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Enfants : les victimes

“Mon papa est un criminel. Et un triste connard”

Maintenant que l’opération “Terreur masquée” a passé la surmultipliée (port obligatoire dans les lieux fermés depuis lundi 20/07)… nous croisons dans la rue des enfants. Jeunes. Portant le masque.

A ce moment, je ne pense pas “Karen”, mais plutôt “victimes”.

Très tôt (février), les données statistiques venant de Chine ont montré que le couillonavirus ne s’attaquait pas aux enfants. Ensuite, toutes les autres séries de données dans TOUS LES PAYS ont pointé le même fait.

Les données sont IDENTIQUES dans TOUS LES PAYS : quand allez-vous cesser d’être de sombres crétins ?

Contrairement d’ailleurs à la grippe hivernale… les enfants échappent à la covidémence. Point barre.

Bien entendu c’est un fait inaudible pour l’appareil de propagande et l’armée des glands, les idiots utiles. Quelques timides tentatives ont été faites pour terroriser le cheptel avec le coup de la “maladie de Kawasaki”… Quelques dizaines de cas spinnés au UK, New York, France… Puis ça a fait pschit, bien entendu.

Malgré tout cela, nous avons détruit leur année scolaire. Nous les terrorisons. Nous faisons dans leurs petits crânes encore mou… des dégâts irréversibles (masques, “distanciation sociale” etc.)

Plus fort encore : une étude Pasteur publiée en juin montre que les enfants… ne contaminent pas à l’école. Et sont plutôt infectés… par leurs parents !

“Dans l’ensemble, les résultats de cette étude sont comparables à ceux d’autres études réalisées à l’étranger, qui laissent entendre que les enfants de 6 à11 ans s’infectent plutôt en milieu familial qu’à l’école. La principale information nouvelle apportée par cette étude est que les enfants infectés n’ont transmis le virus ni aux autres enfants, ni aux enseignants et ni aux autres personnels des établissements scolaires.”

Ca fait mal aux fesses, non ?

Mais attendez le cirque en septembre, lors de la rentrée scolaire… Je peux déjà vous annoncer que ça va etre dantesque.

Les parents Karen refuseront d’envoyer leurs mômes. Les profs branleurs refuseront de travailler : “droit de retrait”. Et patati et patata.

Sans oublier le si français : “pas assez de moyens ! ” 😉

Un point positif de la Covidémence : tout est tellement téléphoné. Elle s’appuie sans vergogne sur les bons vieux “biais” cognitifs, et les catégories.

Ainsi, même… un enfant pourrait prévoir la manière dont la catégorie “professeur” va se comporter face au virus.

Les mecs ont la pétoche, sont cons comme des enclumes, sont persuadés qu’ils vont être infectés (alors qu’ils sont jeunes, l’âge moyen des nouveaux enseignants est de 30 ans), et sont de toute façon pour la plupart gauchisants et donc covidéments (la corrélation est très forte).

Les enfants sont honteusement utilisés, fantasmatiquement, par la propagande (“mon enfant pourrait mourir ! “). Les effets sur le cheptel sont redoutables.

Sans égard pour les effets bien réels eux, sur la psyché de ces jeunes victimes.

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“Je m’appelle Karen…”

Je conduis ma voiture hybride avec les fenêtres fermées, mon flacon de gel hydro-coco-lique de chez Guerplain sur le siège avant, je suis bobo-neuneu, j’ai voté PS, puis les Verts puis Macron puis re Les Verts (ou roses je ne sais plus), mais surtout je mets mon masque quand je conduis, car en regardant BFM TV j’ai compris que je devais être terrifiée. Je suis conne comme une enclume.

Karen est jeune. Donc pas une cible pour le virus.

Grâce à une alimentation équilibrée elle a évité l’affreux cholestérol, l’odieux diabète.

Karen est strictement blanche. Elle pratique le yoga zen, ainsi que le sport en chambre avec son compagnon Kevin. Sans excès. Cachez votre déception… Karen n’est même pas bisexuelle ! Mais elle est #MeToo.

Enfin Karen n’a pas -encore- développé son petit cancer du sein. Bref, physiologiquement, elle pète le feu.

Elle est seule dans sa voiture. Les fenêtres sont fermées.

Son risque couillonaviral est donc égal à… zéro.

Et pourtant, elle porte son masque au volant.

Karen n’est pas une abstraction -hélas. On en voit à Paris et ailleurs.

Si physiquement Karen coche toutes les cases Insee de l’espérance de vie longue comme le membre de Kevin (faudra quand même surveiller le cancer qui se prépare) c’est bien entendu dans sa tête que ça cloche… Karen est atteinte de Covidémence.

Karen est malade.

Sous ses mèches de cheveux, c’est la “tempête de cytokines” permanente.

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Un peu d’histoire… la “grippe de Hong-Kong”

Durant l’hiver 1968/1969, la grippe de Hong-Kong frappe la France. Bilan : 31 000 morts

« On n’avait pas le temps de sortir les morts. On les entassait dans une salle au fond du service de réanimation. Et on les évacuait quand on pouvait, dans la journée, le soir. Les gens arrivaient en brancard, dans un état catastrophique. Ils mouraient d’hémorragie pulmonaire, les lèvres cyanosées, tout gris. Il y en avait de tous les âges, 20, 30, 40 ans et plus. Ça a duré dix à quinze jours, et puis ça s’est calmé. Et étrangement, on a oublié »

(chef du service d’infectiologie du centre hospitalo-universitaire de Nice, le professeur Dellamonica, alors externe à l’hôpital Édouard-Herriot de Lyon)

Et ?

Rien.

Alors qu’en 1968 le pays comptait 50,2 millions d’habitants…

Fast forward 50 ans plus tard, la Covidémence a fait 30 000 morts, confinement, masques, désastre économique, population traumatisée, alors que le pays totalise 67 millions de personnes.

Quelque chose ne tourne pas rond…

Problème : cette hystérie aussi collective que téléguidée a frappé de nombreux pays. En même temps. Et se poursuit à ce jour…

Article de la Voix du Nord