“I think there’s a 20% chance that we might have a new variant that is more virulent, causing more disease than what we had with omicron,” Bancel noted. “So I think it’s a good scenario.”
Moderna remains in clinical study phases for its omicron-specific booster vaccine, according to Bancel, who believes COVID-19 immunity will “wane” in vaccinated individuals by fall.
“We want to be ready with anything that biology will throw at us by the time the fall comes,” Bancel explained, “because I’m not too worried about the next few months in the spring and summer.” (interview à Fox News le 24 février)
Le patron de Moderna, le Français Stéphane Bancel, a tout dit :
-mais… l’immunité procurée par nos “vaccins”… disparaîtra à l’automne
Traduction : nos produits sont de la merde. L’immunité procurée est très courte, bien plus faible que celle de l’immunité naturelle. Mais des centaines de millions de gogos (les vieux boomers, les jeunes wokes, les immunodéprimés, les déprimés tout court etc.) voudront -volontairement- prendre notre booster avant l’hiver prochain.
Plus d’obligation déguisée (finis les passes sanitaires et autres). Un bon petit chiffre d’affaires récurrent. On aura désormais le vaccin annuel contre la grippe plus le vaccin annuel contre le Co(quoi ?)vid.
-20 % de chances pour qu’un nouveau variant arrive et soit plus méchant.
Traduction : autant faire pipi dans le marc de café et y déceler les chiffres du loto, l’essentiel n’est pas là. Le Co (quoi ?) vid c’est fini. Big Pharma a désormais un modèle…
Entre les “boosters” pour la vieille version du Co(quoi?) vid et de futurs virus, l’industrie a développé tout un nouveau marché.
Et donc les mecs attendent, ils savent que de toute façon dans le futur, ils pourront recommencer.
Bon… déjà l’alarme “neuneu” et “culcul la praline” clignotait très fort… 😉
Ca fait penser au “en même temps” de l’autre tête de noeud.
Mais Richard a franchement explosé en vol le 26 février, pendant que le méchant Poutine, pardon Hitler, bombardait sauvagement la gentille Ukraine.
Prêt(e) ?
Les internautes les plus pointus ont cru à :
un compte Twitter parodique
un message codé destiné à des agents infiltrés
un piratage mené par les services russes
Sauf que non. C’est bien réel. Et il n’y a pas de message chiffré. Ni de piratage (pas besoin !) 😉
Entre le Pentagone qui s’occupe des toilettes transgenres, l’US Air Force qui psychote sur les “pronoms” et maintenant les services secrets anglais obnubilés par les “LGBT” et les plumes dans le derrière… Poutine, pardon Hitler, se fend la poire à en mouiller son caleçon tissé avec des poils d’ours.
Quant à Xi Jinping, c’est bien simple, il en crache son canard laqué et salope tout son costume Mao.
Une grande partie de l’Occident est résumé dans ce tweet à la con.
Dès le début de la crise couillonavirale, les gens rationnels ont dit que le principe de précaution devait s’appliquer aux nouveaux produits ARNm anti-Covid.
Une technologie pour laquelle nous n’avons aucun recul (effets à moyen et long terme), Pfizer n’ayant fourni par exemple aucune étude de génotoxicité, ni de cancérogénicité.
Et pour cause. Faut bosser. Ce n’est pas en développant un pseudo “vacccin” en “quelques heures” sur un ordinateur, et ensuite en bâclant les essais cliniques en quelques mois que l’on peut étudier ces questions.
Certains scientifiques (des vrais) avaient même évoqué le risque que l’ARN de ces produits puisse endommager l’ADN humain selon le principe (prouvé) de la transcription inverse.
(on pense par exemple aux généticiens Alexandra Henrion-Caude ou Christian Vélot).
Alors que si, techniquement, cela avait été déjà démontré… euh… en 1975… Et c’est même ce qui a permis la découverte du VIH… en 1983.
Quarante ans, une paille.
Comme le disait Raoult en caressant ses moustaches tel un chat devant une souris avant de la bouffer : les mecs ne sont même pas foutus de lire et d’être à jour.
De vrais ploucs.
Un an après, une grosse peau de banane géante, version astéroïde tueur se présente à nous…
Des scientifiques suédois ont en effet démontré que le produit couillonavirant de Pfizer, pardon son “vaccin“, pouvait bel et bien… être retranscrit dans l’ADN (étude menée in vivo avec des cellules humaines, lire ici) !
On a surtout envie d’ajouter des smileys et autres signes culcul tellement on se gondole, tellement on se poile !
Rappelons quand même que des milliards de doses de ces saletés (Pfizer et Moderna) ont été injectées en 13 mois…
La plus colossale expérimentation Frankenstein de toute l’histoire de l’humanité !
Alors les multi-dosés ? Ca va ? Vous êtes détendus ? Ca vous fait quoi de savoir que vous pourriez littéralement être devenus des OGM ?
Des organismes génétiquement modifiés…
Modifiés par une société américaine à la con (et ses nombreux complices), au nom de la lutte contre une maladie qui de toute façon ne vous concernait pas, pour la grande majorité d’entre-vous…
Il faut encore répéter l’évidence : on ne sait pas le tiers du quart.
Il va falloir des années pour mesurer, compiler, étudier les effets de cette campagne aussi hallucinée que massive d’injections de produits ARNm.
Il est donc impossible de tirer des conclusions aujourd’hui… C’est cette évidence que les hystériques covidéments ont refusé de prime abord, contre toute raison, contre tout bon sens, contre toute intelligence.
Et qu’ils continuent de nier d’ailleurs (pour sauver leurs miches et leur équilibre psychique)…
Le problème est que les souris -et donc les données- c’est vous.
Vous tous, les dosés.
Des milliards d’individus qui ont été trompés, délibérement (le coup du “on ne pouvait pas savoir” ça risque de ne pas très bien marcher, si la situation dégénère…).
On finira par savoir.
POST-SCRIPTUM BIS
Pour bien comprendre la problématique : Fischer, le monsieur Vaccins du gouvernement, s’appuie sur le passé pour démentir cette possibilité (l’ARN qui passe dans l’ADN) :
Alain Fischer, qui rappelle que l’ARN a déjà été utilisé dans des essais de vaccination anticancer à des doses bien plus élevées, “sans que de tels événements aient été observés“.(source l’Express, janvier 2021).
Mais Alain… d’abord tu mens. Il ne s’agissait absolument pas de “vaccins” anticancers mais de traitements, des immunothérapies… Les patients étaient malades, et donc prêts à accepter de gros risques.
Mais surtout ça concernait combien d’individus ? Quelques dizaines ? A peine ? Et ces individus tu les as ensuite suivis pendant 5 ou 10 ans ?
En 2021, les produits ARNm couillonavirants ont été injectés à des MILLIARDS d’individus (en bonne santé).
Il est stupéfiant qu’un scientifique, soit disant grand manitou du gouvernement français, ne soit pas capable de comprendre ce principe statistique de base.
Et cette bêtise crasse… a ensuite contaminé tout le cheptel.
On se souvient tous des glandus qui s’exclamaient, l’air ravi :
“le vaccin a été injecté des milliards de fois, donc c’est la preuve qu’il est sans risque”.
Un seul exemple, une tribune publiée le 4 août 2021 dans Libération le quotidien des bienpensants, par un Pfizerolâtre convaincu, un certain François Arleo… physicien au CNRS.
Son titre ? “Supplique à mon ami qui préfère ne pas se faire vacciner“.
On frémit.
“Efficacité insolente” ? 😉
“Aucune maladie rare ne s’est manifestée plus de deux mois après une vaccination” ?
Alors François ? Tu as les roustons qui rétrécissent comme des pruneaux secs ?