Très rapidement après le show de Wuhan en 2020, le “profil” des couillonavirés était parfaitement clair et confirmé dans tous les pays.
Aucun gouvernement n’en a tenu compte, bien entendu, puisque leur unique préoccupation était de faire croire que la terrible pandémie affectait tout le monde.
Ce qui est, répétons-le, absolument faux, depuis Wuhan début 2020 jusqu’à aujourd’hui.
Passons sur les critères évidents de l’âge, des comorbidités classiques (problèmes cardiaques, diabète, hypertension, alzheimer etc.)… pour nous intéresser aux… gros.
Aux obsèses. Aux adipeux. Aux graisseux.
Eh oui, le couillonavirus les aime beaucoup !
C’est d’ailleur le principal facteur qui permet au virus de tuer des gens jeunes… (là encore cette information fut soigneusement dissimulée pour ne pas… stigmatiser ? Surtout pour perpétuer le mythe du virus menaçant toute la population).
Très tôt, sur ce blog, on abordait le problème :
Lien : https://covidemence.com/2020/08/07/le-virus-est-grossophobe/
Lien : https://covidemence.com/2021/02/27/je-naime-pas-les-gros/
Lien : https://covidemence.com/2021/03/03/bide-pfizer-naime-pas-les-gros/
Avez-vous entendu, vu la moindre campagne d’information, de prévention organisée par les autorités “sanitaires”, pour dire aux obèses de se protéger, de rester chez eux, voire même de perdre du poids ?
Surtout pas.
Une étude publiée en octobre apporte des éléments de réponse sur le comment.
Le couillonavirus s’attaque bel et bien aux tissus adipeux… et contrairement à ce qu’on peut penser la “graisse” n’est pas inerte, n’est pas simplement une réserve ou un trop-plein d'”énergie”… le système immunitaire répond spécifiquement et s’emballe, provoquant une inflammation qui peut être fatale (source New York Times, lire aussi l’article dans ZeroHedge avec des chiffres aux Etats-Unis).
Plus largement, hors Covid, il faut rappeler que l’obésité est un facteur de morbidité… considérable (car provoquant une cascade de défaillances biologiques et d’effets physiques délétères).
Et qu’il faut être un petit blanc bien dégénéré et con comme une enclume pour se déclarer “fier” d’être obèse.
C’est sans doute cela la maladie du monde occidentale : se déclarer “fier” d’être con, anormal, en mauvaise santé et… moche.
Un monde dans lequel les victimes (de big pharma, big ferme et big pollution)… font corps avec leurs bourreaux et se déclarent fières d’être… des victimes.
Un syndrome de Stockholm version 2.0, sous stéroïdes.
Une inversion de l’intelligence avec un zeste de perversion et deux doigts de bêtise crasse.