L’Italie a instauré le 6 décembre… le “super passe sanitaire“.
Le précédent, comme le français, fonctionnait soit avec la vaccination soit avec un test.
C’est fini.
Les non-vaccinés n’ont désormais plus aucune alternative : ils sont exclus pour de bon de la société (restaurants, bars, cinémas, théâtres, concerts, événements sportifs) (source France 24).
Le passe sanitaire “normal” (avec tests donc) -lui- a été étendu… aux transports publics (bus, métro, tramway) et… aux hôtels.
Et en cas de manquement, l’amende est de… 400 euros !
Et pourtant… l’Italie est un des pays les plus… dosés du monde (80 % de la population a reçu au moins 1 dose, et 15 % sont déjà à 3 doses).
Ce pays dirigé par des technocrates bruxellois non-élus (Mario Draghi, l’infâme banquier central) est dans la covidémence la plus abjecte, depuis le début de la crise.
Ce fut ainsi le premier pays européen à rendre la vaccination obligatoire (en avril, pour certaines catégories de population).
Les Italiens, comme dans les années 30, s’accomodent ainsi fort bien d’être dans la roue de l’Allemagne et de l’Autriche nazies.
Ces deux pays se dirigent vers la vaccination obligatoire, car c’est dans leur ADN. L’Italie, royaume de la combinazione, demeure dans l’hypocrisie la plus florentine.
Pas de vaccination “obligatoire“, légalement parlant (mais que signifie le “droit” de nos jours ?). Mais dans les faits, un apartheid total avec d’un côté les Aryens vaccinés et de l’autre les nègres les juifs les impurs.