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Cancer de l’endomètre : la piste bactérienne

“Aucun doute, je la vois aussi clairement que la perruque de Brigitte… il s’agit bien d’une bactérie !”

Nouvelle surprise surprenante. Et surtout encore un cancer qui pourrait rejoindre la liste de ceux provoquées par… un agent infectieux.

Comment ? Vous ne le saviez pas ? Faut vous mettre à la page !

On estime que seize pourcents des cancers sont directement provoqués par des bactérie, virus et autres parasites. Une proportion officiellement admise a minima (certains parlent de 20 %).

Exemples ? Le col de l’utérus avec les papillomavirus humains ou encore le cancer de l’estomac avec la bactérie Helicobacter pylori.

Soit le cancer de l’endomètre (muqueuse interne de l’utérus). Il s’agit du quatrième cancer chez les femmes. Huit mille nouveaux cas par an en France.

Une étude menée par la clinique Mayo en 2021 pointe du doigt la responsabilité d’une bactérie : Porphyromonas somerae.

Cette association n’est pas totalement nouvelle. Certains scientifiques (qui ont contribué à cette étude) en parlaient déjà en 2016 puis 2019.

Le développement de cette bactérie serait accélérée par… les niveaux d’œstrogènes.

L’un des chercheurs affirme :

« Nous sommes allés au-delà de la simple association et corrélation pour démontrer le comportement pathogène », déclare le Dr Walther Antonio. « Il s’agit d’une avancée significative dans la compréhension du rôle du microbe dans la maladie »

Notons qu’on retrouve souvent cette vilaine bactérie… dans les cancers de la vessie (étude italienne publiée en 2024). Encore une association statistique troublante…

Au-delà de cet agent pathogène, on commence à comprendre l’importance du microbiome dans l’oncogénèse et le développement de la maladie.

Et cette relation est double. D’abord comme réservoir de micro-organismes (certains peuvent devenir pathogènes, lorsque invasifs, à l’instar des Candida), mais aussi (surtout ?) via le système immunitaire (étroitement lié au microbiome).

Ce monde stupéfiant (en taille et en variété) qui colonise nos entrailles et que l’on qualifie même de second cerveau… est décidément au centre de nombreux processus biologiques.

Toutes ces bactéries, virus et autres champignons ont de multiples effets y compris indirects, via leurs métabolites (leurs sous-produits). On peut même soupçonner des interactions, des effets de potentialisation (ou de suppression) les uns avec les autres.

Rappelons pour les sceptiques qu’une tumeur cancéreuse n’est absolument pas… stérile (idée encore largement répandue y compris chez de nombreux oncologues et autres pseudos professionnels de la profession). En réalité, elle abrite (et autour d’elle) de nombreux micro-organismes (y compris des champignons que l’on découvre peu à peu).

Les pisse-froids, au lieu de se mettre au travail devant ces découvertes extraordinaires n’ont qu’un seul mot à la bouche (en cul-de-poule, forcément) : “Corrélation n’est pas causalité. Nanananèèèèèèèèèère !“.

Y’en a marre des corrélations. Forcément.

Il s’agit d’un terrain encore peu exploré et surtout bien plus complexe que la théorie officielle (dite des “mutations somatiques“) selon laquelle des mutations dans l’ADN d’une seule cellule (sur trente mille milliards) provoqueraient le cancer.

Ces mutations, nombreuses et très variables d’un individu à un autre et même d’une tumeur à l’autre (chez un même cancéreux) sont bien réelles.

Mais elles paraissent de plus en plus (et à part quelques cancers particuliers, des leucémies) comme des effets et non des causes.

Le dogme qui statufie l’industrie du cancer depuis des décennies, vieillit décidément bien mal. Jusqu’à en devenir ridicule, comme un comédien essoré, barbouillé par un maquillage excessif et lâché par les spectateurs et les critiques.

Ainsi, cette pseudo science est toujours incapable d’expliquer pourquoi un jeune sportif qui ne fume pas… se paye un carcinome carabiné des poumons… Alors qu’un vieillard ayant avalé quotidiennement 2 paquets de Gitane depuis son adolescence, décède de sa belle mort à un âge canonique.

Devant tant de contradictions, on baffouillera, on utilisera des mots complexes, on vous débitera des contes à dormir debout.. Sauf qu’à la fin, on en arrive -piteusement- à accuser…. la malchance.

La fatalité.

C’est Alexandre Le Bienheureux appliqué aux sciences de la vie, ou quand la fainéantise dissimule -bien maladroitement- la bêtise ainsi que les conflits d’intérêts, évidemment…

Comme si on pouvait assimiler un cancer à… un accident de voiture.

Cet aspect infantile est frappant (on le retrouve souvent au sein de Big Pharma, inutile de revenir sur la farce des “vaccins” ARNm).

S’il s’agissait d’une simple controverse intellectuelle entre une poignée de scientifiques aussi barbus que barbants… cela n’aurait pas beaucoup d’importance.

Mais rappelons que les cancers tuent en gros 10 millions de personnes dans le monde. Chaque année. Le très méchant Sars-Cov2, rétrospectivement, fait doucement rigoler.

Dans certains pays riches (France, Canada) les cancers constituent désormais la première cause de mortalitédevant les maladies cardiovasculaires (eh oui, le podium évolue !).

Si vous voulez creuser la piste des agents pathogènes, et en particulier les champignons, je vous conseille le remarquable livre de Mark Lintern (dont la traduction française sortira fin juin).

POST-SCRIPTUM

Savez-vous que l’on commence à parler d’agents infectieux… y compris pour l’Alzheimer ?

Eh oui… Cette maladie neurologique (identifiée en 1907 par un médecin teuton eugéniste)… tourne en rond avec une théorie officielle qui craque sous ses propres contradictions : les “plaques amyloïdes“.

On patine dans la semoule depuis des décennies… malgré la mobilisaton de moyens très importants et on s’acharne à produire des molécules high-tech qui vont détruire ces plaques…. Bilan ? Foirage total.

C’est d’autant plus hallucinant que nous savons que des individus ayant le cerveau plein de ces fameuses “plaques”… n’ont jamais développé la maladie de leur vivant !

10 à 30 % des personnes âgées sans symptômes cognitifs peuvent présenter de telles plaques…

La tuile.

Pour se défausser, les clowns de service ont alors inventé  l’Alzheimer… “asymptomatique“. 😉

Cela ne vous rappelle rien ? Si bien sûr !

Si vous placez côte-à-côte cancer, Alzheimer et Covid… alors tout s’éclaire !

Suprême ironie : ces “plaques” pourraient en réalité être… une DEFENSE NATURELLE contre des pathogènes…

D’où l’hypothèse infectieuse en tant que cause -principale- de la maladie.

Bref, encore un sujet passionnant qui secoue Big Pharma dans ses fondations et avec toujours le même tryptique en filigrane : bêtise, hubris et fraude.

Pour aller plus loin, je vous recommande le nouveau livre de Charles Piller (un journaliste scientifique) : Doctored : fraud, arrogance and tragedy in the quest to cure Alzheimer’s.

Edifiant. Renversant.

Et j’insiste : tout est lié. La fraude insensée sur Alzheimer (avec des études bidonnées)… fait parfaitement ECHO à la fraude hallucinante au sujet du “Covid”, des vaccins ARNm (et derrière on peut ajouter les antidépresseurs, les opiacés “non addictifs”… la liste est longue, etc.)…

Les mêmes causes produisent TOUJOURS les mêmes effets.

POST-SCRIPTUM BIS

Et la sclérose en plaques alors ? Terrible maladie auto-immune… 120 000 personnes affectées en France… 3 000 nouveaux cas diagnostiqués par an. Cause inconnue…

Là aussi, vous avez sans doute entendu “génétique”… Les plus pointus d’entre-vous… certains virus… Mais sans succès.

Les dernières recherches… pointent du doigt des bactéries !

Source : https://www.sciencealert.com/scientists-identify-specific-bacteria-linked-to-multiple-sclerosis

On soupçonnait déjà l’influence du microbiote, mais sans en comprendre les détails.

Peut-on parler de coïncidences pour toutes ces pathologies étranges ?

Ou bien l’étau est-il en train de se refermer ?

A-t-on ignoré pendant des décennies ce que nous avions sous les yeux ? Des infections tout bêtement… et un système immunitaire qui parfois répond mal, de travers ou pas du tout… ?

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Vaccinocide

Vaccins ARNm : une technologie trisomique

Pourquoi “trisomique” ? Parce que ça y ressemble fortement, en terme de résultat… Et parce qu’il y a 3 anomalies… congénitales.

ARNm. L’un des mots-clés de la covidémence (avec Chine, peur, mensonge, folie, etc.).

Dès le début, nous nous sommes méfiés :

  • une nouvelle biotechnologie jamais utilisée sur une telle échelle
  • des sociétés pharmaceutiques à la manoeuvre, connues pour leur corruption insensée (et leurs très nombreuses condamnations en justice)
  • un calendrier absurde (des pseudos “vaccins” conçus en UN WEEK-END… et ensuite “testés” et fabriqués en quelques mois).

… Toutes les lumières clignotaient au rouge. Rouge sang. Les incertitudes, les risques étaient là, sous nos yeux.

Avec le recul, nous savons désormais que cette technologie n’est pas aboutie, pire encore qu’elle est incontrôlable et donc dangereuse.

Face à tous les ravis de la crèche qui continuent d’y croire et à tous ceux qui ont -hélas- été injectés, vous devez leur mettre sous le nez les 3 anomalies congénitales qui définissent les produits de Biontech/Pfizer et Moderna :

QUANTITE

Personne ne peut contrôler/garantir la quantité de protéines (antigènes) produite dans chaque individu. Avec un vaccin classique, la dose peut varier mais l’amplitude est CONNUE, maîtrisée. Avec l’ARNm… c’est la loterie et surtout le grand écart. Certaines personnes produiront très peu d’antigènes (donc aucune efficacité), d’autres en fabriqueront des quantités très élevées et pendant un temps long (provoquant des effets délétères sur le système immunitaire et autres désordres physiologiques).

DISTRIBUTION

Personne ne peut contrôler/garantir… où exactement ces produits vont se balader dans le corps, ni quelles sont les cellules dans quels organes qui vont fabriquer les protéines. La biodistribution est incontrôlable.

FIDELITE

Personne ne peut contrôler/garantir la fidélité du “plan” ARNm. En clair, il y a des “décalages” réguliers dans le code ARNm (frameshifting)… conduisant à la fabrication de protéines Frankenstein (en plus de la protéine voulue).

1+1+1 = ?

Quand vous additionnez ces 3 anomalies… vous obtenez un produit qui n’est EN RIEN une formulation pharmaceutique destinée à être utilisée chez l’humain c’est-à-dire un produit offrant des garanties aussi nombreuses que serrées et un profil de risque bien établi.

Vous avez en lieu et place un truc grotesque qui n’a AUCUN SENS ; une insulte à l’intelligence et à la Nature.

C’est un truc infantile, excitant sur le papier mais dont la réalisation est une catastrophe. Il y a beaucoup de pensée magique dans ce procédé.

Vous voulez visualiser les promoteurs de la technologie ARNm ? Des mômes dopés au sucre qui s’extasient sur une maquette de l’Enterprise dans Star Trek… et qui affirment ensuite qu’ils vont construire le vaisseau spatial grandeur nature…

L’énormité du crime commis est telle, en terme d’échelle, qu’on se heurte à une sidération globale.

Avec des MILLIARDS DE DOSES INJECTEES… on se retrouve face à la Gorgone qui statufie le monde.

Voilà pourquoi, la prise de conscience prend du temps.

Au mieux, Trump s’en servira comme de l’arme absolue pour détruire une bonne fois pour toute le parti Démocrate (et ses nombreux complices). C’est ma thèse (un poil gonflée, je l’admets).

Au pire… un beau matin… plus personne ne parlera de ces produits, de cette technologie bidon.

Une vaste amnésie collective s’abattra sur le monde.

C’est l’hypothèse la plus probable.

Pour aller plus loin : https://redpilltimes.blogspot.com/2025/05/600-million-covid-shots-and-2-million.html

POST-SCRIPTUM

En plus des 3 anomalies “congénitales” des vaccins ARNm… d’autres vents contraires soufflent (liste non exhaustive).

D’abord, les “nanoparticules lipidiques”. Ca fait plus de 20 ans qu’on sait qu’elles sont problématiques (réaction inflammatoire, toxicité, dégradation dans l’organisme, difficultés de fabrication). Et on voit mal comment s’en passer (il faut un véhicule pour transporter le code ARNm, très fragile).

Ensuite, le procédé de fabrication. Il y en a deux (à ce jour). L’un est précis mais lent et coûteux. Le second permet une production de masse… mais il est sale (il provoque de nombreuses pollutions ADN variables -bien au-delà des normes en vigueur- qui peuvent poser d’autres problèmes dans le corps humain).

Oui, les fabricants ont utilisé la première version pour le test clinique et la validation… Oui, ils sont passés ensuite… au deuxième procédé industriel (très différent) en affirmant en toute simplicité “c’est kifkif aucune différence“. Et la FDA a répondu “ah bon d’accord, merci“. 😉

Enfin, parlons des conditions de conservation (et donc de distribution en aval). Il est très drôlatique de constater que les poissons rouges ont déjà oublié le coup des “supercongélateurs” (farce absolue). D’abord, le brouet devait impérativement être conservé à -70 degrés (!)…. Et ensuite ? Une simple glacière faisait l’affaire. 😉

Je vous laisse imaginer l’état du “code ARN” et des “nanoparticules lipidiques” à l’intérieur des fioles… après de multiples étapes, entre la sortie d’usine et la piqûre…

Imaginer une logistique parfaite, hyper rapide, sans le moindre accroc, des conditions de stockage optimales, une distribution finale impeccable et une préparation aussi précise qu’experte (car oui… chaque fiole doit être diluée avant utilisation !)… déclenchera une franche crise d’hilarité chez n’importe quel observateur de la condition humaine.

Une conclusion est-elle nécessaire ?

Personne ne peut prendre au sérieux de tels produits.

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Asie Vaccinocide

Singapour : les décès ARNm se voient comme une tumeur au milieu du nez

Cela fait longtemps que je n’ai pas fait tourner la machine à graphique.

Je me suis inspiré du travail de Felicittina qui suit l’évolution du nombre des décès, toutes causes confondues, dans plusieurs pays.

Dans le lot : Singapour.

Singapour est intéressant (5,91 millions d’habitants, tous citadins par définition).

Why ?

Une société très riche (la Suisse de l’Asie du Sud-Est) et organisée au cordeau, propre et OBEISSANTE.

L’ordre règne à Singapour.

Autre particularité : c’est un melting pot ethnique et religieux. Du malais, du chinois, du blanc, de l’indien. Mais tous se tiennent à carreau, car les systèmes policier et judiciaire sont… performants. Et impitoyables.

Un graffiti sur un mur, un chewing-gum ou un mégot de cigarette jeté au sol et c’est une amende salée immédiate voire des coups de canne (eh oui, une de leur spécialité héritée des british !).

Donc une société ultra sécurisée.

Personne ne s’amuse à foutre le bordel. Personne ne s’avise à emmerder le monde. Brûler des voitures, violer des femmes dans la rue, poignarder des passantsça n’existe pas. Fin de la parenthèse (qui devrait faire office de recette pour les débiles mentaux européens, mais bien entendu ils sont incapables de comprendre).

Donc une plaque tournante à la fois d’hommes et de pognon en Asie… C’est une fenêtre extraordinaire sur le “Covid”. Ainsi que sur les injections “Covid”. A la différence des autres pays de la région, Singapour a pu s’offrir… les poisons ARNm (en Thaïlande, Pfizer était réservé exclusivement aux très riches).

Voici son graphique et ensuite je colle le mien. Elle travaille sur 12 mois glissants (sommes des décès de mars 2025 à avril 2024, et ainsi de suite).

Moi, je suis plus psychorigide, je compare le premier trimestre 2025, au premier trimestre 2024, etc. 😉

(source gouvernementale pour les données ici, et l’évolution de la pyramide des âges là).

(tout est raccord : les injections ont commencé APRES mars 2021… On voit donc l’effet sur T1 2022. Mais dans les prochains mois… je réactualiserai le graphique et alors 2021 commencera à diverger par rapport aux années précédentes, comme vous le voyez sur le graphique de Felicittina, avril 2021 à mars 2022).

PREMIERE CONSTATION

Elle est fondamentale et elle s’applique à TOUS LES PAYS DE LA REGION : il ne s’est RIEN PASSE en 2020.

Oui bien sûr, de l’hystérie, des mesures absurdes, de la peur délibérement entretenue… Sans oublier quelques vieillards déjà malades achevés avec de la ventilation mécanique (préconisée par la Chine). Mais aucune “pandémie” tuant femmes, enfants, nourrissons, chats, chiens et oiseaux.

Je répète : PEAU DE BALLE.

Ca la fout mal pour une “pandémie” épouvantablement horrible… Personne n’a osé  reconnaître ce fait extravagant et encore moins apporter une ou des explications satisfaisantes…

DEUXIEME CONSTATATION

On voit que jusqu’en 2020, les décès suivent une courbe ascendante régulière. La population vieillit de manière pépère, donc mécaniquement, davantage de Singapouriens décèdent, chaque année.

C’est parfaitement normal. La mort étant le principal effet secondaire délétère… de l’âge. 😉

En revanche, on voit clairement le “changement de vitesse”… à partir de 2021.

Cela se voit comme une tumeur qui clignote sur un nez aviné.

Que s’est-il passé en 2021 ? Une éclipse du soleil ? Les ondes négatives du méchant Poutine et de Orange Man Bad ? Le réchauffement climatique ? Ou alors les Singapouriens se sont tous mis à manger du McDonald et à fumer 2 paquets de Gitane par jour, tout en sniffant le pot d’échappement de leurs véhicules diesel ?

Non. Ne rêvez pas.

Le seul VERITABLE changement ponctuel, factuel et très large : les injections ARNm (1 et 2 doses en 2021 et le booster fin 2021 ou début 2022).

Singapour a massivement injecté : fin novembre 2021, 85 % de la population avaient reçu 2 doses (source officielle) !

Et Singapour a massivement utilisé Pfizer et Moderna. Le produit chinois ne pèse que 4,7 % des injections totales. Ridicule (alors que comme je le disais, en Thaïlande, c’est l’inverse… on a eu principalement l’Astra Zeneca local, autre catastrophe, et 2 produits chinois).

TROISIEME CONSTATATION

Ce nouveau “régime de croisière” mortifère se MAINTIENT les années suivantes (alors que le nombre de nouveaux injectés, en bonne logique, s’effondre). Certains cinglés continuent avec des “boosters” supplémentaires… mais cela devient marginal.

Ces poisons tuent et blessent de manière immédiate… nous le savons… mais il faut se rendre à l’évidence… ils tuent également avec un effet retard.

Comme une mèche lente.

Alors, peut-on se raccrocher aux branches ? En se disant que les Singapouriens constituent une race à part ? Qu’ils auraient un ADN différent du nôtre ? Qu’on va s’en sortir ? … 😉

Non.

Les mêmes causes, chez des humains, produisent les mêmes effets.

En clair, des gens aux Etats-Unis et en Europe, votre voisin, votre collègue de bureau, un membre de votre famille qui sait… eux aussi ont goûté aux joies “ARNm”… certains meurent précocement.

Ils ne peuvent pas y échapper.

C’est bête, hein ?

Si, si, vous avez le droit d’éprouver de la haine… Et de vous moquer. Voire de rire à gorge déployée. C’est sain.
POST-SCRIPTUM

Les poisons ARNm ont des effets immédiats (arrêt cardiaque, thrombose, AVC etc.).

Puis, des effets décalés dans le temps (cancer…).

En clair : le pire est-il derrière nous ? La  vague est-elle passée ?

Ou bien cette mortalité “anormale” se poursuivra avec une forme de plateau ? Un écrémage… permanent ?

De nouvelles pathologies -lentes- vont-elle apparaître ? D’autres cancers ? De l’Alzheimer ? Du Parkinson ?

Les individus décédés entre 2021 et aujourd’hui seraient-ils.. une minorité au milieu d’un bassin beaucoup plus vaste de… blessés “asymptomatiques” ?

Et nous pourrions alors assister à une nouvelle poussée mortelle, avec des individus beaucoup plus nombreux, blessés en 2021/2022… et qui décèderont plus tardivement ?

Aucun gouvernement n’étudie ces questions (en tout cas pas publiquement…).

Ces poisons étant nouveaux et les campagnes d’injections en 2021/2022 jamais vues dans l’histoire de l’humanité… nous sommes condamnés à écrire leur histoire… au fur et à mesure.

Pas de bol pour les centaines de millions de gogos ayant été piégés.