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Asie Pays

Après la kremlinologie, la pékinologie

“Vous voyez mon doigt ? Bientôt vous ne le verrez même plus… Mais vous continuerez à le ressentir… dans votre fondement !”

A la grande époque, durant la guerre froide, l’URSS était une boîte noire.

Des légions d’analystes occidentaux guettaient alors le moindre signe, le moindre rond de fumée provenant du Kremlin, à Moscou… D’où cette discipline baptisée la kremlinologie.

Dictature paranoïaque, goût du secret… les Soviets étaient à fond.

La Chine… ce n’est pas un hasard… au moment où elle lance la seconde guerre froide (contre l’Occident, avec le couillonavirus entre autres)… se blinde et adopte le principe soviétique de la boîte noire.

J’ai toujours trouvé étonnant par exemple que Pékin donne ses stats de consommation de charbon (en hausse !) alors que le monde entier nous fait chier avec le réchauffement climatique et la chasse au CO2, et donc au charbon, exposant ainsi la duplicité et l’hypocrisie des dirigeants chinois.

Malgré cela, la psychotique manipulée Greta n’a jamais critiqué ni même simplement évoqué la pollution ahurissante générée par la Chine, énième preuve que toute cette affaire n’est qu’idéologique.

Bref.

Cette époque de relative ouverture touche à sa fin. La Chine vient en effet d’adopter une nouvelle loi… empêchant la communication de données statistiques et financières au monde extérieur.

A new data-security law has made it harder for foreign companies and investors to get information, including about supplies and financial statements.

Several providers of ship locations in Chinese waters stopped sharing information outside the country, making it hard to understand port activity there.

Chinese authorities have restricted information on coal use, purged documents related to political dissent cases from an official judicial database, and shut down academic exchanges with other countries. (source article du Wall Street Journal repris dans le Bangkok Post)

Un exemple (l’article est long mais passionnant) :

Fenwei Digital Information Technology, which runs SXcoal.com, with data about China’s coal industry, issued a notice that it would stop sharing some pricing data last December to “avoid misjudgment of price trend by market participants.”

Ce mouvement est tout à fait significatif. Cela intervient sous l’imperium de Xi Jinping qui poursuit son travail inlassablement, et en pleine covidémence, c’est-à-dire une psyop chinoise agressive menée contre tout l’Occident, et d’autres pays.

L’Empire du Milieu était déjà difficilement déchiffrable pour les petits blancs crétins qui se prennent pour les maîtres du monde (les hommes de Davos, Bill Gates, Schwab et tous leurs complices et affidés)…

Il devient à présent totalement opaque… pour mieux être agressif à l’extérieur.

Car l’information est une arme.

Une arme redoutable.

Et pendant ce temps, les gentils blancs neuneus discutent de la transophobie, du sexe des anges (ils sont nombreux, les sexes et les anges ! ), du “Build Back Better“, sont obsédés par les “migrants“, sans oublier la 3ème dose de produits toxiques contre un virus bénin pour l’écrasante majorité de leur population.

Poser la question -crue- c’est déjà y répondre : qui va gagner à la fin ?

Qui ?

Qui ?

Mais qui ? 😉

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Chiffres Saloperie et sida mental

Royaume-Uni : 25 % des covihospitalisations sont bidonnées

Le Covid et les chiffres ? On sombre dans le burlesque benny-hillesque.

Rétrospectivement, le nombre d’articles que j’ai écrit sur le sujet… C’est fou :

-France : il tombe dans l’escalier, chez lui… mort du Covid

-USA : mort par balles… mort du Covid

-USA : il s’explose la gueule en moto… mort du Covid

-Angleterre : l’ouvrier tombe d’un échaffaudage… mort du Covid

Bref, c’est partout la même histoire : le nombre des morts “du” Covid est grossièrement surévalué.

Pour une raison fondamentale : une terrible pandémie qui ne tuerait pas ne ferait pas peur.

La peur est le moteur principale de la covidémence en tant que psyop.

Rappelons qu’Outre-Manche la règle du comptage morbide est à la fois très simple et totalement extravagante : un Covimort c’est une personne qui décède (quelle que soit la cause)… avec un test PCR positif dans les 28 jours précédant son décès !

On se souvient également avec émotion de la méthode belge… Ces glands poussaient la frite et le foutage de gueule à un niveau inégalé… Leur règle était : un simple “soupçon” suffisait à étiqueter un décès en “mort du Covid”. Et de plus ils en étaient très fiers… Voilà pourquoi ils se retrouvèrent en 2020 avec le nombre de covimorts par million le plus élévé de la galaxie…

Vous n’y croyez pas ? Le Parisien en parlait ouvertement en avril 2020.

La même arnaque est bien entendu appliquée… aux nombres des covihospitalisations.

Car là encore, que deviendrait une terrible pandémie si… les malades n’encombraient pas les hostos ?

Tu vas à l’hôpital car tu t’es cassé la jambe ? Plus 1 dans le bilan quotidien des hospitalisations Covid ! Idem si on te conduit aux urgences car tu t’es explosé la gueule en voiture…

Les Anglais l’avouent aujourd’hui (2 ans après le début du crime ! ) :

NHS is urged to STOP counting thousands of Covid ‘patients’ who are actually being treated for other illnesses: Data shows a QUARTER of infected Brits in hospital were admitted for different conditions such as road accidents (source DailyMail)

😉

Cas, hospitalisations (et parmi elles… les réanimations, une spécialité française), décès… tous les indicateurs sont ainsi systématiquement surévalués.

Dans tous les pays.

Rappelons que la Cour des Comptes en France dénonce le système informatique pour compter les malades qui date… des attentats de novembre 2015 (ce n’est pas un gag, lire ici).

Début 2020, dans l’urgence de la “guerre” on pouvait -à la limite- comprendre un tel bordello statistique..

Deux ans après… cette excuse ne tient évidemment plus.

Il s’agit d’une politique délibérée.

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Saloperie et sida mental

Obscénité : “à 112 ans il est mort du Covid”

Plus fort que Toutankhamon ! Marcel est mort à 893 ans ! Mais le Covid a fini par le tuer. Forcément. A un moment, faut arrêter de déconner.

Marcel Meys, doyen des Français, est décédé du Covid

Cet habitant de Saint-Romain-en-Gal était devenu l’homme le plus âgé de France en octobre dernier. Il s’est éteint à Vienne (Isère) dans la nuit de mardi à mercredi à l’âge de 112 ans. (source Le Progrès)

C’est bien, sa fille a correctement récité le script…

Par contre, un truc étonnant… Marcel il avait eu ses 3 doses de “vaccin”, non ? Forcément 112 ans… hyper à risque, non ? Il était donc protégé contre les “formes graves” (la mort étant une forme très grave, les 3 maris de Karine Labombe confirment à l’unanimité cette information).

Bizarrement, aucune mention vaccinale dans les médias. Excès de pudeur ?

Au milieu du script à la con, sa fille lâche une énormité :

« Il vivait toujours chez lui mais il a eu le Covid et la situation s’est dégradée, il était placé sous oxygène, ils ont fait l’impossible mais comment voulez-vous, à 112 ans… », a déclaré à l’AFP Nicole Boiron, sa fille unique.

Mais oui ! “Comment voulez-vous à 112 ans“… Oui, on vous le demande ! Ils ont fait l’impossiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiible ! Car oui ma bonne dame, 112 ans, c’est vieux… très, très, très, très, très vieux.

A cet âge aussi canonique que surréaliste tout peut arriver… un courant d’air peut vous tuer… Le bruit d’une porte qu’on referme doucement peut vous tuer.

Un 1/4 de verre de Volvic un peu trop fraîche peut vous tuer. Même le fait de s’endormir devant Macron à la télévision peut vous tuer.

Sans oublier une chiée de pathologies du moyen-âge… et surtout l’âge.

Car oui, et c’est une découverte scientifique majeure… on peut mourir de vieillesse.

Si.

Mais non ! Pas Marcel ! Pas lui !

Marcel, c’est le Covid qui l’a tué !

A 112 ans.

Et Marcel il ne quittait pas son domicile, ce sont donc les méchantes assistantes de vie, toutes vaccinées bien entendu (obligatoire), qui lui ont refilé la peste chinoise.

Ah les garces.

Et dire qu’avec une 4ème, voire une 8ème dose de produit vaccino-branlo-couillonavirant… ON AURAIT PU SAUVER MARCEL, mieux que le Soldat Ryan !

Oui !

Marcel sans ce virus diabolique, il aurait pu vivre jusqu’à 195 ans. Facile.

Et peut-être même 219 ans, en tirant un peu sur la corde.

Puisqu’on vous le dit.

C’est la science.

Marcel jeune et fringuant en 1944, quand il sauva le soldat Ryan. A cette époque, face à n’importe quel miasme à la con -nazi ou chinois- une dose de péniciline, un verre de pinard et une cartouche de 7,62 suffisaient à régler le problème.