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Raoult : variant, deuxième épidémie… réinfections

La vidéo hebdo du professeur Raoult.

Lien : https://youtu.be/XQBhtwDQHwQ

C’est une deuxième épidémie. Causée par un variant. Différente donc.

La meilleure preuve :

“nous avons 15 cas de réinfections”

C’est-à-dire des gens infectés au printemps… Et qui ont ensuite chopé le variant… !

Et donc, attention… au vaccin. Ce ne sera pas si simple avec ces histoires de variants (comme avec la grippe du reste).

La mortalité, c’est une évidence, est totalement différente, de la première épidémie. Comprendre : bien moins élevée.

Raoult rappelle son motto :

Il faut faire une prise en charge très précoce […] Il faut faire une mesure de la saturation en oxygène, chez tous les covid+ Et si trop basse, alors hospitalisation immédiate.

Et pas attendre à la maison avec du paracétamol, ce qui demeure le délire officiel (on entend encore ça chez certains médecins neuneus).

Car ça c’est le meilleur moyen pour les gens fragiles de finir en réanimation, et d’en crever.

Il remet une couche sur l’Ile-de-France, où la mortalité a été plus importante qu’ailleurs. C’est l’effet de la prise en charge.

Enfin, il y a une analyse plus approfondie des covidécès à Marseille.

Très intéressant.

Ca confirme : les gens qui décèdent du Covid… avaient une probabilité de mourir dans l’année très élevée (90 % des morts avaient un âge moyen de 82 ans, avec comorbidités).

Pour les pressés : https://youtu.be/XQBhtwDQHwQ?t=451

MISE A JOUR

L’IHU Marseille vient de mettre en ligne une vidéo consacrée à ces fameuses “réinfections“.

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=ZGcTHHFwvlw

 

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Un an après, l’origine du virus demeure… toujours inconnue

“Ah, now we’re getting somewhere ! “

Alors qu’on fait mumuse avec le couvre-feu, le confinement, les règles à la con, alors qu’on compte les terroristes musulmans et les coups de couteau, un peu, beaucoup, passionnément, alors qu’on bourre les urnes aux Etats-Unis… un truc fondamental nous échappe toujours

L’origine du couillonavirus, dit SARS-CoV-2.

Au début des esprits couillus, complotistes ont émis des hypothèses burnées conspirationnistes : création artificielle, “insertions génétiques” type HIV, etc.

La chape de plomb de la propagande a très rapidement recouvert toute forme de débat et a fait taire ces esprits très mal tournés.

Dans le Monde d’Après, un scientifique ne cherche pas, n’essaye pas toutes les hypothèses, ne veut pas savoir.

Non. Un scientifique tendance Lancet Canal Historique qui vit dans le Monde d’Après, ça supporte une idéologie. Ca assène sa vérité, et rien d’autre.

Surtout rien d’autre…

Verboten. C’est le pangolin, à la limite la chauve-souris, voire, “et mon cul c’est du poulet“.

Mais pas plus.

Toutefois, des scientifiques, des vrais (il en existe encore) continuent de se triturer les méninges… devant ce qu’il faut bien appeler un incroyable… mystère. Ils creusent.

Près d’un an après que l’on a identifié le coronavirus SARS-CoV-2, les chercheurs n’ont toujours pas déterminé comment il a pu se transmettre à l’espèce humaine. Le virologue Étienne Decroly fait le point sur les différentes hypothèses, dont celle de l’échappement accidentel d’un laboratoire.

Ce chercheur au CNRS donne une longue interview au journal du CNRS, complète et claire.

Cela a le mérite de replacer le débat dans son contexte et de remettre quelques horloges… à la bonne heure…

“Tant qu’on n’aura pas trouvé l’hôte intermédiaire, l’hypothèse d’un échappement accidentel ne pourra être écartée par la communauté scientifique.”

Non ? Vraiment ? Vous voulez dire que personne n’a encore scientifiquement pu infirmer l’hypothèse de l’erreur -accidentelle ou légèrement euh… délibérée- commise dans un laboratoire… chinois du coté de Wuhan ?

Ah ben mince alors. C’est fou.

😉

Il est temps de retourner au bourrage des urnes dans le Wisconsin.

On est vraiment mal barrés…

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A la recherche de la grippe perdue

Olivier Véran croit avoir trouvé le virus de la grippe, au fond d’une cave. “Bon sang, c’est quoi ? C’est la grippe ou pas ? Ou alors c’est le Covid ?”

Le couillonavirus a réussi au moins une chose (en plus de tuer des gens quasi déjà morts) : nous débarrasser de la grippe.

Si, si.

Ce fléau qui empoisonne l’humanité, de manière endémique, depuis… depuis la nuit des temps… A disparu.

Alors que ce virus tue chaque année entre 300 000 et 600 000 personnes (OMS), rend patraque un paquet de millions d’autres, et provoque même des flambées épidémiques graves, comme par exemple celle dite de “Hong-Kong” durant l’hiver 68/69.

Témoignage de l’époque (en France) :

On n’avait pas le temps de sortir les morts. On les entassait dans une salle au fond du service de réanimation. Et on les évacuait quand on pouvait, dans la journée, le soir. Les gens arrivaient en brancard, dans un état catastrophique. Ils mouraient d’hémorragie pulmonaire, les lèvres cyanosées, tout gris.

Et inutile d’évoquer la terrible grippe “espagnole” de 1918…

Donc cette année, dans l’hémisphère sud (durant notre été), l’OMS dit que la grippe a carrément disparu.

In Australia, just 14 positive flu cases were recorded in April, compared with 367 during the same month in 2019 – a 96 per cent drop.

By June, usually the peak of its flu season, there were none. In fact, Australia has not reported a positive case to the WHO since July.

In Chile, just 12 cases of flu were detected between April and October. There were nearly 7,000 during the same period in 2019. (DailyMail)

Et quid de l’Europe ? La saison vient juste de commencer… Et pourtant là aussi, on la cherche…

In the UK, our flu season is only just beginning. But since Covid-19 began spreading in March, just 767 cases have been reported to the WHO compared with nearly 7,000 from March to October last year.

Plusieurs théories s’affrontent.

D’abord celle des neuneus, pardon des scientifiques-fonctionnaires tendance Véran-Salomon canal historique. Pour eux, c’est simple, ils ont vu la lumière : “toutes les mesures anti-Covid, masque, confinement, l’interdiction de la vente des produits non essentiels dans les supermarchés, la fermeture des bars à 21h, la distanciation sociale, manger à table mais pas se lever pour aller payer au bar… ont fonctionné et empêché la progression de la grippe. CQFD”.

Sauf que dans le même temps, tout cet infâme bordelo qui ne repose sur aucune donnée scientifique sérieuse… ne fonctionne pas pour le couillonavirus puisque ce dernier flambe, nous dit-on.

C’est fâcheux.

Donc le masque bloquerait le virus de la grippe mais pas celui du Covid ? Ce serait ballot.

Un peu comme les enzymes dans la lessive : il y a ceux qui sont gloutons et ceux qui le sont un peu moins. Ou un peu plus.

Il y a une seconde hypothèse façon Rasoir d’Ockam : la grippe est toujours là, bien sage, fidèle au rendez-vous annuel… mais on ne veut pas la voir.

Car on la cherche avec des lunettes “Covid”.

Concrètement tous les états grippaux sont étiquetés par le système sanitaire… “Covid”. Car c’est ce que le système veut voir.

C’est la pure covidémence en action.

Marcel reviens ! Ils sont devenus covidéments.

A partir du moment où le système de santé publique de la cinquième puissance économique mondiale, dotée de l’arme nucléaire (et même équipée de l’Intraitable, redoutable arme expérimentale) est capable d’affirmer qu’un homme qui s’ouvre le crâne chez lui, en chutant… est “mort du Covid… tout est possible !

D’autres dans le monde sont capables de dire qu’un homme qui s’explose la gueule dans un accident de moto… est “mort du Covid “… Alors oui comme vous le voyez… tout est possible. 😉

La grippe est là. On a simplement jeté une couverture “Covid” dessus…

PS : à propos de la grippe, je signale cet article qui fait grincer les neurones : Covidécès : lien avec la mollesse des épidémies de grippe précédentes ?