Le régulateur européen (EMA) vient de donner son aval à l’utilisation du vaccin antivariolique Imvanex (qui existe depuis 2009) de la société danoise Bavarian Nordic… contre la “variole du singe“.
Suivant en cela, évidemment, l’avis de la FDA aux Etats-Unis qui avait de l’avance puisque sa propre autorisation date… de septembre 2019 (lire ici).
The European Medicines Agency (EMA) had “adopted a positive opinion recommending that the marketing authorisation for the company’s smallpox vaccine, IMVANEX, is extended to include protecting people from monkeypox disease,” Bavarian said. […]
“The extension of the label will help to improve access to the vaccine throughout Europe and strengthen the future preparedness against monkeypox,” Bavarian CEO Paul Chaplin said in a statement.(source Reuters)
Voilà les mots-clés : autorisation de mise sur le marché, étiquette. 😉
Ces mots corporate pour le coup illustrent bien le réel… où la science est absente.
Car de science, il y a uniquement des données fournies par le fabricant à la FDA en 2019 qui “déduisent ” l’efficacité du vaccin antivariolique Imvanex contre… la variole du singe.
Donc cette fameuse efficacité n’est pas prouvée, n’a pas été testée sur… des hommes.
Pire encore, le virus qui circule depuis 2 mois et demi et qui fait paniquer tous les LGBT++… est DIFFERENT de la “variole du singe” de 2019 et qui avait le bon goût de rester en Afrique de l’Ouest.
Ce qui renforce encore l’incertitude concernant l’efficacité du produit.
Enfin, quid d’éventuels phénomènes de potentialisation ?
Nous sortons d’une terrible pandémie… des milliards d’individus ont reçu des produits géniques, absolument pas maîtrisés… et personne n’a pensé à évaluer les possibles interactions… avec le vaccin Imvanex ?
La conclusion est donc évidente : les tests cliniques se déroulent AUJOURD’HUI !
Avec le concours béat de milliers d’homos hystériques et victimes des médias qui font la queue pour recevoir ces 2 nouvelles injections après avoir un peu trop tiré sur… la queue.
Ils sont des cobayes.
Ni plus, ni moins.
Vous me direz certains l’aiment chaud et apprécient (d’être un cobaye).
La preuve, ils sont tous multi-injectés Pfizer/Moderna car s’ils ne meurent pas d’un bouton sur la queue, le Covid -lui- pourrait les tuer.
Forcément.
POST-SCRIPTUM
En réalité ce cirque à commencé…. dès 2013, avec l’autorisation en Europe de ce produit en tant que vaccin contre la variole. Il suffit de lire la notice par l’EMA (reconduite en 2018, document en français ici).
Imvanex has been authorised under ‘exceptional circumstances’. This is because it has not been possible to obtain complete information about Imvanex due to the rarity of the disease. (source)
Le fond :
Pour nos amis homos séropos et les autres immuno-déprimés :
Pour tous :
Et enfin la cerise sur le gâteau des covidéments multi-dosés Pfizer/Moderna enrichis aux enzymes gloutons et à l’ARN messager :
Bon appétit les gars ! Et bonnes injections à vous.
C’est admirable de donner ainsi son corps à… euh… vous savez… le truc là… comment ça s’appelle déjà… la “science” !
Les nouvelles venant des Etats-Unis (début de la vaccination contre la variole du singe, la polémique sur le faible nombre de doses… l’idée que le vaccin est nouveau) ont pu brouiller un peu les choses.
C’est à se demander d’ailleurs si ce n’était pas volontaire.
Il existe UN SEUL vaccin contre la variole du singe. Nom : Jynneos (aux Etats-Unis) ou Imvamune/Imvanex (Canada, Europe). Fabricant : Bavarian Nordic (société danoise).
Mais en réalité… ce n’est pas un nouveau produit… !
Il s’agit d’un vaccin développé en 2008… contre la VARIOLE (tout court) !
Et qui fut autorisé en Europe et au Canada en 2013.
C’est simplement en 2019… que la FDA américaine a EGALEMENT autorisé ce produit… contre la variole du singe.
Et il faut noter qu’en décembre 2018, la compagnie présentait encore son produit à la FDA, comme vaccin antivarolique. Seulement.
(le Danemark passa une commande dès 2011, le Canada en 2012, 2014, en 2016, les USA en 2010, 2013, 2014, 2015 et 2017, l’Angleterre en 2018).
(Autre ironie : à lire l’historique des communiqués de presse de la société… en réalité des MILLIONS de doses ont déjà été livrées, sur plusieurs années aux USA, Canada, pays européens, pays de l’Otan… des millions… On comprend la colère des LGBT++ qui ne voient arriver que quelques milliers de doses 😉 ).
(et voilà pourquoi les stocks sont “secret défense“, comme en France, car ce sont des produits… contre la variole, arme bactériologique qui occupe une place de choix dans l’esprit malade des milis bas de plafond. Ces stocks n’ont jamais été conçus pour des folles hystériques qui ont peur de mourir d’un bouton sur la queue).
Mais revenons à la FDA… Quelques mois plus tard… en 2019… miracle… le produit devient deux-en-un. En incluant la “variole du singe”.
Et pourquoi ?
Parce que.
Parce que ces virus appartiennent à la même famille. Et qu’on prétend que le vaccin contre la variole protégerait à… “85 %” contre la variole du singe. CQFD.
Encore un nombre magique qui ne veut absolument rien dire (j’ai 85 % moins de chance de choper la variole du singe… ou j’ai 85 % moins de boutons ?)
En réalité, c’est bien pire, cette “efficacité ” a été… “déduite” !!!!
Si, si, façon doigt mouillé dans le cul du singe.
The effectiveness of Jynneos for the prevention of monkeypox disease is inferred from the antibody responses in the smallpox clinical study participants and from studies in non-human primates that showed protection of animals vaccinated with Jynneos who were exposed to the monkeypox virus. (source FDA, septembre 2019)
C’est totalement grotesque.
Je vous invite à lire la page du régulateur européen dédiée à l’Imvanex (le nom commercial du produit de Bavarian Nordic utilisé en Europe).
Imvanex has been authorised under ‘exceptional circumstances’. This is because it has not been possible to obtain complete information about Imvanex due to the rarity of the disease.
Eh oui, développer un vaccin contre une maladie qui… n’existe plus depuis des décennies, ce n’est pas simple ! 😉
Mais rien n’est impossible pour la “science”, la vraie, il suffit de déclarer que les “circonstances sont exceptionnelles“, de ne pas recevoir les “informations” (qui n’existent pas vous l’aurez compris) et le tour est joué !
Considérant que le vaccin vivant atténué non réplicatif antivariolique (virus vivant modifié de la vaccine Ankara) dispose d’une autorisation de mise sur le marché aux Etats-Unis d’Amérique pour l’immunisation active contre la variole du singe depuis 2021 sous le nom commercial JYNNEOS
Si la FDA l’a dit, c’est que c’est vrai… Donc pour les autorités françaises (en réalité tous les pays occidentaux)… ça suffit.
Aucune de ces agences et institutions n’a fait de tests… On accepte simplement comme argent comptant les conclusions d’une agence étrangère qui elle-même se base sur les conclusions… du fabricant.
Cela ne vous rappelle rien comme schéma ? 😉
Autre problème : la “variole du singe” qui se répand dans 60 pays depuis le mois de mai cette année… est-elle identique à la version africaine qui existait en 2019, lorsque la FDA donna son autorisation pour le deux-en-un… ?
La réponse est évidente : non, ce n’est pas le même virus… !
Son génome est différent (50 mutations par rapport à la souche classique ouest-africaine).
Son comportement est différent (plus de 10 000 cas en 2 mois dans 60 pays qui n’ont jamais eu de cas de variole du singe auparavant… si on n’appelle pas ça une différence… !)
Et son tableau clinique est différent (transmission sexuelle, via sodomie principalement, des boutons sur pénis et anus, parfois pas de douleurs, aucun décès alors que les souches africaines font en 3 et 10 % de morts etc.).
Comment le Covipox se comportera face à ce vaccin ?
Personne n’en a la MOINDRE IDEE !
Mais ce n’est pas grave, encore une fois la “science”, la vraie, impose d’y aller. Et vite.
Huit milliards d’hommes gays sur cette planète risquent de mourir (ah ? Vous ne saviez pas que toute la population était masculine et homosexuelle ? Faut vous mettre à jour mes chéris).
Dernier problème : cette nouvelle campagne… intervient juste après les campagnes massives d’injections des produits ARNm contre le couillonavirus.
Là encore… quelqu’un a t-il fait des tests ? Quelqu’un a t-il vérifié ? Bien sûr que non.
On sort à peine, nous dit-on, d’une terrible pandémie virale qui a ravagé le monde depuis 2 ans et demi… et personne ne s’interroge ? Personne ne fait de lien ? Personne n’a le moindre doute ?
Non. La “science”, la vraie, elle ne doute pas.
Jamais.
Personne même n’a l’idée de demander aux covipoxés… s’ils ont déjà chopé le Covid !
On leur demande leurs habitudes sexuelles, le nombre de leurs partenaires… mais pas une éventuelle infection au Covid, ni leur statut vaccinal.
Suprême ironie…
C’EST L’HEURE DE LA SYNTHESE
-Prenons Roger, grand fou de 30 ans. Il, pardon iel, habite Paris et porte la moustache. Forcément.
-Roger est séropositif. Il suit donc un traitement médicamenteux permanent.
-Il a contracté plusieurs MST dans les 12 derniers mois (dont la syphilis), car Roger pratique la turbine à chocolat à fond les steacks. Là aussi, Roger en a bouffé des cachets (et pas du MDMA, bande de coquins !).
-Roger est immunodéprimé (tu m’étonnes Elton).
-Roger a pris ses 4 doses réglementaires de produit Pfizer en 2021 et début 2022, car le Covid allait le tuer. Forcément.
-Roger cet été va donc prendre en plus 2 doses d’un vaccin… contre la variole (maladie qui n’existe plus, et un produit dont on a extrapolé l’efficacité vis-à-vis de la variole du singe qui est différente du virus qui se répand aujourd’hui, dans un processus totalement non scientifique)
-Et enfin, Roger, à l’automne, va recevoir une 5ème dose, cette fois de la version 2.0 du produit de Pfizer (eh oui en 2 ans et demi… les couillonavirus ont beaucoup changé et ce serait vraiment trop bête de ne pas mourir du Covid après être non décédé de la variole du singe).
En moins de 2 ans… Roger aura donc reçu au total 7 injections…
d’un nouveau produit génétique aux effets long terme totalement inconnus
d’un produit conçu à l’origine pour une autre maladie… qui a disparu. 😉
Et le pire, c’est que Roger tout à son obsession de casser des culs au club Le Bamboula à Paris 3ème, chaque week-end, ne se pose pas une seule question, n’hésite pas une seule seconde…
Roger a confiance.
Roger a un désir de mort.
Forcément. 😉
POST-SCRIPTUM
La géopolitique va bien sûr s’inviter dans le débat… pardon le virus… puisque tout est géopolitique.
Ainsi, la Chine, la Russie n’ont bien entendu pas commandé, ni reçu le produit de Bavarian Nordic.
Comment vont-ils réagir si le Covipox se répand chez eux ?
Vont-ils utiliser leurs stocks de vaccins antivarioliques classiques ? Ou rien du tout ?
Ce point devra être scruté avec la plus grande attention… Car le schéma du Covid pourrait se reproduire : l’Occident s’injectant un produit nouveau… Alors que le bloc Chine+Russie optant pour des technologies éprouvées, plus traditionnelles (voire pourquoi pas un simple placebo).
Le Covipox, plus que jamais, apparaît comme un nouvel épisode de la guerre mondiale que nous subissons depuis 2020, après le Covid.
Et absolument pas un événement survenant “par hasard”.
Vous le savez, Pfizer et Moderna ont développé des version 2.0 de leur poison respectif.
L’idée est simple : la version 1, conçue à partir du couillonavirus de Wuhan… n’a PLUS AUCUNE EFFICACITE 2 ans et demi après car le virus en a fait du chemin depuis…
Ca en devient même grotesque.
Et on se souvient que ces grandes sociétés faisaient leur cacos à l’époque en affirmant qu’elles pourraient “mettre à jour” leur concoction en quelques heures (sachant que la première avait été conçue… en “un week-end“, ah ? Vous ne saviez pas ?).
Alors pourquoi cela a pris… si longtemps ?
Bref. Donc la version 2. Elle sera commercialisée à l’automne. Des dizaines de millions de doses seront livrées.
Mais ce que vous ne savez pas c’est que ce nouveau produit… n’est pas vraiment nouveau. 😉
Du moins aux yeux -compréhensifs et doux- des régulateurs…
En clair : les régulateurs ne demandent… RIEN. Aucune étude clinique particulière, liée à ce nouveau produit qui n’est… pas si nouveau.
U.S. health regulators will not require companies to submit new clinical trial data on COVID-19 vaccines that target the now dominant BA.4 and BA.5 Omicron subvariants to authorize those shots, but will instead rely on studies showing the efficacy of targeting the earlier BA.1 subvariant, a top official said on Thursday. (source Reuters)
C’est magique.
Le variant BA1 identifié en novembre 2021 (Omicron)… N’EXISTE PLUS… mais c’est pas grave. La FDA considère en gros que le travail a déjà été fait. Et que c’est valable pour tous les nouveaux variants présents… et futurs. 😉
Nous inaugurons ainsi l’ère de l’autorisation… perpétuelle.
C’est énorme, ça va à l’encontre du bon sens, de la science, des bonnes pratiques, mais dans le monde d’après, ça passe comme une lettre à la poste.
La FDA enfonce le clou :
“It’s very similar to what we do with influenza strain changes where there will be a couple of amino acids difference, but we don’t expect any difference in the safety that we’re going to see,” Marks said.
Ah la bonne vieille comparaison… bien, bien foireuse avec le vaccin contre la grippe (qui est un vaccin classique -lui- donc avec des risques parfaitement identifiés).
Et puis quoi ! Vous n’allez tout de même pas nous chier une pendule pour quelques différences d'”amino-acides“, hein ? ! En plus dans des produits qui vous transforment en légume OGM.
On reformule : dès le mois de septembre dans l’hémisphère nord, sous la pression des gouvernements corrompus et des premiers frimas, des dizaines de millions de gogos vont se faire injecter un produit… qui N’AURA PAS ETE TESTE.
Les tests de la version 1 avaient déjà été bidonnés et bâclés… Là, on franchit un cap… plus aucun test. Plus aucune étude. Même plus besoin de faire semblant.