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Je n’aime pas les gros

“Le covid il ne passera pas par moi ! “… Ben si. Justin Trudeau a beau s’excuser, ça ne change rien au Réel.

Oui je n’aime pas les gros, j’en conviens“.

Je paraphrase le conducteur de scooter… Il s’agit de poser le décor et surtout de mettre ses références culturelles au niveau de l’époque…

Dans ma collection de phobies, je suis donc grossophobe. Aïe.

L’obésité est une aberration, une anormalité.

Et de plus, lorsque le couillonavirus s’invite à la garden party, ça tourne souvent en bal tragique à Colombey-les-Deux-Souches.

En clair : en ces temps couillonaviraux, c’est une tare. Le mot est lâché.

Il y a donc encore moins de raison d’être fier d’être obèse, mouvement totalement dégénéré qui nous vient des Etats-Unis.

Les fameuses fiertés.

Fier d’être homo, fier d’être hétéro (celui là, c’est pour rire), fier d’être con, fier d’être obèse, fier d’être moche, fier d’avoir les pieds rentrés ou sales voire les deux, fier d’être fier etc.

Rincez, répétez.

Où je veux en venir ?

Obesity link to UK Covid toll: Britain’s status as the ‘sick man of Europe’ led to shocking number of deaths from coronavirus, experts claim (source DailyMail)

Non  ? Sans déconner Sherlock !

Et le prof d’enfoncer le clou :

A third of our nation are in the obese category.

“This is much higher than other parts of Europe and does contribute to the high excess [Covid] mortality that we’ve seen in the UK.”

Eh oui. Il y a des personnes à risques.

Ces risques sont identifiés, pour une grande part.

Les obèses en font partie.

Et en France ? 17 % de la population, ce qui représente 8 millions de personnes (source). L’obésité très sévère toucherait plus de 500 000 personnes…

Ah quand même…

Donc au lieu de prendre la pose, de faire chier le monde avec leurs  problèmes, réels ou fantasmés, ces personnes à risques doivent se reconnaître comme telles, et se protéger.

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Covid, cause ou symptôme ? Le Grand Malentendu

L’expression “monde d’avant/monde d’après” est un piège sémantique.

Il sont nombreux à espérer qu’une fois le Covid disparu, alors tout ira bien. De nouveau.

Mais 2019 était-elle une année vraiment meilleure que 2020 ? Et 2018 ? Et à cette aune, toutes les années précédentes ?

Un élément de réponse : Macron a été élu (par vous, passivement ou activement) en 2017. Trois ans avant le couillonavirus.

Et avant lui, ce fut Hollande (2012). Et avant lui Sarkozy (2007). Et avant lui, Chirac (1995, 2002). Et avant lui Mitterrand (1981, 1988).

Je liste les présidents français par facilité, évidemment. Mais c’est pour démontrer que nous sommes bien au coeur d’un processus historique.

C’est le Grand Malentendu.

Pour la plupart des gens, le Covid est un cygne noir, un événement  imprévisible, avec donc forcément un début et une fin.

Or rien n’est plus faux.

En réalité, ce que le Covid révèle c’est que nous sommes collectivement malades, infectés, dégénérés. Et ce depuis plusieurs décennies déjà.

Nous, c’est-à-dire l’Occident, car ce processus n’est pas limité à la France (autre erreur communément faite).

Pour filer la métaphore médicale : le Covid n’est pas une cause.

C’est un symptôme.

Voilà pourquoi, le Covid et tous ses copains “variants” une fois disparus… le problème de fond demeurera.

La covidémence est certes imposée de l’extérieur.

Mais ce qui la rend possible… vient de nous.

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La thérapie informationnelle

Tal Zaks est le directeur médical de Moderna.

En novembre 2017, il donne une petite conférence TED (courte) au sujet de la fameuse technique du “ARN messager” que vous connaissez tous maintenant grâce aux produits couillonaviraux de Moderna et de Pfizer.

Son expression choc : “The information therapy“.

La thérapie informationnelle (c’est moche je sais, mais c’est ce que j’ai trouvé de plus approchant).

Lien : https://www.ted.com/talks/tal_zaks_the_disease_eradicating_potential_of_gene_editing

Verbatim.

En fait, nous piratons le logiciel de la vie

Le mRNA est l’information qui détermine ce que fera une cellule

Nous le voyons comme un système d’exploitation

Si vous pouviez changer cela, ce que nous appelons le logiciel de la vie, si vous pouviez introduire une ligne de code ou changer une ligne de code, cela aurait des conséquences profondes sur tout, depuis la grippe jusqu’au cancer

Prenons le vaccin contre la grippe. On vous injectes des petits morceaux du virus, de protéines, votre corps apprends à les reconnaître.

Imaginez qu’au lieu d’injecter la protéine, on injecte les instructions pour fabriquer ces protéines, le corps pourrait alors fabriquer son propre vaccin.

Ensuite, il parle des cancers. Et des vaccins personnalisés (basés sur le profil des tumeurs du patients).

Mon patron est venu me voir. Il me demande : “est-ce que ça va marcher” ?

Je lui réponds : “je ne sais pas. Mais nous avons toutes les pièces pour essayer et répondre. Nous devons essayer. Aujourd’hui, je ne sais toujours pas si ça va marcher.

Nous avons essayé sur une patiente, la première avec un vaccin personnalisé.

Les prochains mois et années, nous aurons la réponse, si nous pouvons réveiller le système immunitaire contre le cancer de quelqu’un, grâce à un vaccin personnalisé.

Troisième exemple : une maladie rare (acidémie méthylmalonique).

Dans une souris malade, grâce à la technique mRNA, ils ont pu injecter le code génétique manquant.

Que penser de tout cela ?

L’espoir est à la mesure du véritable enjeu : les cancers. C’est ça la véritable pandémie, réellement mondiale, et qui tue massivement et à tous les âges !

On comprend pourquoi Moderna et Pfizer se sont précipités sur le couillonavirus. Il s’agit en réalité d’un formidable accélérateur pour cette technologie avec une application massive, dans le monde entier, et sur des populations très différentes les unes des autres.

L’intérêt scientifique est évident, sans oublier la thune, le tsnunami de pognon que la covidémence représente.

Demande et offre.

Il n’en reste pas moins que les produits génétiques pour lutter contre le couillonavirus sont parfaitement inutiles pour la grande majorité de la population. Et c’est là où on peut critiquer ces sociétés pharmaceutiques. Elles n’agissent pas en véritables médecins.

Ce n’est pas parce qu’on peut faire, qu’on doit faire.

Imaginez que que l’on parvienne à développer un vaccin contre… le rhume. Et profitant d’une “pandémie” de rhumes (en gros tout le temps, chaque année !), on finit par l’imposer aux populations.

Quel serait l’intérêt médical d’une telle vaccination ? Aucun. Injustifiable.

Avec le couillonavirus, on a créé une fausse demande, et ces laboratoires se précipitent pour créer une vraie offre.

Pour en revenir à la présentation TED. Une patiente cancéreuse a donc été traitée en 2017…

Nous sommes en 2021… En clair, si le truc avait fonctionné parfaitement, cela aurait fait du bruit.

Cet article de novembre 2020 d’ailleurs reparle du vaccin anti-cancer de Moderna. Il y a des tests phase 1 sur des petites cohortes qui montrent des effets bénéfiques (mais pas sur tous les types de cancer).

Nous sommes donc au tout début, aux balbutiements de cette technologie.

Plus largement, l’application aux cancers est-elle pertinente ? Et quid d’éventuels effets secondaires, sur le long terme ?

Car et pour filer la métaphore informatique utilisée en permanence par Moderna (lire ici)… des lignes de code foireuses qui font ensuite planter tout le système… c’est le lot quotidien des informaticiens. 😉