Décidément… ça se voit un peu trop… Quoi ? Le bidonnage systématique, organisé des données relatives au couillonavirus, depuis mars 2020.
Cas, morts… et bien entendu les hospitalisations, sans oublier les fameuses “réanimations” (“soins critiques” en réalité, ce simple jeu sémantique fut le premier bidonnage, lire ici).
La presse en avait parlé ici ou là. On comprenait bien qu’avec les sales gueules de Salomon et Olivier Variant… le truc ne pouvait pas être clair.
La Cour des Comptes avait déjà balancé un missile (lire article ici). Elle récidive avec un deuxième rapport, publié le 22 septembre (accessible ici).
Parmi celles-ci, la cour pointe à la page 58 du rapport que le chiffre de «taux d’occupation des réanimations» présenté par les autorités publiques est «opaque», et ce à trois égards : d’abord, «il ne s’agit pas de réanimations mais de l’ensemble des soins critiques», ensuite, «il s’agit des lits occupés par des patients Covid, à l’exclusion des autres patients». On ne sait, dès lors, si la référence est celle des «capacités en soins critiques (ou en réanimation ?) d’avant crise». Enfin, toujours selon la Cour des comptes, «le nombre de lits de réanimation effectivement autorisés et armés n’est jamais publié». (source RT France)
Je suis une grande société pharmaceutique fraônçaise et j’approuve ce message.
Sanofi a indiqué mardi stopper le développement de son vaccin à ARN messager. Le laboratoire n’ira donc pas en phase 3 d’essais, la dernière étape avant la commercialisation. Celui-ci juge que son traitement contre le Covid-19 arriverait trop tard sur le marché. (source Europe 1)
Sanofi, la loose française. Une forme d’art de vivre ?
Mais un truc nous chiffonne : d’un côté Pfizer et Moderna ont développé leur produit ARN messager… en un week-end (ah ? vous ne saviez pas ? Faut vous mettre à jour du mythe mes chéri(e)s)… de l’autre une grosse société fraônçaise comme Sanofi qui réalise 36 myards d’euros de chiffre d’affaires… après des mois de travail… jette l’éponge.
Ben alors les gars ? Que se passe t-il ? Y’a un soucis ? Une couille dans le potage couillonaviral ?
D’autant que l’argument “on arrive trop tard ” ne tient pas la route… puisque les états passent des commandes pour 2022, 2023 et même 2024 (si, si, le Canada par exemple) !
Ces crétins devraient en outre savoir que le couillonavirus c’est un truc hyper moderne… et qui va le rester longtemps. 😉
De plus, on nous bourre le mou depuis 1 an et demi comme quoi la technologie ARN messager c’est le futuuuuuuuuuuuuur, c’est la fooooooooooolie, c’est la révolutioooooooooooon !
C’est bien simple : l’ARNm est à la médecine ce que le moteur à explosion, la 5G, le vin rouge, la cocaïne, les BMC, Marguerite Duras, les films sur les alunissages, Dirty Harry et les bombes H sont à la civilisation occidentale !
Je schématise, mais vous saisissez le tableau.
Développer un “vaccin” ARNm contre le Covid ouvrirait même la porte de notre “système d’exploitation” comme le disent les neuneus de Moderna, l’air ahuri après avoir consommé trop de drogues de médicaments !
Alors les gars ?
Autre argument : Pfizer a fixé un prix tellement élevé pour son produit, qu’il serait facile de lui casser les reins en appliquant le prix chinois (n’y voyez aucun mauvais jeu de mot, par rapport au couillonavirus).
Bref, il serait facile de niquer Pfizer.
Pourquoi ça coince ? Pourquoi vous coincez ?
C’est une putain de poule aux oeufs d’or, version planétaire, voire même intergalactique. Un tsunami biblique de pognon !
C’est la version 2.0 du Saint Graal ! Guérit tout ! Le cancer, les virus, les hémorroïdes et même la connerie humaine ! Fait revenir l’être aimé en 24 heures et donne les bons numéros au loto (sans oublier le Quinté+) !
Alors les gars ? Et le prestige de la Fraônce, hein ? Merde quand même !
Bref… C’est très mal de tirer sur une ambulance. Certes. Il est si facile de se foutre de la gueule de Sanofi tant leur décision… ne tient pas debout. Il y a bien entendu d’autres raisons, cachées, derrière.
Le couillonavirus n’est que politique.
La désertion en rase campagne virale de Sanofi qui s’écrase comme un étron bien chiasseux… est politique.
Et si l’unique raison est la trouille… alors cette peur… est également politique.
Monsieur Sanofi, tu as peur ? Si oui, de quoi ? 😉
Plus que jamais, sur le front des produits géniques couillonavirants, pseudo vaccins, c’est The Winner Takes It All : Pfizer, toujours Pfizer…(Moderna n’étant qu’un Poulidor de façade)…
Ce simple fait -aberrant- devrait nous interroger…
Guangzhou, capital of South China’s Guangdong Province will require all overseas arrivals to be subject to a 21-day quarantine at designated isolation centers ahead of The China Import and Export Fair (Canton Fair) to be held in the city as the country has seen COVID-19 surge centered in East China’s Fujian Province. (source Global Times)
Il s’agit d’un durcissement puisque le régime précédent était 14 jours en centre fermé, puis 7 jours à la maison… !
On résume : soit une grande foire de commerce international en Chine, à Canton… Et pour les étrangers souhaitant y participer une mesure invraisemblable : 3 semaines de quarantaine fermée et obligatoire…
Ca relève du gigantesque trollage.
Presque 2 ans après les autorités chinoises continuent de jouer délibérement la terreur covidémentielle avec des mesures toutes plus absurdes les unes que les autres.
Vingt-et-un jours ? ! pourquoi pas 31 ? 60 ? Ou 120 ? Hein ? Parce que Covid le vaut bien.
Cette idéologie est bien entendu factorisée par les traits de caractère asiatiques (sauver la face, virtue signalling auprès des échelons supérieurs etc.).
Les autorités locales, dans ce cadre, chercheront toujours à en faire plus. A être plus durs, plus purs envers le Covid que le voisin.
Si Canton fait 3 semaines, alors Shanghai fera 4 semaines. Car 4 c’est plus que 3.
Quand j’affirme que cela est fait avec la bénédiction du pouvoir central, c’est une évidence à la fois pratique et politique.
Xi Jinping, s’il le voulait, pourrait mettre un terme à ce délire, en 24 heures chrono (“Nǐ hǎo petit fonctionnaire de merde. Si tu n’arrêtes pas immédiatement tes délires, je t’envoie au Goulag pour 120 ans, toi, et toute ta famille et même tes animaux domestiques et les plantes de ton jardin”).
Il s’agit donc plus que jamais d’un apparatus de propagande. Pour une consommation intérieure bien entendu (“nous sommes en guerre“, Xi Jinping fut le premier à le dire), mais aussi extérieure.