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Chiffres Vaccinocide

Australie : l’efficacité vaccinale aux antipodes

Fonctionnaire australien qui cherche des données.

Soit l’Australie. Tête à la place des pieds, l’hiver en été, tous descendants de bagnards et de prostituées.

Je n’aime pas les Australiens.

Zoom aujourd’hui sur l’état de la Nouvelle-Galles du Sud (avec la ville de Sydney, capitale économique du pays).

Population de l’état : 8,11 millions, sur un total de 25,74 millions.

Son ministère de la Santé est assez neuneu pour publier des données hebdomadaires d’hospitalisations Covid et de morts du Covid… par statut vaccinal.

Oui je sais, c’est très bête. Et surtout très dangereux par les temps qui courent ! 😉

John Smith, fonctionnaire australien, amateur de boulettes.

Voici le rapport du ministère pour la semaine achevée le 5 novembre :

https://www.health.nsw.gov.au/Infectious/covid-19/Documents/weekly-covid-overview-20221105.pdf

Il y a donc eu 24 covimorts (sur une population de 8,11 millions de personnes…).

Horrible. Ils vont tous y passer… Mais heureusement pour eux, c’est bientôt l’été

Les fonctionnaires kangourous rappellent que :

Over 95 per cent of people aged 16 and over in NSW have received two doses of a COVID-19 vaccine, while more than 70 per cent of people eligible for their third dose have received it. With such high vaccination coverage in the community, a high proportion of people admitted to hospital or intensive care unit (ICU) with COVID-19 are now vaccinated with two or three doses.

Donc d’un côté les hostos de l’état débordent de… euh… “vaccinés“, mais de l’autre c’est NORMAL puisque 67997 % -au moins- des habitants sont vaccinés !

Logique. 😉

Commençons par le statut “vaccinal” de ces 24 covimorts hebdomadaires (page 4).

C’est clair, non ? 😉

Tous injectés, tous pas protégés et tous à la morgue ?

Mais non ! Puisque le monsieur vous dit que c’est “normal car 69977 % de la population sont vaccinés”.

Sauf que non.

Il suffit de croiser ces données avec les effectifs de chaque population pour voir la supercherie, pour constater l’effondrement de la belle histoire racontée depuis le lancement des produits ARNm…

Voici ce que cela donne quand on adapte les  indicateurs par 100 000 (population). Un mec a fait le boulot, sur PowerBI s’il vous plaît :

En proportions… les gogos australiens “VACCINES” ont donc davantage de risques :

  • d’être hospitalisés
  • y compris en soins critiques
  • et de passer l’arme à gauche

… que les terroristes d’extrême-droite poutinophiles et tueurs de vieillards qui sont “NON VACCINES”.

La tuile. 😉

Je vous rassure tout de suite : on constate le même phénomène PARTOUT, en tout cas dans les pays qui publient leurs données.

Simplement, les fonctionnaires corrompus font le pari que personne ne ramènera ces données… aux populations correspondantes afin de pouvoir comparer des bananes avec des poires.

Par ailleurs, certains pays comme la France, n’hésitent pas à carrément trafiquer leurs chiffres (voir le blog de Patrice Gibertie à ce sujet).

Mais voilà, je vous l’ai dit en introduction : les Australiens sont des crétins naïfs. Ils sont tellement covidéments, tellement persuadés que les produits ARNm les protègent de TOUT (même de la mauvaise météo)… qu’ils fournissent les données compromettantes sans rechigner. 😉

Dernière chose, voici les mêmes données (hospitalisations, soins critiques et covidécès pour la semaine du 5 novembre)… par 100 000 pour chaque groupe d’âge.

La conclusion est limpide : malgré 383 milliards doses de pseudo “vaccins”… RIEN N’A FONDAMENTALEMENT CHANGE.

Ce sont toujours les vieillards atteints de pathologies du moyen-âge (les fameuses “comorbidités” qui n’ont absolument rien de “co”)… qui se retrouvent à l’hosto, en réa’… et pour finir… dans la tombe.

Comme chaque année.

Covid ou pas Covid.

Vaccin ou pas vaccin.

C’est bête, hein ?

Eh oui, mourir (de tout ou n’importe quoi, d’une grippe, d’un rhume, le coeur en compote, le cerveau liquéfié) à plus de 80 balais…. c’est NORMAL.

On raconte qu’Olivier Variant a fait un stage de plongée sous-marine à Sydney. Ceci expliquant sans doute cela…
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Pays Vaccinocide

Australie : mystérieuse surmortalité en 2022

L’Australie est couillonaviralement un cas intéressant.

Car le terrible virus l’a soigneusement évitée en 2020 (il ne s’est rien passé cette année et même durant une partie de 2021, comme dans la plupart des pays asiatiques, un point fondamental qui fut toujours ignoré car ne rentrant pas dans le spectacle de la “pandémie“).

Pourtant, le pays est devenu totalement covidément, hystérique même, et a lancé fin février 2021 une campagne massive d’injection ARNm (pour se protéger d’une terrible pandémie… qui n’existait tout simplement pas).

Et puis… à l’instar des pays asiatiques (Thaïlande etc.), le couillonavirus… pouf… a débarqué peu de temps après.

Pas de bol… 😉

(graphique made in bibi, source base de données)

Il s’agit bien entendu… euh… d’une malencontreuse coïncidence

Forcément.

Fortuitement.

La campagne de “booster” a débuté -elle- fin décembre 2021, pour culminer en avril 2022.

Bilan : durant les 7 premiers mois de 2022, la mortalité toutes causes part en sucette…

Ce phénomène (en plus de la baisse de la natalité) se constate dans de nombreux pays (Etats-Unis, Pays-Bas, Chypre, Islande, Union Européenne etc.)

Et les scientifiques sans oublier les journalistes, les factmenteurs et bien sûr les gouvernements sont tous “déconcertés” (c’est le mot-clé utilisé dans les médias :  “baffled” en anglais). 😉

Et juillet est le mois le plus meurtrier (17 936 décès) (si on compare avec tous les autres mois, depuis 2015).

Voici un article qui fait le point, avec plusieurs indicateurs, en particulier par tranche d’âge (on voit que les injections tuent des vieux rapidement, alors que pour les jeunes, il y a un effet retard).

Lien : https://metatron.substack.com/p/dead-down-under

L’auteur met en graphique également les causes des décès : on voit ainsi une forte hausse des maladies du coeur, des pathologies cérébrovasculaires et des cancers

Bref, tout le who’s who lié aux produits ARNm, pardon aux formidables vaccins qui nous ont tous sauvés d’une mort certaine et atroce provoquée par le Covid.

Quant à moi, j’ai été à la source officielle des données (gouvernement australien), et je m’en tiens aux chiffres bruts.

Voici le total des décès (toutes causes confondues) durant les 7 premiers mois de chaque année, de 2015 à 2022.

Rappelons (est-ce nécessaire ?) que les Australiens ont la tête à l’envers et juillet… est le début de leur hiver…

On constate une hausse de 11,3 % des décès durant les 7 premiers mois de l’année 2022 par rapport à la même période 2021.

Ce pourcentage d’évolution est inédit (en tout cas depuis 2016).

Par ailleurs, on voit bien le phénomène de “moisson” (une année, la mortalité monte, ensuite elle baisse l’année suivante. Sauf 2022 qui apparaît comme une anomalie).

Voici les données brutes :

2015 = 90 106 décès toutes causes
2016 = 90 322
2017 = 93 260
2018 = 91 517
2019 = 95 356
2020 = 94 123
2021 = 98 392
2022 = 111 008

Avertissement : les chiffres 2022 sont encore “provisoires”. En clair : le nombre total sera encore plus élevé.

Et août sera sans doute encore plus mauvais, puisque c’est le coeur de l’hiver austral.

Alors bien sûr, on va nous expliquer que le responsable est le terrible virus !

Les Australiens auraient ainsi d’abord survécu à la souche génocidaire de Wuhan (qui foudroyait les gens dans la rues selon les vidéos fournies par les gentils Chinois début 2020, et qui a ravagé les pays occidentaux)… mais ensuite, la tuile, ils chopent en 2022 les versions d’Omicron… vous savez celles qui font éternuer…

Au point de les tuer…

C’est logique.

Alors même que le gouvernement australien a intérêt a grossir le nombre des morts du Covid (cette surdéclaration est visible partout depuis 2020… sauf en Chine bien entendu)… la surmortalité est supérieure au nombre officiel de décès dûs au virus…

On voit donc bien l’anomalie, et elle n’est pas liée uniquement au virus.

Il y a autre chose.

Mais quoi ? 😉

Enième mystère mystérieux…

Tous les mystères sont mystérieux. Surtout ceux liés aux produits ARNm. Forcément.
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Vaccinocide

Produits ARNm et turbo cancers ? Démonstration

“Comment ? ! Vous dites qu’une nouvelle technologie dont le risque cancérogène n’a jamais été évalué… pourrait finalement provoquer… des  cancers ? Mais c’est fou ! Vous me faites marcher ! C’est incompréhensible ! Je suis stupéfaite ! Et même baffled, en anglais !”

Un fait incontestable : les produits ARNm -nouvelle technologie jamais testée à grande échelle- n’ont fait l’objet d’aucune étude de risque cancérogène.

Et pour une raison évidente : cela nécessite du temps (bien loin des délires et de l’hubris consistant à dire qu’on a développé un “vaccin en quelques heures” sur un PC. Ah ? Vous ne saviez pas ? Il faut lire…).

PREUVE 1 : document officiel de la FDA (Etats-Unis) :

PREUVE 2 : document officiel ministère de la Santé (UK) :

La situation est donc limpide : depuis fin 2020, tous les discours du type “ces produits sont parfaitement sûrs“… relèvent du mantra.

Du slogan publicitaire.

Ou pour être plus précis : de la propagande.

Et les centaines de millions d’individus injectés sont -formellement- des cobayes.

(Remarquons, sur les documents officiels… qu’il en va de même concernant les risques… liés à la fertilité ! Et là encore incroyable coïncidence… la natalité chute dans de nombreux pays…).

Deuxième fait : depuis le début des injections, des anomalies cancéreuses… apparaissent bel et bien. Des praticiens courageux osent parler. Une pathologiste suédoise a ainsi forgé l’expression de “turbo cancers“, pour décrire ce qu’elle voit au quotidien (des malades très jeunes, des tumeurs qui se développent très rapidement).

Autre fait : la hausse des cancers du col de l’utérus par exemple… se voit  dans les statistiques hospitalières… françaises (mais oui !).

Voici une étude qui décrit un seul cas. Un homme de 66 ans.

Il souffre d’un cancer du sang, rare (AITL, Angioimmunoblastic T-cell lymphoma).

L’intérêt de cette étude est de démonter le lien quasi certain entre l’injection d’une dose de rappel (3ème dose) et le développement fulgurant de la maladie (l’inflammation des ganglions lymphatiques passant même du côté gauche, au côté droit… suivant le sens des injections ! ).

this is the first observation suggesting that administration of a SARS-CoV-2 vaccine might induce AITL progression. Several arguments support this possibility. First, the dramatic speed and magnitude of the progression manifested on two 18F-FDG PET-CT performed 22 days apart. Such a rapid evolution would be highly unexpected in the natural course in the disease.

Les auteurs prennent énormément de précautions, jusqu’au ridicule. Ainsi, selon eux, le patient souhaite une enquête mais il demeure convaincu que les “vaccins”… ont une balance risques-bénéfices favorable ! 😉

The patient is the corresponding author of this case report. He hopes that this report will incentivize investigations to clarify the possible impact of anti-SARS-CoV-2 mRNA vaccination on the course of AITL. He remains convinced that mRNA vaccines represent very efficient products with a favorable benefit-risk ratio.

On mesure le trollage… c’est comme si les chercheurs avaient eu un flingue contre la tempe. 😉

C’est hélas nécessaire pour espérer pouvoir publier de telles données et éviter les ciseaux numérique de la censure…

Autre point, statistiquement valide. Ils affirment que les systèmes de pharmacovigilance NE PEUVENT PAS détecter ce genre d’anomalies (car cette forme de cancer est très rare).

(rappelons en outre que les bases de données de type VAERS souffrent d’une sous-déclaration massive, ce qui factorise le problème statistique).

Enfin, ils osent dire qu’il faudrait revoir la stratégie vaccinale pour des patients avec de tels profils…

En clair arrêter.

On the longer term, the use of mRNA vaccines should clearly be avoided while other types of vaccines might be considered.