Non pas lui. L’autre.
Le premier homme a être officiellement vacciné contre le couillonavirus avec le produit de Pfizer (le premier homme était une femme… Margaret âgée de 90 ans… quelques heures auparavant… vous suivez ?) est mort (source DailyMail).
Il était donc devenu célèbre le 8 décembre 2020, en recevant son injection-injonction devant les caméras.
Il avait 81 ans, et il était facile déjà de juger du vice, de l’obscénité d’une telle “vaccination”, rien qu’en observant la photo…
J’avais légendé la photo : “To be or not to be… that is the vaccine !” Visiblement William Shakespeare n’en a plus rien à foutre…
Et j’avais même osé écrire :
En voyant sa tête… on peut affirmer avec certitude qu’il ne profitera pas longtemps de sa formidable “thérapie génique” signée Pfizer…
Six mois après, ça n’a pas loupé, William est donc mort. Non, non pas du Covid (ça c’était avant !). Alors mort du vaccin ? Vous n’y pensez pas.
Cet homme de 81 ans est mort tout simplement, épuisé par des pathologies lourdes et le grand âge.
Il est mort d’une “illness unrelated to the virus“… Forcément.
Quelle incroyable surprise ! Cette nouvelle stupéfiante va détruire le confort mental des covidéments.
Cela nous rappelle simplement que mourir à 81 ans, malade, au stade terminal… c’est normal.
C’est inévitable.
Produit génique de Pifzer ou pas. Vaccin couillonaviral ou pas. Campagne promotionnelle ou pas.
POST-SCRIPTUM
Si l’on parle d’obscénité, alors il faut pointer celle des Français.
Eh oui. Car ils ont réussi à faire encore mieux. Encore plus fort.
Ils ont vacciné un homme de… 108 ans fin janvier.
Qui est décédé… quelques jours après (mon article ici).
Il s’appelait Camille Lehoux.
Honte à sa famille.
Honte aux pseudo médecins qui ont fait cela.
Honte aux pseudo journalistes qui ont répercuté l’annonce de cette vaccination comme si la France avait remporté la coupe du monde de fouteboule.
Honte à tous.