Mieux vaut tard que jamais. Alors que les infos remontent depuis des mois, l’OMS vient à Canossa.
Il existe un lien «probable» entre des cas d’inflammation au niveau du cœur et l’injection de vaccins contre le Covid à ARN messager, a déclaré vendredi 9 juillet l’OMS, confirmant l’expertise américaine. (source Le Figaro)
Rappelons que ces problèmes cardiaques surviennent plutôt chez les jeunes.
Cette admission est une bonne nouvelle.
La mauvaise à présent. Les mêmes experts affirment :
“les avantages des vaccins à ARN messager l’emportent sur les risques en réduisant les hospitalisations et les décès dus aux infections au Covid-19”
Le foutage de gueule est évident car ces problèmes cardiaques affectent les personnes jeunes… Or celles ci -sans problème de santé de fond- ne sont pas sensibles au couillonavirus, malgré toutes les tentatives des covidéments pour faire croire ce bobard.
Ergo, la fameuse “balance risques/bénéfices” est clairement défavorable.
Même si ces problèmes cardiaques demeurent rares, il est aberrant de courir un tel risque… quand le risque Covid pour soi est nul.
Répétons le Réel : si vous êtes jeune et en bonne santé, il n’y a aucun intérêt médical à se faire vacciner contre un virus bénin pour vous.
Quant aux arguments du type “meuh si, prout, comme ça je pourrai voyager“, si vous en êtes là… alors il vaut mieux laisser faire le grand Darwin… 😉
Bref, rien de neuf. A part cette admission officielle de la part du fer de lance de la covidémence dans le monde.
Ce n’est pas anodin, car de très nombreux pays s’en remettent à l’OMS pour tout… D’où la guerre mondiale par exemple contre les traitements du type HCQ, ivermectine, AZM etc.
Enfin n’oublions pas que nous sommes toujours dans le court terme. Les vaccinations ont débuté il y a 6 mois… A peine.
A présent, on va pouvoir compter les points sur… le long terme, par définition totalement inconnu, si l’on met de côté les certitudes des covidéments neuneus, tels Olivier Variant ou Karine Labombe, pour qui les vaccins sont parfaitement sûrs et représentent l’alpha et l’omega couillonaviral.
Dans 10 ans, nous serons fixés.
En attendant, une pensée émue à tous les gogos (hors groupes à risques) qui ont accepté l’ostie couillonavirale…
Dernière petite chose : une myocardite ce n’est pas anodin… Le muscle cardiaque ne se régénère pas… Si les produits couillonavirants l’abîment… c’est pour la vie. Ou plutôt pour la mort…
Voilà pourquoi l’OMS, grande princesse, ajoute l’air penaud :
«Un suivi est en cours pour déterminer les effets sur le long terme»
Le long terme… on y revient toujours.