nulle part ? Etre préfet et neuneu

Notre consultant océanographe est formel : la seconde vague est bien là (en haut à gauche sur la photo).

On connaît la méthode. Eprouvée. Paris prend quelques grandes décisions… Et ensuite, on laisse les préfets foutre leur merde, histoire de bien l’étaler (la merde) sur tout le territoire national.

Incontestablement le préfet du Morbihan vient de se surpasser.

Le Morbihan n’est pas concerné par les mesures de couvre-feu, mais la préfecture interdit l’accès aux plages et aux sentiers côtiers de tout le département entre 21h et 6h. La mesure est effective à partir de ce samedi 17 octobre. (source France Bleu)

On peut applaudir l’effort fourni : les sentiers qui longent la côte de nulle part, dans les environs de Rien et frappés par les embruns, vers 2 heures du matin en plein mois d’octobre, sont bondés comme les quais du RER B à Châtelet le vendredi à 16h.

Tous ces gens à poil, qui profitent du soleil et d’un bon 30 degrés des familles, c’est extrêmement dangereux, couillonaviralement parlant.

Chapeau.

Etre aussi bas de plafond, il faut le vouloir très fort et l’écrire sur sa liste au Père Noël.

Mais de manière encore plus étrange, le préfet poursuit sur sa lancée :

Les rassemblements de plus de 6 personnes sont également interdits, sauf dans le cas de manifestation revendicative, indique le préfet.

Eh bien voilà !

Il suffit d’organiser une rave party une manif contre la bêtise… du préfet en revendiquant une greffe de matière grise en sa faveur et le tour est joué !

Plus sérieusement, il y a bien une pattern dans la covidémence.

Patrice Faure, le petit fonctionnaire en question, s’était déjà illustré en mars dernier... Un bon élève avec la raie sur le côté et sa gourmette à la con qui cherche à se faire remarquer par ses maîtres… Sans doute veut-il une promotion… Une médaille en chocolat… Une photo shirtless  de Manu dédicacée.

“J’m’appelle Patrice. Tu as vu ma gourmette ? C’est de l’argent. Et le col italien de ma chemise en polyester, tu aimes ? Bon je me fais vraiment chier dans le Morbihan. A force de picoler du cidre comme les indigènes, je suis devenu un peu concon sur les bords. Vivement la retraite aux Antilles, je pourrai passer au Ti-punch”.

Ou plus prosaïquement, un poste un peu moins pourrave que le Morbihan (la météo est vraiment trop merdique, en plus tout le monde se fout de sa gueule, et les enfants -alcooliques et toxicos, ils sniffent du cidre- lui jettent des pierres, c’est dire).

Tous les sentiers côtiers mènent à une préfecture. Et inversement.  Forcément.

DERNIERE MINUTE

On nous signale que le maire de la Trinité-Sur-Mer – il s’appelle Yves Normand, si, si, ça fait vraiment Juste Leblanc dans vous savez quoi- … Bref ce monsieur est jaloux. Du préfet.

Ni une ni deux, il a donc complété le dispositif covidément… en imposant le port du masque sur ces mêmes fameux sentiers côtiers… (source Télégramme) !

Donc entre le couvre-feu la nuit pour empêcher les sabbats à poil par moins 5 degrés, et le masque au milieu de nulle part la journée… les 24 heures du Mans -et de la Connerie- sont… courus.

Et bien courus.

Sur les sentiers côôôôtiiiiiiiiiiiiers ! (on dirait une chanson de Trenet).

La Team Macron est en pole position. Bravo.