C’est quoi la Belgique ? Un non-pays. Ensuite, ce sont les frites, et le surréalisme. Ajoutez à cela le siège du camp de concentration appelé UE, une capitale “européenne” joyeusement islamisée, et une gauche d’une veulerie suintante et extrême.
Aucune surprise donc à voir la Belgique détenir un étonnant record mondial : la plus forte proportion de morts du couillonavirus par rapport à la population.
Folie ? Absolument.
Quand la France tourne à 450 morts par million d’habitants, le pays de la frite à la mayo avec de la bière et des burkas européennes affiche fièrement (visualisez ici la trogne ravie de l’ancien premier ministre garçon de café au noeud papillon, Elio Di Rupo) : 850 !
Double trouble !
(voire mon article Les Chiffres)
Les Belges seraient-ils donc des aliens ? Des gens venant de Jupiton ? De la Ceinture de Gould ? A 260 km de Paris pourtant ?
Nom d’une pipe (de Magritte) !
Rien de tout cela, bien entendu.
Ils ont simplement des autorités encore plus veules, encore plus malhonnêtes que les nôtres ! Les Belges n’ayant rien à proposer, n’étant historiquement pas grand-chose, doivent se prouver qu’ils existent. Donc ils tentent de se faire bien voir par l’appareil de propagande.
Ils deviennent des zélotes, intoxiqués par leur propre fanatisme.
Moyen et conséquence ? Hyper bidonner les chiffres.
Le Parisien vendait modestement la mèche dès le mois d’avril en évoquant… leur “méthode de comptage très large” !
En Belgique, tout ce qui est suspect est considéré comme lié au coronavirus.
Voilà. Mais le pire c’est que ces salopards se voient -une constante chez les constructivistes gauchistes- comme les vertueux. Ils sont le bien, les autres sont le mal.
Ils accusent ainsi les autres pays de… “mentir” ! (alors que tous les autres pays bidonnent aussi). L’ironie ici s’accouple avec l’indécence et devient sublime.
Résumons : un Belge de 90 ans, sidéen, obèse, d’origine africaine, cardiaque, bourré de cholestérol et avec un diabète carabiné passe subitement l’arme à gauche ?
Il a éternué juste avant de clamser ?
COVIIIIIIIIIID ! COVIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiid !
Bref plus que jamais… vous savez désormais pourquoi on parle de “blague belge”.
Et pourquoi on se fout de vous (que vous soyez -à Dieu ne garde- belge ou pas).
CADEAU BONUS
Pour celles et ceux qui douteraient encore de la nécessité d’une saine belgiophobie, voici le clown, pardon le vice Premier ministre belge (et aussi ministre de la justice) qui nous fait une Sibeth Ndiaye (vous vous souvenez ? Non ? C’est normal) facteur 10 sur la racine carrée d’un litron de gnôle.