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Tests PCR

Le péché de Didier Raoult

Il s’agit d’un péché par omission, alors que paradoxalement c’est lui qui l’avait révélé.

Je veux parler de la clé de voûte de la covidémence : les faux tests PCR positifs.

Raoult fut le premier à dévoiler le pot aux roses.

Août 2020 : “20 % des personnes ayant un test PCR positif ” qui étaient envoyées à l’IHU de Marseille… étaient en réalité négatives (lire article ici) !

Début septembre, cette proportion passa à… 40 % !!!

Cela aurait dû être un coup de tonnerre…

Il fut ainsi le premier à parler du fameux “CT” (cycle threshold, nombre de cycle d’amplification), le réglage qui permet à un caillou, une table de chevet ou une chaussure d’être déclarés “Sars CoV2 positifs“… 😉

Au-delà de 35… ces tests ne veulent plus rien dire, car le virus n’est tout simplement pas là en quantité suffisante… la personne n’est pas malade, pas contagieuse, rien. Il s’agit bel et bien d’une fiction.

Août 2020, c’est également le moment ou le non moins fameux New York Times publia un article dénonçant la fiablité de ces tests et titré opportunément : Your Coronavirus Test Is Positive. Maybe It Shouldn’t Be.

Most tests set the limit at 40, a few at 37

Or depuis, Raoult n’est jamais revenu durant ses vidéos hebdos sur ce problème pourtant fondamental.

Car le Covid est d’abord et avant tout une pandémie de faux cas.

Ce sont ces centaines de milliers, ces millions de “cas asymptomatiques” (en bon français, des faux cas) rabâchés quotidiennement dans les médias et par les gouvernements, qui ont alimenté et continuent d’alimenter la covidémence.

Ce fut et c’est toujours le carburant principal de la psyop.

Quand on voit que l’Australie confine 10 millions de personnes... en trouvant “27 nouveaux cas” en une journée… on mesure l’enjeu stratégique.

Ce problème est bien entendu mondial.

J’avais par exemple repéré le laboratoire du département de la Santé dans l’état du Kansas aux Etats-Unis… qui annonçait fièrement un CT réglé à 42 !

Et il est d’ailleurs croustillant de constater que le 7 janvier 2021… Le même labo modifia discrètement le paramétrage… à 35…

Il n’y a aucune standardisation, aucune harmonisation, aucune volonté d’établir des règles précises. Les laboratoires font ce qu’il veulent, y compris dans un même pays, une même ville, et vont même jusqu’à modifier le CT au cours du temps.

La corruption est aussi passive que massive : ces gazillons de tests PCR effectués en permanence représentent un pognon de dingue (en France plusieurs milliards d’euros en 2020), captés par un petit nombre de sociétés financières (lire ici).

Pire encore, le CT n’est jamais communiqué aux testés. La Floride, état américain anti covidémence avait décidé de rendre la mention du CT obligatoire.

L’explication est évidente : ce flou technique bénéficie aux autorités qui peuvent ainsi gonfler la réalité de la menace couillonavirale.

Bref. Il s’agit du plus grand scandale de toute cette pseudo crise.

Didier Raoult aurait dû concentrer sa force de frappe sur ce sujet, et cogner comme un sourd.

Il en avait les moyens à l’IHU puisque cet établissement effectue de très nombreux tests et a vu passer de très nombreux patients et qu’il a forcément des informations provenant de terrain (quel est le CT utilisé par certains labos, chez les confrères, etc.).

POST-SCRIPTUM

Du 1er mars au 31/12/2020… 36 millions de tests ont été réalisés en France (33,7 millions de tests RT-PCR et 2,8 millions de tests antigéniques) (source FranceInter).

Montant total ?

2,7 milliards d’euros !!!

POST-SCRIPTUM 2

Pas de méprise. Je suis un grand admirateur de Raoult car il fut le premier en France, avec Perronne, à résister et à remettre en perspective la covidémence.

En outre, sa position unique, ses connaissances, les données acquises par l’IHU et bien entendu son style… tout cela renforce le poids de ses prises de parole, sa visibilité.

Ma critique est donc un simple aiguillon.

POST-SCRIPTUM 3

Une étude passionnante signée par des membres de l’IHU (dont Raoult) a été publiée dans Clinical Infectious Diseases, début juin 2021 (mais elle est datée sauf erreur de septembre 2020).

Ils ont tout simplement mis en culture les virus trouvés par des tests PCR positifs.

A la rédaction de l’article, l’IHU avait réalisé 250 560 tests pour 179 150 patients, dont seulement 13 160 furent “positifs” (7,3 %). (pour les données actuelles, cliquez ici)

3 790 de ces tests PCR positifs furent mis en culture. Les résultats sont ahurissants.

Avec un CT à 25,  les prélèvements de 70 % des patients “positifs” le sont également en culture. En clair : le virus est là, actif, dans 70 % des cas.

Avec un CT à 30, cette proportion chute à 20 %.

Et avec un CT à 35… on tombe à moins de 3 %... !

Alors quand vous voyez par exemple le labo officiel de l’état du Kansas qui travaillait avec un CT de 42… l’arnaque est évidente. C’est un bidonnage délibéré.

On déclare des gens “positif” pour la présence d’un virus… qui en réalité n’existe tout simplement pas, du moins n’est pas capable de se reproduire… Il est inerte.

MISE-A-JOUR

Au fait, plongeant dans mes archives j’ai retouvé cet article :

Lien : https://covidemence.com/2021/02/02/c-drosten-les-tests-pcr-sont-trop-sensibles-et-encombrent-les-statistiques/

Une extraordinaire confession de l’Allemand… qui a participé à la création du test PCR pour le couillonavirus (janvier 2020).

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Vaccinocircus

Deutsche pas Qualität : le vaccin Curevac est une scheiße

Ceci est un vaccin allemand, pas du tout Deutsche Qualität.

Le monde n’est plus ce qu’il était ! Finie la fameuse Deutsche Qualität qui faisait vroum-vroum ! Au clou le génie chimique allemand (Bayer etc).

Encore un vaccin couillonaviral qui mord la poussière…

Le vaccin développé par le laboratoire allemand CureVac n’est efficace qu’à 48% pour prévenir le Covid-19, un taux bien plus faible que les autres vaccins à ARN messager déjà approuvés, selon des résultats complets d’un essai clinique à grande échelle, a annoncé la société mercredi 30 juin (source le Figaro).

Quel dommage. 😉

Plus que jamais, c’est The Winner takes it all… en faveur de Pfizer…

Mais tout n’est pas perdu…

Malgré ce résultat en demi-teinte, CureVac se dit convaincu que son candidat vaccin «apporte une contribution précieuse à la santé publique en protégeant totalement les participants à l’étude âgés de 18 à 60 ans contre l’hospitalisation ou le décès, et avec un taux d’efficacité de 77% contre la progression modérée et grave de la maladie», selon son PDG Franz-Werner Haas,

Ben voyons, pépère s’y voit déjà. On admirera la “demi teinte” employée par le plumitif. 😉

On imagine le dialogue entre un médecin et son patient, lors de la cérémonie du “con-sentement éclairé con”.

-“Alors, une nouvelle technologie nazie, pardon ARN messager, avec une efficacité en demi teinte, ça vous irait ?”

-“Euh… docteur, j’avais oublié. J’ai piscine au Wurtemberg. Chuss !”

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Asie Saloperie et sida mental

Thaïlande : offensive contre l’ivermectine

Une information qui confirme le “complexe d’infériorité” des pays émergents, et la mécanique covidémentielle contre les traitements, en particulier l’ivermectine.

Alors que la situation se tend au Siam (lire ici) l’administration du pays… lance une étonnante offensive contre cette molécule.

The Food and Drug Administration (FDA) is warning people against using the antiparasitic drug Ivermectin to treat Covid-19, saying it is mostly for use in animals.

Ivermectin is technically not produced to be used on people so the risks are greater than drugs specifically developed for humans.

“People must not buy it without a prescription and in any case, a study on its effectiveness against the virus has yet to be concluded,” FDA deputy secretary-general Surachoke Tangwiwat said on Tuesday. (source Bangkok Post)

L’argumentaire est surréaliste. Selon ce petit fonctionnaire thaï, l’ivermectine… serait réservée aux animaux !

Oubliés les millions d’hommes et de femmes traités avec cette molécule depuis les années 80… Des milliards de doses… Qui ont sauvé beaucoup de monde (contre l’onchocercose ou cécité des rivières).

Ensuite, le classique avertissement quant aux effets secondaires :

Ivermectin can cause several adverse side effects, such as a rash, urticaria, queasiness, dizziness and also may have a harmful effect on the nervous and system and people’s sight.

Et cerise sur le tom yam kung… selon la faculté de pharmacie de Chiang Mai (nord du pays) :

the drug may aggravate Covid-19 patients’ symptoms, according to the website.

😉 C’est une première à ma connaissance ! L’ivermectine ne soignerait pas le Covid… mais au contraire aggraverait la maladie !

Bref, c’est typique du bas niveau des fonctionnaires et des scientifiques dans les pays émergents : le bidonnage est encore plus flagrant qu’en Occident.

Et le dernier argument, toujours identique :

the drug has not been declared safe for use to treat Covid-19 by the World Health Organization.

Voilà. Le tiers-monde se cale sur l’oracle OMS.

Un médecin du Bangladesh avait dénoncé ce principe, au sujet de l’OMS et des agences de santé publique occidentales :

S’ils approuvent quelque chose… nous l’approuvons

Et donc l’inverse est vrai. Tant que quelque chose n’a pas été tamponné par l’OMS, alors ça n’existe pas.

Aucune curiosité scientifique, aucune volonté d’explorer, de tester, de confirmer ou infirmer… juste le passage des plats.

Cette offensive intervient après le psychodrame… de l’Inde… Où on a beaucoup parlé d’ivermectine.

Là encore l’avis de l’establishment médiatique est très tranché :

The reported drop in Covid-19 cases in India was the result of more vaccines being made available to the population, the website said.