Le Québec n’en finit plus de s’enfermer dans le délire covidiste… Le passeport vaccinal pour les magasin vient d’entrer en vigueur.
Il concerne :
… les commerces dont la superficie est supérieure à 1500 mètres carrés, à l’exception des épiceries et des pharmacies, qui offrent des services jugés essentiels.
Mais rien ne peut être simple chez les Québécois, suce ma graine, tabernacle !
Aussi… il était nécessaire de préciser les détails de l’exception des pharmacies situées dans les grandes surfaces…
Et là, ça devient grandiose (source Radio Canada).
Extrait du décret :
une personne qui n’est pas adéquatement protégée contre la COVID-19 qui accède à une pharmacie située dans un commerce de vente en accède à une pharmacie située dans un commerce de vente en gros […] soit accompagnée en tout temps lors de ses déplacements par un employé de ce commerce, de cette pharmacie […] et qu’elle ne puisse y acheter d’autres produits que ceux liés au service pharmaceutique qu’elle reçoit.
Admirons au passage le lien illogique “vaccin = adéquatement protégé contre le Covid “. C’est du niveau de notre Conseil Constitutionnel…
Donc un employé de la pharmacie devra physiquement SUIVRE le pestiféré, pardon le militant d’extrême-droite, pardon le Juif, pardon le Noir, pardon le non-vacciné… pour vérifier qu’il n’achète pas autre chose que des médicaments… !
Exemple : du chewing gum.
Et les préservatifs sont-ils des produits essentiels ? Et quid du gel lubrifiant ? Après tout, on peut le remplacer par de l’huile de vidange, de l’huile d’olive vierge tout ça quoi. Ca sert aussi à cuisiner…
Il va falloir sans doute publier un autre décret…
Bref, la folie dictatoriale est bien là, fière, dans les détails “administratifs ” de toutes ces lois d’exception à la con.
Les Français avaient frappé un grand coup avec les auto attestations pour aller faire pisser son chien dehors, ainsi que le “assis/debout ” et les “sandwiches” dans les trains…
Aujourd’hui, les Québécois nous atomisent sur place.
Il y a toujours cette volonté des cousins descendus des Alpes de surpasser les Français en raison de leur vieux sentiment d’infériorité.
Et après tout, quand on parle leur patois de merde, il est légitime de se sentir inférieur, au niveau d’une déjection canine fraîchement déposée sur un trottoir.