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Singapour : la natalité dans les chaussettes

C’était couru… Devant l’enthousiasme populaire provoqué par le “slip sale”, il était naturel si j’ose dire d’embrayer sur les “chaussettes sales”. Mais je tiens à souligner que dans les deux cas -et en matière de natalité- on les a SUR les chevilles (les slips et les chaussettes).

Soit Singapour, l’île-état où l’on peut faire cuire un oeuf sur les pavés des trottoirs tellement c’est propre.

L’île-état où l’on flagelle les crétins qui se pensent artistes et font des graffitis, où l’on pend les trafiquants de drogue (y compris des femmes, eh oui les gars l’égalité c’est aussi cela), et où les femmes peuvent marcher seules dans la rue à 3h du matin sans devoir “changer de trottoir” selon l’expression désormais con-sacrée.

Et ce malgré un “vivre ensemble” sévèrement burné avec plusieurs communautés : boudhistes, chrétiens, musulmans, taoïstes, hindous…

Cerise sur le cake : ils sont riches.

Je sais c’est fou.

Bref : c’est la Suisse (la vraie) de l’Asie du Sud-Est.

Tout y est organisé, au cordeau. Cette excellence et cet ordre se reflètent dans… les données publiques.

Mais Singapour fut également -la perfection n’est pas de ce monde- l’élève zélé de la “vaccination” covidémentielle…

Les mecs ont les moyens… alors ils se sont précipités sur les pires produits (Pfizer/Moderna) quand les autres pays de la région faisait joujou avec des saletés comme Astra Zeneca, ou des placebos comme les “vaccins” chinois (Sinovac, Sinopharm)… les poisons ARNm ne perçant localement que plus tard.

Figurez-vous que… le phénomène constaté dans plusieurs pays occidentaux, c’est-à-dire la chute des naissances après les injections ARNm… se voit aussi à Singapour.

Enième mystère mystérieux !

Gageons que les Singapouriens se sentent aussi déprimés par Poutine et l’Ukraine que les gogos occidentaux…

Comment ?

Le CO2 ? Le climat ?

Oui aussi bien sûr. 😉

On résume : Guerre en Ukraine – > Poutine méchant – > CO2 horrible – > grosse déprime – > débandaison et sècheresse vaginale – > plouf chute des naissances.

Le fil conducteur s’impose. La science a parlé.

Les naissances au premier semestre 2023 ont donc chuté de 7,15 % par rapport au premier semestre 2022.

Source des données : https://www.ica.gov.sg/news-and-publications/statistics

Comme pour la France (lire mon article en slip ici), il convient de mettre en perspective ce pourcentage.

Car la natalité, ça monte et ça baisse

Naturellement.

Même si on sait de manière certaine comment faire les bébés (quoi que… chez nous des dégénérés affirment que des “hommes” peuvent enfanter)… les naissances ne sont pas une science exacte… dans le sens prévisible… 😉

Appliquons la même méthode : sur une vingtaine d’année, on calcule le pourcentage d’évolution des naissances d’une année sur l’autre.

Ca saute aux yeux…. 2022 affiche une baisse record… Puis paf, aucun effet rebond… le premier semestre 2023 sombre lui aussi. C’est anormal.

Pour la bonne bouche, je vous remets le graphique pour la France (source Insee, 100 % pur porc cocoricovid).

Là encore effet de base négatif sur 2022, suivi par un brutal décrochage (brutal dans le sens amplitude jamais vue sur 20 ans, hors des clous de la bande classique +3 et – 3 %).

POST-SCRIPTUM

Singapour fournit toute les données dans un seul fichier Excel.

C’est bien classé, complet, clair. Les bougres se payent même le luxe d’indiquer des chiffres par… groupe ethnique !

La race, vous savez ? Horreur, malheur, apoplexie, embolie, appelez la Licra, le Sgeg et la Pouf !

Bref.

La comparaison avec le travail des ronds de cuir de l’Insee n’est guère flatteuse…

L’Insee prend un malin plaisir à disséminer les données un peu partout, et à les présenter de manière parcellaire… bref fait tout pour cacher, biaiser, empêcher, ralentir la lecture, les analyses.

Tout pour emmerder le monde.

Nouvelle illustration du génie fraônçais, c’est-à-dire ce mélange délicat de foutage de gueule, de veulerie, de paresse et de constructivisme à la petite semaine.

Ceci est un fonctionnaire français en RTT se disant démographe, en train de recopier des chiffres qu’ils ne comprend pas. Le doute nous saisit : est-il suffisamment “vacciné” ? Et sera t-il en capacité de se… reproduire ? Allô ? Gabby ? Pourquoi tu tousses ?
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France : rien à faire, la natalité reste au fond des slips

Le slip de l’Occident est décidément très… sale. Et le vôtre ?

Les mois se suivent… et les fonctionnaires de l’Insee éprouvent des sueurs froides. De plus en plus.

Bientôt, ils seront à court de formules, de synonymes voire de litotes.

Egrenons les mois de l’annus horribilis 2023 à la mode des statisticiens au service de l’état :

  • Janvier – Un nombre particulièrement faible de naissances
  • Février – Un nombre de naissances toujours faible
  • Mars – Un nombre de naissances toujours très faible
  • Avril – Un nombre de naissances de nouveau très faible
  • Mai – La baisse du nombre de naissances se confirme

Roulement de tambours… voici la mise à jour pour le mois de juin… Et donc un bilan semestriel.

Les mecs ne prennent plus aucun risque :

Des naissances au cours du premier semestre 2023 en baisse de 7 % par rapport à 2022

On voit clairement le changement de style… 😉

Désormais, ils s’en tiennent à l’énoncé des chiffres.

Plus d’adjectif ni d’adverbe (faible, très faible, effondrement, inexplicable, stupéfiant, angoissant etc.)

On sent que les mecs ont les miches sur des pains de TNT…

Alors ? Que peut-on dire ?

La baisse -inexpliquée et importante- de la natalité en France se poursuit… et s’aggrave !

Elle s’installe… dans la durée.

Une chute de 6,75 % donc au premier semestre 2023, par rapport à la même période 2022.

24 164 bébés en moins…

En mai, sur cinq mois donc, nous étions à -6,7 % (et en avril : -6,44 %).

Alors même que la population des femmes en âge de procréer (15/44 ans)… ne baisse pas (voir à ce sujet les calculs de Felicittina).

Voici les détails (et les évolutions en %) par région (région d’enregistrement) :

Bref. Les clowns de l’Insee ne méritent que notre mépris (on n’a pas oublié leur comportement pendant la pseudo terrible pandémie).

Le problème de fond demeure.

Des baisses importantes et “inexpliquées” de la natalité se constatent dans plusieurs pays occidentaux en 2022 et/ou 2023.

Ce n’est pas propre et unique à la France. Facteur aggravant…

Qu’ont-ils en commun ? Ah pardon oui, j’avais oublié : la célébration LGBT++ (même en s’enfilant difficile de procréer) et la russophobie.

Pour le moment, on peut encore invoquer la sécheresse asymptomatique (vaginale, cela va de soi),  le réchauffement du climat, des esprits, Poutine, l’inflation, les dilatations anales de Burno Lemaire etc…

Sauf que les mois passent… et que plus personne (de sain d’esprit) ne se fait injecter des produits ARNm…

Alors ?

Cela signifie que les dégâts… provoqués par ces produits (Pfizer/Moderna) en 2021 et début 2022… pourraient être… PERMANENTS

Aïe…

C’est ça l’autre fait majeur… qui se devine dans cette succession de mois… avec toujours un constat identique : moins de bébés.

Au début, il était possible -logique même- d’invoquer des dégâts temporaires (du style je me fait piquouzer, pouf, soit je crève d’une myocardite 48h après, soit mes spermatozoïdes ou mes ovaires partent en week-end à la Baule…)

Mais… les mois passent.

On fera quoi si… l’on doit compter en années après ?

De plus, ce -6,75 % pèse en réalité… beaucoup plus lourd parmi la population d’hommes et de femmes qui tentent de faire un enfant.

Eh oui, ce ne sont pas forcément les mêmes individus qui essayent, chaque mois et qui n’y parviennent pas…

De plus, le cas de la France est particulier… avec une invasion migratoire continue et très soutenue.

De nombreuses femmes étrangères (Maghreb et Afrique noire) viennent accoucher en France… Et, faut-il le préciser… elles sont vierges de tout empoisonnement ARNm.

Ce qui explique selon moi le -5,4 % “seulement” enregistré en Ile-de-France…

Idem pour Mayotte (totalement submergée par les Comoriennes qui viennent accoucher et qui n’ont jamais vu de près ou de loin un pseudo “vaccin” anti-Covid… ni même d’ailleurs le début de la queue d’un virus Sars-Cov2… ).

Phénomène identique en Guyane. Et pour Martinique/Guadeloupe/La Réunion… rappelons la forte opposition locale aux poisons ARNm… énième hasard hasardifiant…

On peut donc commencer à sentir intuitivement que… la couille dans le potage est assez massive

Enfin, je remets mon graphique “juge de paix” qui permet aux collégiens, aux énarques, aux fonctionnaires de l’Insee, et plus largement à tous les débiles mentaux (je sais ça fait du monde)… de comprendre que NON, moins 6,75 %… CE N’EST ABSOLUMENT PAS NORMAL (d’autant que cette baisse intervient APRES une baisse en 2022 par rapport à 2021…)

On voit bien que sur les 20 dernières années… l’amplitude est max -3 % à +3 %.

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France, naissances : en mai ne fais pas ce qu’il te plaît

Voici un fonctionnaire de l’Insee qui calcule le taux d’inflation. Et qui compte les bébés.

Pour rigoler, voici les titres successifs pondus par l’Insee, pour ses mises à jour mensuelles des naissances en France cette année :

  • Janvier – Un nombre particulièrement faible de naissances
  • Février – Un nombre de naissances toujours faible
  • Mars – Un nombre de naissances toujours très faible
  • Avril – Un nombre de naissances de nouveau très faible

Eh les gars, c’est un peu répétitif, non ? Trouvez des synonymes ou des périphrases ! Faites nous rêver !

Quelques exemples :

  • silence on ne naît plus
  • quand le vaccin Covid remplace le préservatif et la pilule
  • ce qui est rentré, ne sortira pas. Plus jamais
  • une piqûre ARNm n’est pas une piqûre d’amour
  • spermatozoïdes vaccinés, sperme vicié

Les fonctionnaires bas de plafond de l’Insee n’apprécient pas notre humour. Tant pis.

Il faut dire que collabos n’est pas un travail facile.

Et depuis 2020, ils ont délibérément installé leurs pénates et leurs ordinateurs foireux (ceux qui calculent le taux d’inflation) rue Lauriston (ah la boulette, j’allais écrire “rue Fauciston“, pardon !)

Bref.

Alors ? C’est l’été, on a le sang chaud, la sève monte, où sont nos belles cigognes ?

Où sont les nouveaux-nés ? Les bébés ? Les p’tits Jésus Mohamed en culotte de velours-Nike ?

Hein ? Où ?

Dans ton cul !

L’Insee nous annonce ainsi pour le mois de mai :

Mai 2023 – La baisse du nombre de naissances se confirme

On appelle cela le comique -involontaire- de répétition…

Donc… c’est “confirmé” ? Vraiment ? Sans déconner ?

En cumul, sur la période allant de janvier à mai, on compte près de 20 000 naissances de moins en 2023 qu’en 2022 (soit une baisse de 6,7 %).

(en avril, nous étions à -6,44 %).

Au niveau des régions, la Nouvelle-Aquitaine continue sa grosse dépression (-9,68 %, contre -9,89 % en avril). Idem pour l’Occitanie avec -8,62 %. L’Ile-de-France, plus grosse maternité du pays, s’enfonce à -5 % (en avril, -3,77 %).

Zut.

On va continuer longtemps comme ça ? C’est quoi le projet ? Brûler la bougie par les deux bouts ?

On a déjà les vieux boomers qui ont le bon goût de passer l’arme à gauche (merci le… euh… le “Covid” et tous les autres miasmes de la Création, sans oublier le cancer de l’âme ainsi que la chiasse alsacienne).

Alors si en plus, le nombre des naissances chute, et continue de chuter… la France sera cuite.

Ah ? On me parle dans l’oreillette… Ce serait donc ça le projet ? Et on bouche les trous au milieu par… des docteurs en physique nucléaire importés d’Afrique et des mineurs non accompagnés âgés de 25 ans ?

Oui d’accord, là c’est cohérent. 😉

Redevenons sérieux une minute. Quelles sont donc les causes scientifiques de cette soudaine natalité déprimée ?

Les experts sont unanimes.

La… canicule.

Après tout dans “canicule” il y a bien le mot “cul” au féminin (ou version non binaire)… donc…

Ou alors… éventuellement… la sécheresse ?

Voilà !

Car c’est médicalement prouvé : la sécheresse vaginale, provoquée par le changement climatique… empêche la procréation !

Et toc !

Mesdames, vous connaissez désormais l’ennemi : le CO2, les strings trop serrés (et Poutine).

En prime, je suis de bonne humeur, je vous livre une idée marketing géniale : vendre un “vaccin ARNm pour faire des enfants“.

Vous le testerez vite-fait sur 3 souris et 2 vieillards (l’un au Brésil, le second en Afrique du sud), et paf, annonce à la presse “98 % d’efficacité“. Explosion du cours en bourse. Explosion de vos bourses. Fortune. Gloire. Reconnaissance. Votre rond-de-serviette chez Bill Gates.

La photo du scandale. Vladimir Poutine canarde nos cigognes pour nous empêcher d’avoir des bébés ! Le salopard ! Le fâchîsme ne passera pas ! Réagissez ! Faites vous vacciner bon sang ! Et soutenez l’Ukraine !
POST-SCRIPTUM

Je recopie ce graphique important qui permet de juger  cette baisse de 6,7 %. Car après tout… est-ce grave docteur ?

On voit bien que sur les 20 dernières années… l’amplitude est max -3 % à +3 %.

Donc -6,7 % (en 2023 par rapport à 2022)…. ce n’est pas normal.

A fortiori avec un effet de base très négatif (2022 était déjà en baisse prononcée par rapport à 2021).

Voilà pourquoi, il faudra trouver une explication un peu plus péchue que la “canicule“, le “pouvoir d’achat“, le “changement climatique” voire le méchant Poutine…

Les poisons ARNm qui foutent en l’air le système hormonal, qui saccagent les menstruations, qui peuvent s’attaquer aux ovules et aux spermatozoïdes… sont bien entendu la cause principale de cette chute (qui se constate au même moment dans de NOMBREUX AUTRES PAYS OCCIDENTAUX).

Il sera savoureux de voir jusqu’où les crapules oseront aller dans les délires orwéliens… pour tenter de trouver des explications. 😉

POST-SCRIPTUM

A la demande générale, j’ai modifié le graphique précédent, en ajoutant simplement 2023 et son fameux -6,7 % (5 mois) par rapport à 2022.

Sur 20 ans, c’est parlant, non ? 😉