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Pays Saloperie et sida mental

Angleterre : où l’on reparle du papier-toilette…

Quand le monde se réduit à cela…

La covidémence c’est d’abord et avant tout une… conspiration.

Nous sommes tous d’accord.

Mais c’est aussi, par-dessus ou par-dessous, la preuve désespérante, répétée, de la profonde bêtise, crasse et pour tout dire effrayante de la majorité des gens ; le cheptel.

Le Royaume-Uni est en pleine crise de covidémence, le gouvernement fait n’importe quoi, Boris Johnson se révèle un abruti apeuré et inconstant… Ils annoncent de nouvelles mesures (encore) contre le couillonavirus qui n’existe plus, en particulier des confinements locaux.

Conséquence ? Ni une ni deux… des masses de crétins se précipitent au supermarché du coin… pour acheter… du papier-toilette !

Pas de la nourriture, des armes, des clopes, ou du pinard, bref des choses importantes… non !

Du papier-toilette.

Pour se torcher le cul.

Où l’on revoit les mêmes images qu’en mars dernier, dans plusieurs pays (aussi bien en Asie qu’en Occident, faites une recherche avec “panic buying virus”). C’est ahurissant.

C’est un cauchemar en boucle. C’est le film Groundhog Day mais sans Bill Murray.

Le DailyMail publie un article avec de nombreuses photos qui vous donneront envie de pleurer. Et d’ouvrir plusieurs bouteilles de rouge…

Dans ces cas de désespoir intense, il ne reste plus que William Butler Yeats.

Things fall apart; the centre cannot hold;
Mere anarchy is loosed upon the world,
The blood-dimmed tide is loosed, and everywhere
The ceremony of innocence is drowned;

The best lack all conviction, while the worst
Are full of passionate intensity.

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Chiffres Pays Saloperie et sida mental

Covidémence à la québécoise : “suce ma graine !”

Ce n’est que justice, après l’enclume, voici “con comme une bûche de bois” (je m’adapte aux ressources locales façon “circuit court”…)

Après les Belges… les Canadiens se sont en mis en tête d’être aussi bas de plafond que les cousins français.

Rappelons qu’ils s’étaient déjà illustrés… avec une vision très couillonavirale du “glory hole” appliqué à la bête-à-deux dos (lire mon article édifiant ici)…

L’heure est grave (seconde vague, tout ça)… Donc résumons les nouvelles restrictions et atteintes aux libertés prises à l’ombre des grands érables… et des pancakes…

-Le nombre de personnes autorisées lors de rassemblements dans les «salles louées, les lieux de culte, les événements festifs, les mariages» passe de 250 à 50 personnes (source Le Figaro)

Mais lorsque la situation est “orange” (ce qui est le cas dans les villes de Montréal et de Québec) alors ces rassemblements sont limités… à 25 personnes.

Mais comme rien ne doit être simple :

“Ces mesures ne s’appliquent pas aux salles de spectacle et aux cinémas où la distanciation physique est plus facile à mettre en place”

Et cerise sur le tas de merde, pardon sur le “sundae” (je parle québécois couramment) :

Dans les régions en zone orange, les rassemblements privés autorisés à l’intérieur des logements passent de dix à six personnes.

 

Dans les bars et les restaurants, qui devront fermer à minuit et ne pourront plus vendre d’alcool après 23 heures, six personnes au maximum, contre dix auparavant, pourront s’asseoir à la même table.

😉

On le voit : les Canadiens ont décidé de rejoindre le peloton de tête. Mélange de veulerie, de constructivisme neuneu, de fonctionnaires déjantés en roue libre et de bêtise crasse.

Voici les indicateurs “tête froide”.

Population totale : 37,6 millions. Nombre de covidécès : 9 217.

Et la vision graphique pour prendre du recul : nouveaux covidécès par jour et par million, moyenne mobile 7 jours. Base de données disponible ici.

On commence “long”, du 1er mars au 21 septembre.

Oh la belle cloche ! Vu et revu partout… Aucun intérêt.

On zoom, du 1er juin au 21 septembre. La fameuse “seconde vague”… L’été indien meurtrier saute aux yeux.

Y’a pas à dire… Ca monte ! “Gros colon ! Suce ma graine ! Ostie d’mongol ! Téteux ! Niaiseux ! Tu la sens ma seconde vague ?” (note de la direction : tabernacle, notre chum Régis, stagiaire au service infographies, a pris des cours de Québécois accéléré. Bon, c’est normal… il s’appelle Régis…)

Comment dit-on “crétin” en Canadien déjà ?

Ah je sais !

Avec un premier ministre aussi gland, inutile de faire une blackface pour avoir l’air complètement demeuré. Et n’oubliez pas : “il s’excuse“. Pour tout.

NOTE TECHNIQUE

… A destination des retardataires ou des malcomprenants. Le seul indicateur pertinent dans cet infâme maesltröm de pseudo données est le nombre de décès par jour et par million (d’habitants). Car lui seul permet de comparer des pays très différents (en taille).

Et met en lumière les mensonges des uns et des autres.

De plus, on lui applique un traitement “moyenne mobile 7 jours”, vilaine expression qui signifie qu’on fait une moyenne sur 7 jours en arrière afin de “lisser” les aberrations (parfois) des rapports quotidiens.

Exemple concret d’une telle aberration : quand les crétins de l’Agence Santé Publique France ont balancé vendredi le bilan des covidécès (+120, contre moins de 50 les jours précédents !) sans préciser qu’un hôpital dans l’Essonne avait “oublié” des dossiers pendant DES MOIS…. et donc avait balancé la sauce en une seule fois (lire mon article sur cette énième manipulation ici).

Mais in fine, on rappellera cet autre fait : même les données concernant les covidécès sont bidonnées (la plupart des vieillards malades qui décèdent officiellement “du Covid”, meurent en fait “avec le Covid”, et surtout de leurs vieilles pathologies bien sévère ou simplement de leur grand âge).

Le bilan officiel de 30 000 morts en France est au minimum DIVISE PAR DEUX en réalité (lire l’article sur l’état civil).

Et chaque pays fait un peu sa propre sauce pour déterminer les morts “du” Covid… Certains sont très créatifs (Belgique, mais aussi Etats-Unis).

Là encore, il y a un juge de paix… Mais il faudra être patient. Attendre les chiffres de mortalité toutes causes confondues, pour chaque pays.

Et ensuite on pourra comparer avec les moyennes des années précédentes.

Alors, le véritable bilan du couillonavirus apparaîtra.

Et certains, dont bien entendu le Petit Olivier, auront intérêt à acheter des sous-vêtements de rechange…

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Humour Saloperie et sida mental

Star Trek : Grasse teste un portique de désinfection à énergie ionique et vibratoire

Tu mets une pièce de 2 euros dans la fente, tu cliques, tu appuies sur le bouton, et pouf, tu es désinfecté. Atomisé le couillonavirus ! (sur la photo notre équipe d’astrophysiciens en pleine conférence technique avec distanciation sociale, mais sans les masques).

D’abord, on croit à un gag.

Et puis on creuse. Non ce n’est pas une plaisanterie.

Le Maire de Grasse a décidé de tester le premier portique de désinfection et prise de température, entièrement créé sur la Côte d’Azur. (source)

Cet engin s’appelle la SANIBOXX (avec 2 X).

Alors, concrètement comment ça marche ?

J’ai bien entendu contacté Michel Chevalet.

Ses explications sont parfaitement claires, comme d’habitude.

La “brume sèche électrostatique attire les éléments en suspension dans l’air”, tandis que “l’ozone et les UV ont un pouvoir oxydant sur les germes et virus, ce qui conduit à leur dégradation”. Le cycle complet d’utilisation “n’excède pas les 7-8 secondes”, précise le dirigeant de la société, Eric Peltier. (source LCI)

C’est Star Trek. C’est un aller (qu’on n’espère pas simple) pour la Lune.

L’électrostatisme va attirer et dresser tes poils de cul, ensuite l’ozone, les UV (et un brin de Zyklon B, deutsche qualität) les coupent (tes poils, faut suivre) et avec eux le couillonavirus, bien entendu !

Mission accomplie.

“Ici la base de la Tranquillité, l’Aigle s’est posé”.

Manque plus que la sonde rectale pour… pour… mais pour quoi au juste ? Le fun, mais passons, c’est un autre sujet et cela ne nous regarde pas.

Alors la technologie, les étoiles et les galaxies, fort bien, mais quid de la sécurité de l’appareil ?

Les questions abondent parmi les ménagères de moins de 90 ans.

Vais-je perdre mon maquillage, ma peau, mon bronzage, ma coiffure ? Et ma robe Yves Saint-Laurent, on y a pensé hein ? Qui va me payer les frais de teinturier si je me retrouve à poil, avec un morceau de tissus troué et totalement décoloré ?

Pour s’assurer de la sécurité du dispositif, “nous avons fait appel au Docteur Alain Burr, chercheur au CNRS”, ajoute-t-il. “Ses calculs ont permis de déterminer des temps d’exposition et par sécurité nous avons programmé nos portiques en dessous de ces valeurs.”

Un fonctionnaire chercheur du CNRS a fait des… quoi ? Des calculs !

Nous voilà donc rassurés… 😉

Les explications laborieuses qui suivent, le sont un peu moins (rassurantes).

Pour ne prendre aucun risque, la durée d’exposition a été réduite par rapport aux seuils maximum tolérés, un choix assumé “quitte à ce que l’efficacité soit un brin réduite”. 

Ah bon ? Y’a des seuils maximum ? Ah zut.

LCI enfonce le clou et finit par nous foutre franchement la pétoche.

Que sait-on des techniques utilisées avec ce portique ? “Elles sont bien connues et validées”, note Dr Bruno Grandbastien, président de la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), mais “sans présence humaine”. Les UV en particulier sont les plus utilisée, “notamment aux Etats-Unis où l’on s’en sert pour désinfecter des pièces, que ce soit des chambres à l’hôpital ou des blocs opératoires”.

Eh oui… les UV c’est bien pour désinfecter des objets… mais pour les humains (nous !) … euh… non c’est pas validé. 😉

La tuile.

Enfin, cet engin, coûte un “peu moins de 16 000 euros“. C’est cadeau ! C’est la Côte d’Azur.

A présent, c’est l’heure de la conclusion pratique.

Tu passes dans le portique qui te défonce la gueule à coup d’UV et d’ozone. Parfait.

Ensuite, tu es totalement désinfecté, rendu vierge tel Adam à poil du côté de chez Eden, même ton slip sale et plein de miasmes ressort plus blanc que blanc (les enzymes sont gloutons, surtout là !)… tu pénètres ensuite dans le bureau de la mairie.

Et là tu peux tousser, cracher tes poumons et infecter tous les fonctionnaires fainéants (car tu as l’esprit de contradiction, sans oublier le glaive vengeur et le bras séculier).

Eh oui, le couillonavirus se cache profond dans le nez et les bronches… Là où les rayons UV ne pénètrent pas.

Zut. Faut tout recommencer.

Captain Kirk peut aller se rhabiller. Tu peux pas lutter contre la Côte d’Azur.