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Saloperie et sida mental

Japon : si le petit poisson s’échappe de ton bocal, tu vas mourir

Les Japonais ont l’art et la manière de systématiquement plaquer une couche cucul la praline nunuche concon sur les questions les plus graves.

Le couillonavirus -hélas- n’arrange pas ce phénomène.

Ainsi, la firme Hitachi a inventé un système visuel pour faire respecter la “distanciation sociale“.

Pas de croix rouge,  pas de visuel agressif, ni d’alarme stridente. Même pas une petite électrocution salvatrice, ou un coup de pied dans les parties génitales.

Non. A la place : des petits poissons.

Dans un bocal choucard… Toi.

Tu es le bocal.

Et les poissons sont… mignons. Mimi. Narak comme disent nos amis Thaïs (autres grands neuneus au coeur enfantin…).

Lien : https://twitter.com/NHKWORLD_News/status/1315601546168668163

Bon sang… Les Samouraïs hyper violents ont bel et bien disparu…

La société japonaise est littéralement en train de s’oublier (les sphincters à 80 balais ne répondent plus)…

Dans une couche géante pour adulte.

Diarrhée civilisationnelle…

Flatulence terminale.

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Saloperie et sida mental

L’Intraitable : le nouveau sous-marin lanceur de conneries

La France dispose de quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins : Le Triomphant, Le Téméraire, Le Vigilant et Le Terrible.

Plus un vaisseau expérimental : L’Intraitable.

Vous avez forcément reconnu Castex, l’homme au costume en tergal et à l’accent à la con, qui a donc promis d’être “intraitable” (lire ici).

Castex, comme tous les bas de plafond, a des certitudes dont la force est inversement proportionnelle à son intelligence.

Dernier exemple en date :

La France se trouve dans une deuxième vague forte. La réalité de la deuxième vague est là. J’appelle à ce que nous nous mobilisions tous et toutes, il ne peut plus y avoir de relâchement.

Pour faire face à cette deuxième vague, rien ne doit être exclu (source France Info).

Inutile de lui montrer ce graphique, il ne comprendrait pas l’ironie.

Nombre de covidécès par jour, du 1er mars au 9 octobre 2020.

Castex est un VRP du couillonavirus, un petit télégraphiste propagandiste.

En tant que sous-marin lanceur de conneries, sa ligne de flottaison est à la mesure de sa probité intellectuelle : très, très basse, voire abyssale.

Il est conçu pour les grands fonds.

Et les grands cons.

“Fermez mes écoutilles ! Les femmes et les enfants en dernier ! Je plonge ! Blurp. Glou glou. Prout”.

LE BONUS

Il faut voir cette vidéo (prise fin août à France Inter) pour mesurer à quel point Castex est un clown triste. Un gland. Un neuneu. Le mec faux jovial mais vrai petit gris qui se met le doigt dans le nez, qui force son accent et qui fait pouet pouet avec sa bouche.

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Saloperie et sida mental

Cette fois on le tient ! Le patient infecté DEUX FOIS et qui en meurt

Cela fait sept mois que nous étions à sa recherche.

Il y eut bien quelques alertes ici et là… des cas –hélas isolés– de réinfection couillonavirale.

Le principe d’un couillonavirus qui réinfecterait les gens… a bien évidemment deux gros avantages :

-cela augmente considérablement le trouillomètre du cheptel. Adieu l’immunité naturelle. Imaginez un rhume… mortel qui reviendrait chaque hiver. Ou mieux encore : chaque semestre ! 😉

-cela renforce considérablement, paradoxalement, la nécessité pour les labos de travailler non stop, et jusqu’à la fin des temps, contre des montagnes de pognon, à l’élaboration de vaccins. Eh oui, l’immunité naturelle ne serait jamais suffisante, alors dans le rêve humide des labos, chaque être vivant sur cette planète (chiens, chats et pangolins compris)… recevrait chaque trimestre son injection de poison vaccin.

Nous donc étions à la recherche de ce Graal.

Et la quête est enfin terminée.

C’est une habitante des Pays-Bas qui a remporté le cocottier !

La nouvelle cataclysmique est rapportée par le Financial Times (et d’autres médias) s’appuyant sur une étude publiée dans la prestigieuse revue Clinical Infectious Disease.

Du lourd.

A dutch woman has become the first person reinfected with COVID-19 to succumb to the virus. According to the paper, the patient first arrived at a hospital in the Netherlands complaining of fatigue. She tested positive, and was later discharged. But 59 days later, she returned to the hospital with even more serious conditions, and tested positive for COVID-19 again. She died shortly after.

La salope y est passée, cool ! C’est une terrible nouvelle. Et nos pensées accompagnent sa famille.

Mais vous vous en doutez… il y a un… hic.

Vous connaissez mon sens de l’à-propos… 😉

La femme en question était… était…. était…

… était….

…. était…

……………………….. était….

…. encore un peu de patience….

……………… était….

……. cette femme était….

âgée de 89 ans.

😉

Ce n’est pas bien de rire du malheur d’autrui, je sais… Mais nos 3 harpies mouettes rieuses ressentent l’impérieuse nécessité d’intervenir.

“Alors les gueux ! Vous vous rendez compte… il y a des vieux de 89 ans qui meurent ! Ca vous démonte à coup de cric, hein ?”

Plus sérieusement, voilà où nous en sommes… Quand des revues scientifique et des grands médias… en sont réduits à monter en épingle… un non-sujet absolu.

Une vieille dame de 89 ans est morte à l’hôpital…

Le fait que des traces de virus (ou pas) ont pu être retrouvées dans son organisme… n’a aucune espèce d’importance ici.

Une vieille dame de 89 ans est morte.

Tout simplement.

Et c’est normal.

Et c’est sain.

Et la Terre continue de tourner, autour de notre étoile.

Et le soleil, brille, et chaque seconde :

environ 619 millions de tonnes d’hydrogène (3,4 × 1038 protons ou noyaux d’hydrogène) sont converties en 614 millions de tonnes d’hélium, ce qui libère une énergie correspondant à l’annihilation de 4,26 millions de tonnes de matière, et produit 383 yottajoules (383 × 1024 J) par seconde, soit l’équivalent de l’explosion de 91,5 × 1015 tonnes de TNT.

Nous sommes peu de chose.