Paraguay et Uruguay. Deux pays d’Amérique Latine peuplés d’ancien dignitaires nazis (ah la régie me signale qu’ils sont tous morts, zut).
7,11 millions d’habitants pour le premier, 3,4 millions pour le second.
28,9 % de la population doublement vaccinés pour le Paraguay (minable), versus un très solide 75 % pour le second.
L’Uruguay est tellement bon élève que les autorités ont foncé dans la campagne de la troisième dose (avec du Pfizer, c’est meilleur, lire ici) et affichent maintenant un gros 32 % de la population “boostés”… Une performance au niveau mondial.
Le Paraguay de son côté n’en a rien à foutre et continue de siffler des jus de papaye en regardant passer les vaches (ou les trains, c’est selon).
Il est temps de refaire le match avec les graphiques qui vont bien.
On commence avec les covicas par jour et par million d’habitants, moyenne mobile 7 jours.
La conclusion est aussi scien-ti-fi-que qu’évidente : les vaccins, les boosters, la 3ème dose tout ça… ça marche du feu de dieu.
Ca marche tellement bien… qu’on ne s’en aperçoit même pas ! 😉
La dynamique épidémiologique est rigoureuseument identique dans les 2 pays.
Idem du côté des covimorts… Zut.
Le terrible couillonavirus se fend la poire.
Afin d’illustrer le foutage de gueule et pour finir en chanson comme il se doi(g)t, et surtout pour rester dans le même thème comme disait le Grand Serge :
S.S. in Uruguay
Sous un chapeau de paille
Je siffle un jus de papaye
Avec paille
S.S. in Uruguay
Sous le soleil du rail
Les souvenirs m’assaillent (aie aie aie)
Aïe, aïe, aïe
Il y a des couillonnes
Qui parlent d’extraditionne
Mais pour moi pas questionne
De payer l’additionne
S.S. in Uruguay
Je n’étais qu’un homme de paille
Mais je crains des représailles
Où que j’aille
S.S. in Uruguay
Sous un chapeau de paille
Je siffle un jus de papaye
Avec paille
S.S. in Uruguay
J’ai gardé de mes batailles
Croix gammée et médailles
En émail
Et toujours ces couillonnes
Qui parlent d’extraditionne
Mais pour moi pas questionne
De payer l’additionne
S.S. in Uruguay
J’ai ici de la canaille
Qui m’obéit au doigt, heil
Et à l’œil
