Categories
Saloperie et sida mental Vaccinocircus

3ème dose : Pfizer va demander l’autorisation

Le plan se déroule comme prévu.

Pfizer/BioNTech prévoit de demander “dans les semaines qui viennent” à l’Agence européenne des médicaments et à son équivalent américain, l’autorisation d’utiliser un rappel supplémentaire de son vaccin contre le Covid-19 le mois prochain. (source L’Indépendant)

On sait déjà que l’efficacité du produit de Pfizer n’est absolument pas de 95 % comme claironné dans les communiqués de presse. Selon les données israéliennes, elle ne serait plus que de 64 %.

Peu importe. L’essentiel est qu’ils utilisent le “Fog of war” créé par le fameux variant, pour appliquer le plan : la troisième dose (qui en réalité avait été prévue BIEN AVANT le cirque indien).

Voici les preuves :

  • Pfizer : “3ème dose probablement nécessaire” (16 avril 2021)
  • (et encore plus fort) Pfizer et Moderna travaillent sur un “booster” (27 janvier 2021 !)

Le mensonge est donc éhonté, mais pas fortuit. Toutes les pièces du puzzle s’assemblent parfaitement.

Ce mensonge sert la narration.

En gros : “bou le méchant variant indien est trop horrible, trop contagieux, DONC une troisième dose est nécessaire. Sorry. C’est pas de notre faute, signez ici”.

La décision prise par Pfizer se fonde sur des données montrant un risque plus grand d’être à nouveau infecté six mois après la vaccination, notamment face au variant Delta, hautement contagieux, selon Mikael Dolsten.”Même si la protection contre les cas graves de la maladie reste haute durant six mois, un déclin dans son efficacité contre les cas symptomatiques au cours du temps et de l’émergence de variants est attendu, explique le communiqué. C’est pourquoi nous avons dit, et nous continuons à croire qu’il est probable, en se fondant sur la totalité des données que nous avons à l’heure actuelle, qu’une troisième dose pourrait être nécessaire entre six et douze mois après la vaccination“, a déclaré Pfizer/BioNTech dans un communiqué.

Emballé pesé ! Du bel ouvrage. Le foutage de gueule est incandescent.

Une pensée émue à tous les gogos… préparez vos veines.

Categories
Vaccinocircus

Cerveau de la jeune italienne astrazénéquée : “je n’ai jamais rien vu de tel”

Vous vous souvenez de la jeune italienne, 18 ans, qui est décédée en juin d’une thrombose après avoir reçu le produit d’AstraZeneca (lire ici) ?

Le chirurgien qui l’a opérée témoigne (version anglaise, ici)

“I had never seen a brain that was affected by such an extensive and severe thrombosis.”

La famille affirme qu’elle ne souffrait d’aucun problème de santé.

Rappelons qu’en Italie, à l’instar de nombreux pays, le produit d’AstraZeneca est réservé aux personnes de plus de 60 ans, en raison des problèmes de thromboses chez les jeunes.

Le chirurgien enfonce le clou :

“I’m neither a virologist, nor an epidemiologist, nor a coroner, but given the image I saw in the girl’s head, it is clear that we are dealing with something that is not normal.

Si vos propres enfants veulent se faire vacciner contre une maladie bénigne pour eux… souvenez-vous de ce cas.

Et visualisez la fameuse balance “risques/bénéfices”…

Categories
Saloperie et sida mental Vaccinocircus

C’est l’heure des fichiers pour traquer les non-vaccinés

“Allô la Cnil ? Où êtes-vous ? Au fond ?”

La Cnil est fidèle à elle-même : un organisme qui coupe les cheveux en 18 lorsque les sujets sont dérisoires (le cookie sur une page web qui permet d’afficher une pub pour un sex toy ou une mousse à raser), et qui se défile, et se prosterne devant l’exécutif lorsque les sujets sont importants (la création de fichiers nominatifs).

Dernière preuve, et éclatante :

La Cnil valide l’envoi aux médecins traitants de la liste de leurs patients non vaccinés (source le Figaro)

C’est gravissime. Mais comme d’habitude avec tous ces pseudo contre-pouvoirs, ça passe comme une lettre à la poste, avec un sourire niais et béat.

Dans le détail, le projet de décret du gouvernement permettrait à la Cnam d’éditer «la liste des patients non vaccinés correspondant à un médecin traitant, afin que celui-ci puisse les contacter. La CNAM serait de même autorisée à utiliser le fichier “Vaccin COVID” pour contacter les personnes non vaccinées», détaille la commission.

Il faut bien comprendre ce que cela signifie : ils vont donc créer un fichier nominatif répertoriant les citoyens mal-pensants, c’est-à-dire n’ayant pas encore reçu l’ostie couillonavirale.

Pour mieux les traquer, en utilisant les médecins (avant d’envoyer la milice, le GIGN, un contrôle fiscal, etc.).

A l’époque, avant de rafler les juifs, il avait fallu aussi créer des listes nominatives… C’est toujours la première étape avant de commettre les pires saloperies.

La Cnil sue du cul devant une telle forfaiture, bien entendu, alors elle entame la danse du ventre pour s’excuser.

Dans un avis publié mercredi, la commission rappelle d’emblée qu’elle est «en principe défavorable à une telle pratique». Néanmoins, la situation sanitaire exceptionnelle peut justifier une telle dérogation.

Ah les “principes” ! Mais vous comprenez ma bonne dame, la situation toujours “exceptionnelle” justifie toutes les saloperies, tous les renoncements.

Une petite dérogation de rien du tout…