Confirmation supplémentaire de faits déjà établis ici et là.
Après Hong-Kong et le Sras en 2003, après le couillonavirus à Hong-Kong et Guangzhou dans un appartement vide (lire mon article ici)… le “nuage fécal “ est de retour.
Encore à Guangzhou, mais cette fois dans une tour, dans laquelle 3 familles ont été contaminées, alors qu’elles vivent à des étages différents et qu’a priori elles n’ont jamais été en contact avec une 4ème famille qui semble être à l’origine de la contamination, et qui revenait de… Wuhan…
C’est la plomberie une fois de plus qui serait coupable, avec des flux d’air, y compris ascendants, mélangés à des particules couillonavirales, provoqués par.. le fait de tirer la chasse.
Ah ben merde alors.
😉
Rappelons au passage que la présence du virus dans les eaux usées, et donc les matières fécales, a été établie par de nombreuses études.
Plus largement, et au-delà de la problématique des toilettes, les chercheurs pensent maintenant que la transmission couillonavirale par air/aérosol a été “sous-estimée“.
Comme annoncé, je fais des ajouts à mon article “A qui profite le crime ? ” partie 1 et partie 2.
UN MIRACLE ASIATIQUE DE PLUS
Le 2 septembre, la Thaïlande, pays de 69,5 millions habitants, a fêté son 100ème jour… sans infection couillonavirale locale.
Alors que ce pays, davantage peuplé que la France, a accueilli en janvier 2020… 800 000 touristes chinois… avec plusieurs vols quotidiens directs entre Wuhan et Bangkok… Alors que Wuhan, nous disait-on, était en train de flamber (le lockdown date du 23 janvier)…
Et à ce jour, son bilan s’élève à : 3 500 cas, 58 morts…
Alors qu’en France on enregistre jusqu’à 5 000 infections par jour, et une vingtaine de morts par jour. (idem dans tous les pays occidentaux).
Nous ne sommes plus dans une différence d’échelle… Mais dans des paradigmes totalement différents !
Alors que ça n’a aucun sens d’un point de vue épidémiologique dans un monde si globalisé.
L’âge médian en Thaïlande est de 38,1 et en France 40,6. La Thaïlande partage toutes les joies pathologiques de l’Occident moderne : cancers, maladies cardiovasculaires, diabète et… même surpoids (malbouffe, si, si).
Pollutions chimiques (les paysans utilisent encore des produits phytosanitaires en quantités industrielles qui sont interdits en Europe par exemple), pollution de l’air (pendant 4 mois de l’année, l’air est irrespirable, terribles PM25, dans tout le nord du pays, à cause des brûlis dans les champs, et dans le sud c’est vers septembre/octobre, avec les feux en Indonésie…).
Alors ?
Tous les bilans en Asie (nord, sud-est, sud à l’exception de l’Inde et encore avec 1,3 milliard d’habitants il faut relativiser….) sont absolument ridicules.
Quelques exemples :
Corée du sud (51 millions) : 21 000 cas, 333 morts
Japon (126,5 millions) : 70 000 cas, 1 300 morts (alors que population est très âgée et très nombreuse ! Age médian : 48,1)
Vietnam (96 millions) : 1 050 cas, 35 morts (malgré 1 300 km de frontières terrestres avec la Chine)
Malaisie (31,5 millions) : 9 400 cas, 128 morts
Inutile de continuer. Le virus fait des dégâts en Europe et Amérique.C’est tout (et même si ces dégâts sont bien entendu sur-joués et mis en scène en Occident).
Et ce malgré l’impressionnante mise en scène initiale à Wuhan et en Chine (souvenez-vous), un grand spectacle qui a tant frappé les esprits dans le monde… hôpitaux de campagne, cadavres dans les rues, dans les couloirs des hôpitaux, fosses communes creusées, routes de campagne barrées par des murs, portes d’appartements soudées, camions désinfectant les rues, etc.
Comment expliquer un tel phénomène ?
Le virus serait-il raciste, anti-blanc ?
L’Asie boufferait-elle de la chloroquine matin, midi, soir ?
Génétiquement, le virus épargnerait les gros mangeurs de riz ?
Il n’y a pas de grandes villes en Asie ? La densité de population y est très faible ? 😉
Ou alors l’Europe et l’Amérique ont été et sont toujours frappées par une souche spécifique… plus sévère, qui a eu le bon goût de ne surtout pas prendre l’avion, et de ne pas aller infecter les pays asiatiques… ? Une sorte de virus bien élevé ? Qui saurait garder sa place ? 😉
Bref. Il n’y a pas d’explication certaine ni rationnelle…
Notons qu’il est stupéfiant que ces faits soient acceptés tels quels, sans chercher à en expliquer la ou les causes… Ca n’intéresse personne ? Ou le sujet est trop… sensible ?
On doit donc s’en tenir aux observations et se borner à constater qu’une fois de plus, le virus sert la Chine en l’épargnant, de manière factuelle, elle et ses aliés, ses voisins et la plupart de ses fournisseurs de matières premières proches et lointains (Afrique, à l’exception notable de l’Iran), et à l’inverse en déstabilisant profondément tout l’Occident.
Enième manifestation de la chance en faveur de la Chine.
Greta Thunberg, vous vous souvenez ? L’adolescente sudéoise à couettes, assez perturbée, qui engueulait des chefs d’état, des ministres et des députés (adultes précisons-le), à propos du réchauffement climatique et plein d’autres choses qui irritaient cette représentante de la jeunesse éco-responsable et Gaïa-compatible.
Ce produit fut lancé, il n’y a pas d’autres mots, durant l’été 2018. Campagne mondiale immédiate.
Elle fit un tour du monde (un peu en bateau pour les photographes, le reste en avion très polluant) digne des plus grandes rock stars.
Imaginez Mick Jagger sans les drogues mais avec des nattes… Je sais, c’est une vision perturbante…
Un an et demi après, patatra, le coronavirus s’abat d’abord sur la Chine, puis le monde…
Là encore on ne peut que constater : beau timing. D’abord, le produit Greta échauffe les esprits et formate les débats… et hop ! on passe immédiatement après aux travaux pratiques.
C’est comme le rasoir avec 2 lames… Et vous êtes les poils…
En mars et avril 2020, vous souvenez-vous des photos de mégalopoles vides ? Des photos prises depuis des bleds indiens… sur lesquelles on voyait la chaîne montagneuse de l’Himalaya, au loin ? La pollution atmosphérique avait disparu. 😉
Brutal coup d’arrêt de l’activité humaine à cause de la démence du confinement… = parfaite mise en application et démonstration des théories de mademoiselle Greta, de ses affidés et de ses handlers.
De ce point de vue, on peut ajouter Greta et tous ceux qu’elle représente, à la liste des profiteurs de la terrible pandémie. (partie 1 de mon article)
Mais la Chine vient également s’insérer dans le dispositif.
Car durant tout le Greta Show, une chose était frappante : l’absence totale, je dis bien totale dans ses discours… de la Chine, pourtant mégapollueur global.
C’est comme si Greta et son idéologie ne savaient pas que ce grand pays, et ses 1,3 milliards d’habitants, existaient…
On retrouve toujours ce fil d’Ariane, sous la forme d’une idée-force : “Vous l’Occident vous êtes coupables car gros pollueurs, baissez vos émissions, donc décroissez, donc réduisez votre train de vie… à cause du climat blablabla… pendant que nous en Chine ça nous fera davantage de ressources à capter“.